Côte d’Ivoire/Covid-19 : des journalistes formés sur la couverture médiatique de la crise sanitaire

A l’initiative de l’Association des journalistes scientifiques et de développement de Côte d’Ivoire avec l’appui de ses partenaires dont Breakthrough Action, des journalistes ivoiriens ont été formés vendredi à Abidjan sur la couverture médiatique de la crise sanitaire de la Covid-19, a constaté APA sur place.Deux communications ont meublé cet atelier de renforcement des capacités. La première prononcée par Dr Agbé Narcisse, un épidémiologiste et consultant à l’Organisation mondiale de la santé ( OMS),  a porté sur la situation épidémiologique de la pandémie de la Covid-19.

A cette occasion, Dr Agbé a instruit les journalistes sur les origines de la Covid-19 et la situation de cette maladie dans le monde et particulièrement en Côte d’Ivoire.

« Le Coronavirus a fait son apparition le 17 novembre 2019  dans la province de Hubei, plus précisément dans la ville de Wuhan en Chine. Le 30 janvier 2020, l’OMS a déclaré cette maladie comme urgence de santé publique de portée internationale. A la date du 14 septembre 2020, les cinq pays les plus contaminés sont les États-Unis, l’Inde, le Brésil, le Brésil et le Pérou », a indiqué l’épidémiologiste à l’entame de son exposé.

Poursuivant, il a souligné qu’à ce jour, il n’y a pas de traitement spécifique curatif soulignant cependant que des recherches sont en cours pour trouver un vaccin. En ce qui concerne, la situation de la maladie dans le monde, il a noté de façon générale une relative maîtrise de la pandémie.

En Afrique, Dr Agbé s’est félicité de ce que le nombre total de cas et la mortalité continuent de décroître. En Côte d’Ivoire, il s’est satisfait également de la décroissance des cas de contamination et du taux de létalité qui demeure faible (0,6%).

 Toutefois, il s’est inquiété des cas de contamination qui se multiplient dans plusieurs villes de l’intérieur de la Côte d’Ivoire, notamment Bouaké, San-Pédro et Grand-Bassam. Quant à Mamadou Traoré, le président de l’Association  des journalistes scientifiques et de développement de Côte d’Ivoire, il a rappelé,  dans une présentation, à ses confrères les règles professionnelles à respecter pour une meilleure couverture médiatique de la crise de la Covid-19.

Il a,  par ailleurs, appelé les journalistes à se rapprocher de la communauté scientifique pour produire des articles crédibles dans le domaine de la science. Pour lutter contre la propagation de la maladie à Covid-19, la Côte d’Ivoire a élaboré un plan national de riposte d’un montant de 95 milliards FCFA.

Les autorités sanitaires ivoiriennes ont mis  également un point d’honneur à la sensibilisation pour le respect des mesures barrières contre cette maladie. Notamment, la distanciation physique de un mètre, le port du cache-nez, le lavage des mains avec de l’eau et du savon et l’usage du gel hydroalcoolique. A ce jour, la Côte d’Ivoire compte 19 200 cas confirmés de maladie à Covid-19 dont 18 392 personnes guéries et  120 décès.

Présidentielle ivoirienne: un aspirant à la candidature remercie le Conseil constitutionnel après l’invalidation de son dossier

Le candidat indépendant à la présidentielle ivoirienne Bessi M’Bouke Benjamin dont la candidature a été invalidée lundi dernier par le Conseil constitutionnel, a dit jeudi à Abidjan, « s’aligner à cette décision » remerciant le juge constitutionnel ivoirien.« En tant que citoyen respectueux des symboles de l’État et donc de ses institutions, je prends acte et je m’aligne à cette décision. Je puis vous dire que nous tombons les armes à la main. Tout en reconnaissant la diligence avec laquelle les dossiers de candidature ont été traités, je voudrais marquer un point d’honneur à remercier la Commission indépendante et le conseil constitutionnel », a affirmé M. Bessi dans une conférence de presse.

 Analysant cette invalidation de sa candidature, il a estimé que « l’échec d’aujourd’hui prépare la victoire de demain». «Je ne donnerai aucune consigne de vote à mes partisans… Je ne me retrouve pas dans une opposition. Je suis un indépendant », a précisé M. Bessi.

 Le Conseil constitutionnel ivoirien a invalidé la candidature de M. