Maroc : Le Roi Mohammed VI subit avec succès une intervention chirurgicale

Le Roi Mohammed VI a subi avec succès une intervention chirurgicale, ce dimanche 14 juin à la clinique du Palais Royal de Rabat, annonce un communiqué de l’équipe médicale du Souverain.Le Souverain a présenté une récidive du trouble du rythme cardiaque type flutter auriculaire sur cœur sain, précise la même source.

Les médecins de SM le Roi ont préconisé une ablation complémentaire par radiofréquence, qui a eu lieu ce dimanche 14 juin à la clinique du Palais Royal de Rabat.

L’intervention s’est soldée par un « succès complet », à l’instar de l’intervention précédente réalisée le 26 février 2018 à Paris, avec restauration du rythme cardiaque normal, souligne-t-on.

Côte d’Ivoire : effondrement d’un immeuble à Abatta village dans l’Est d’Abidjan

Un immeuble de trois étages s’est effondré, dimanche à Abatta Village, à l’Est d’Abidjan, la capitale économique ivoirienne arrosée ces dernières heures par de fortes précipitations, a appris APA de source sécuritaire.«Les sapeurs-pompiers militaires sont à pieds d’œuvre et le bilan de cet incident n’est pas encore disponible », a indiqué Police Secours, une plateforme numérique de la police ivoirienne.

Les pluies diluviennes qui s’abattent depuis quelques jours sur la capitale économique ivoirienne ont fait au moins un mort et  plusieurs blessés. Des cas d’inondation ont été également signalés dans plusieurs communes d’Abidjan. 

En 2018, rappelle-t-on, de fortes pluies survenues dans la nuit du 18 au 19 juin, ont fait 20 morts en Côte d’Ivoire dont 18 décès à Abidjan, la capitale économique ivoirienne, 1 mort à Tiassalé (au Nord d’Abidjan) et un autre à Guibéroua dans le Centre-ouest ivoirien.

Mali : Deux Casques bleus tués dans une attaque

Deux soldats de la Mission des Nations-unies au Mali (Minusma) ont été tués, samedi soir, par des hommes armés dans la commune de Tarkint, au nord-est de Gao en proie aux attaques terroristes.Alors que le convoi effectuait la liaison Tessalit-Gao, des individus armés non identifiés ont attaqué samedi vers 19h GMT le convoi logistique qui était à l’arrêt, et tué deux soldats de la paix. Les Casques bleus de la MINUSMA ont riposté avec fermeté et mis en fuite les assaillants. 

Le Représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU au Mali et chef de la Minusma, Mahamat Saleh Annadif, a condamné cette « attaque meurtrière ».

« Je tiens à exprimer mon indignation et ma profonde peine suite à l’attaque d’hier soir contre les forces de maintien de la paix des Nations Unies au Mali », a déclaré dimanche M. Annadif.

Ces Casques bleus sont « morts au service de la paix au Mali », a rappelé le chef de la Minusma, qui a également fermement condamné des « actes lâches qui ont pour but de paralyser les opérations de la Mission sur le terrain.

« Nous devrons conjuguer tous les efforts afin d’identifier et d’appréhender les responsables de ces actes terroristes pour qu’ils répondent de leurs crimes devant la justice,” a-t-il conclu.

 

Marrakech abrite la 9ème édition de la conférence sur les ressources en eau dans le bassin méditerranéen en mai 2021

La ville marocaine de Marrakech abritera, du 26 au 28 mai 2021, la 9è édition de la Conférence Internationale sur les ressources en eau dans le bassin méditerranéen (WATMED9), ont annoncé les organisateurs dans un communiqué.Ce conclave vise à réunir des experts issus des pays du bassin méditerranéen afin de fédérer leurs efforts et actions en termes d’innovations, de connaissances et de compétences pour faire évoluer la défense de la cause de l’eau et renforcer davantage les échanges d’expériences pertinentes en la matière, ont-ils fait savoir.

Les participants à cette rencontre de trois jours auront également l’opportunité pour l’actualisation des résultats des recherches scientifiques menées à travers le monde et le lancement de différentes actions de coopération et de nouveaux réseaux pour mieux relever les défis et répondre de manière optimale aux menaces auxquelles font face les ressources hydriques, selon la même source.

Parmi les thématiques qui seront débattues lors de cette conférence figurent « la gestion des ressources hydriques », « la qualité de l’eau et la pollution », « la récupération des eaux non-conventionnelles, le recyclage et la réutilisation » ou encore « le lien entre eau, énergie et alimentation ».

Les contraintes liées à la gestion de l’eau en Méditerranée sont soumises à une grande dynamique engendrée par les changements globaux, tels que les dérèglements climatiques qui aggraveront les phénomènes extrêmes (inondations, sécheresses….), ainsi qu’aux mutations opérées à l’échelle régionale, comme les pressions démographiques et touristiques dans les zones côtières, soulignent les organisateurs.

Aussi, les zones méditerranéennes sont confrontées à des changements dramatiques qui affecteront la durabilité, la quantité, la qualité et la gestion des ressources en eau.

Les écarts territoriaux, le développement socio-économique et le progrès technologique créent le besoin de différents types d’interventions, expliquent-ils, insistant sur la nécessité d’une réflexion globale et d’une action efficiente sur le plan local dans le secteur de l’eau.

Partenariats commerciaux : Le Maroc revoit sa copie

La crise sanitaire liée à la pandémie du coronavirus serait une opportunité pour le Maroc de procéder à une révision de ses principaux partenariats commerciaux. Des annonces ont été faites dans ce sens concernant le partenariat avec l’Union Européenne. Aujourd’hui doté d’un meilleur arsenal juridique pour mener à bien ses négociations, le royaume entend revoir sa copie au regard des leçons tirées des impacts de la pandémie du coronavirus, écrit l’Agence marocaine de développement des investissements et des exportations (AMDIE) dans son tout premier infolettre, publié ce samedi.Pour l’AMDIE, l’actuelle crise sanitaire a clairement refaçonné la manière de voir le monde et ses répercussions devraient se faire ressentir pendant plusieurs années. Conscient de ces grands chamboulements, le Maroc a pris de nombreuses initiatives inédites en vue de s’adapter au monde d’après le coronavirus.

L’un des axes sur lesquels il faudra certainement s’attendre à des changements est celui des partenariats commerciaux, estime l’institution marocaine. Preuve en est. Le ministère de l’Industrie, du Commerce, de l’Économie verte et numérique, a exprimé sa volonté « d’explorer de nouveaux horizons de partenariat avec l’Union Européenne » et de ce fait, la volonté d’effectuer une révision en profondeur du partenariat liant les deux parties au regard des leçons tirées des impacts de la pandémie du coronavirus.

A l’issue d’une visioconférence avec la commissaire européenne à la Concurrence et au Numérique, Margrethe Vestager tenue fin avril, le ministre de l’Industrie, Moulay Hafid Elalamy a proposé de mener une étude conjointe sur la capacité de créer dans le cadre d’un nouveau mode de coopération, un moyen d’améliorer mutuellement notre résilience à ce type de crises.

Il ne s’agit pas du seul partenariat commercial que le Maroc veut revoir. Plus tôt en début d’année, ledit ministère a lancé des pourparlers avec la Turquie en vue de renégocier l’accord de libre-échange avec ce pays entré en vigueur en 2006 et dont les termes de l’échange ne conviennent plus au Royaume.

Nul doute que la situation actuelle en lien avec la pandémie du Coronavirus devrait appuyer cette volonté de refaçonner le partenariat avec la Turquie qui a longtemps sérieusement impacté plusieurs secteurs d’activité. Il s’agit en l’occurrence du secteur des textiles et de l’agroalimentaire qui souffrent d’une concurrence de plus en plus ardue de la part des marchandises turques.

Cette volonté du Maroc de revoir certains partenariats s’explique en outre par le déficit structurel de la balance commerciale avec les pays membres de ces accords. Avec l’Union européenne, principal partenaire commercial du Royaume, le déficit commercial a été multiplié par sept entre 2001 et 2018, passant de 1,02 milliard d’euros (11 milliards de DH) à 7,3 milliards d’euros (78 milliards DH) selon les statistiques de l’Office des changes. Le même constat est valable pour les Etats-Unis où le déficit commercial s’est inscrit à 2,33 milliards d’euros (25 milliards de DH) en 2018, fait observer l’AMDIE/

Un gouffre commercial se dessine également avec la Turquie avec laquelle le Maroc accuse un déficit de 1,5 milliard d’euros (16 milliards de DH). Il est à noter que les relations commerciales avec la Turquie ont connu certains revers durant ces derniers mois. En effet, le Maroc et la Turquie se sont affrontés depuis fin 2016 devant l’Organe de règlement des différends de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) concernant l’affaire des mesures antidumping portant sur les importations de l’Acier laminé à chaud en provenance de la Turquie.

Plus de 20 ans se sont écoulés depuis la signature des premiers accords de libre-échange du Maroc. Aujourd’hui, le Royaume est en libre-échange avec 55 pays. Parmi les principaux accords en vigueur : L’accord d’association avec l’Union Européenne, l’accord de libre-échange avec les Etats-Unis, l’ALE avec la Turquie et l’accord d’Agadir. Cette prise de conscience quant aux risques des accords de libre-échange sur l’économie du Maroc ne date pas d’aujourd’hui, rappelle l’AMDIE.

Dès 2012, le Maroc avait décidé de suspendre certaines négociations menées avec de grandes nations commerciales. Il s’agit en l’occurrence de l’Accord de libre-échange complet et approfondi (ALECA) avec l’Union européenne et de l’Accord de libre-échange avec le Canada. Le premier a été mis en stand-by au bout du 4e round de négociations en avril 2014.

Le second au bout du 3e round tenu en juin 2012 à Ottawa. Il faut savoir que le choix effectué par le gouvernement de revoir certains partenariats commerciaux demeure une option prévue par le texte même des accords de libre-échange signés. Le corps même de ces accords prévoit des mécanismes de suivi, de révision et de modification des accords.

Au moins 1 mort et 3 blessés après des pluies diluviennes à Abidjan

Les pluies diluviennes qui se sont abattues samedi sur la capitale économique ivoirienne ont fait un mort, trois blessés et plusieurs personnes repêchées et secourues des eaux, rapportent les sapeurs-pompiers militaires en dressant un bilan partiel.Selon les sapeurs-pompiers, il s’agit d’une fillette d’environ six ans qui perdu la vie à Abobo-Belleville (Nord d’Abidjan) à cause d’un mur qui a cédé sous la pression des fortes pluies faisant également trois blessés. Plusieurs quartiers d’Abidjan ont également été inondés dont Angré Château dans l’Est d’Abidjan où des personnes ont été repêchées et secourues des eaux. 

La Société d’exploitation et de développement aéroportuaire, aéronautique et météorologique (SODEXAM) a appelé à la vigilance des uns et des autres dans le district d’Abidjan annonçant des pluies fortes ou modérées les jours à venir. 

En 2018, rappelle-t-on, de fortes pluies survenues dans la nuit du 18 au 19 juin, ont fait 20 morts en Côte d’Ivoire dont 18 décès à Abidjan, la capitale économique ivoirienne, 1 mort à Tiassalé (au Nord d’Abidjan) et un autre à Guibéroua dans le Centre-ouest ivoirien.

Côté d’Ivoire: création d’une ONG de journalistes pour lutter contre les Fake News

Une Organisation non gouvernementale (ONG) dénommée « Journalistes contre les fake news ( fausses informations)» (JCFN), regroupant des journalistes et acteurs des médias ivoiriens a été créée en vue de lutter contre le phénomène des fausses informations qui « entravent la liberté de la presse », rapporte une note d’information transmise samedi à APA.Cette organisation est une initiative de Yao Noël, un vétéran de la presse ivoirienne et membre-fondateur de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire ( UNJCI, faîtière des journalistes ivoiriens) dont il fut le premier président. « Il s’agit de lutter contre le grave phénomène  des fausses nouvelles qui entrave la liberté de la presse  et  d’extirper de nos rangs ceux des journalistes qui s’y adonnent et s’y complaisent, discréditant, chaque jour un peu plus, le métier et la corporation de journalistes », a expliqué M. Yao dans cette note d’information. 

Selon lui, les Fake News sont aujourd’hui une plaie, une gangrène et un virus tout aussi destructeur que le Coronavirus. « Notre ONG va mener cette lutte afin d’aider à redonner toute son honorabilité et sa crédibilité au journalisme ivoirien», a-t-il souligné.

 Des actions  d’information, de formation, de sensibilisation mais aussi de dénonciation et de responsabilisation de tous, figurent au nombre des moyens d’action et des initiatives de cette organisation. 

M. Yao a conclu en invitant tous les journalistes à se joindre à cette « action de salubrité et de sauvetage du journalisme mis à mal par les amateurs de fake news».

Côte d’Ivoire: 50 jeunes filles-mères formées en entrepreneuriat pour améliorer leur employabilité

A l’initiative de l’association « Pro-Kids Côte d’Ivoire» , une ONG qui milite en faveur du bien-être des femmes et des enfants, une cinquantaine de jeunes filles-mères a entamé samedi à Abidjan, une formation en entrepreneuriat, en gestion de projets et en leadership féminin pour améliorer leur employabilité, a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.Ce programme de formation dénommée « Pro-girls Fellowship» qui durera huit mois concerne une cinquantaine de jeunes filles mères parmi lesquelles des élèves, des prostituées, des analphabètes… 

« Aujourd’hui  on parle de  Pro-girls fellowship qui est notre deuxième grand projet. C’est un projet qui touche les filles-mères, un programme de renforcement des capacités de ces filles pour améliorer leur employabilité », a expliqué à APA Aïcha Traoré, la présidente de cette association. 

Selon elle, ces jeunes filles mères « se sentent lésées dans la société et  subissent un traumatisme dont personne n’en prend conscience. Ce sont des filles qui sont doigtées dans la rue». 

Poursuivant, Mme Traoré a souligné que ce programme de formation sera dispensé à ces filles dans les communes de Yopougon (Ouest d’Abidjan) et d’Abobo (Nord d’Abidjan). En plus de la formation théorique, ces filles mères rencontreront  « des personnes-modèles» pour s’en inspirer. 

La deuxième partie  du projet consistera à faire la sensibilisation dans les écoles pour lutter contre les grossesses en milieu scolaire et parmi les filles que nous  allons former, certaines seront nos ambassadrices, a ajouté Mme Traoré.

 

Le programme « Pro-girls fellowship» au cours duquel seront formées des filles-mères élèves, des filles-mères prostituées, des jeunes filles enceintes, a entre autres pour objectif de contribuer à la réduction des grossesses en milieu scolaire et faciliter l’insertion professionnelle de ces jeunes filles.

Plusieurs quartiers inondés après des pluies diluviennes à Abidjan

Plusieurs quartiers d’Abidjan ont été inondés samedi après des pluies diluviennes qui se sont abattues sur toute la ville, a appris APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.Selon des témoins, la pluie torrentielle de ces dernières 24 heures a créé des inondations à Angré Château et à la Riviera, deux quartiers huppés dans l’Est d’Abidjan. D’autres sources évoquent des cas de disparition d’enfants et d’énormes dégâts matériels, une information qui n’a pas été confirmée par des voix officielles.  

La Société d’exploitation et de développement aéroportuaire, aéronautique et météorologique (SODEXAM) a appelé à la vigilance des uns et des autres dans le district d’Abidjan annonçant des pluies fortes ou modérées ce jour.

 En 2018, rappelle-t-on, de fortes pluies survenues dans la nuit du 18 au 19 juin, ont fait 20 morts en Côte d’Ivoire dont 18 décès à Abidjan, la capitale économique ivoirienne, 1 mort à Tiassalé (au Nord d’Abidjan) et un autre à Guibéroua dans le Centre-ouest ivoirien.

Le déconfinement progressif au menu des quotidiens marocains

Le déconfinement progressif, la réouverture des frontières et la relance économique sont les principaux sujets traités par la presse marocaine.+La Vie Eco+ estime que l’évolution de la situation épidémiologique n’est pas prévisible, même si durant plusieurs jours de suite une tendance baissière est observée.

Il suffit d’un léger relâchement de quelques individus irresponsables pour que l’on recommence à voir des bilans inquiétants de 80, 100, voire 150 cas par jour, explique la publication, notant qu’un déconfinement trop rapide pourrait facilement produire une nouvelle vague qui pourrait déboucher sur une situation chaotique.

«La voie la plus prudente pour revenir de manière durable à la vie normale et de permettre un redémarrage irréversible de l’économie est la progressivité. C’est une des lois fondamentales de la nature. Patience!», conclut-il.

Pour la +Nouvelle Tribune+, le Maroc a besoin de se réinsérer, aussitôt que possible, dans le vaste champ des échanges mondiaux, qu’ils soient économiques, commerciaux, financiers, mais aussi humains. Faire l’impasse, par exemple, sur la saison touristique, alimentée par des pays traditionnellement émetteurs, serait fortement préjudiciable même s’il est vrai que l’on n’atteindra pas le même volume d’arrivées et de séjours que celui enregistré en 2019, poursuit la publication.

Voilà pourquoi, parmi les mesures fortement attendues, celle de la réouverture des frontières se présente comme l’une parmi les plus urgentes, estime-t-il, soulignant que les pouvoirs publics devraient sans doute prendre le temps d’une annonce qui ne prendrait pas effet immédiatement.

+Challenge+ écrit que le Maroc s’en sort bien face au Coronavirus et ce, de manière unanimement reconnue, faisant savoir que le pays est passé d’une capacité de 500 lits de réanimation, à 3000.

Sur le plan économique, le soutien aux entreprises et aux familles a été et est toujours massif, rappelle le journal, notant que l’industrie a fourni des masques et respirateurs et que même les médecins militaires et ceux du privé ont été mobilisés pour combattre le Coronavirus.

La première manche est donc gagnée, reste celle du déconfinement progressif et enfin la plus compliquée, celle de la relance économique pour éviter un marasme social, fait-il observer.

+Le Matin+ rapporte que le montant global collecté par le Fonds spécial pour la gestion de la pandémie du nouveau coronavirus a atteint 33 milliards de dirhams (1 euro = 10,7 DH) à fin mai, indique la Trésorerie générale du Royaume (TGR).

Créé suite aux hautes instructions du Roi Mohammed VI, le Fonds est destiné à prendre en charge les dépenses de mise à niveau du dispositif médical, à soutenir l’économie nationale pour faire face aux chocs induits par cette pandémie et préserver les emplois et à atténuer les répercussions sociales de la pandémie.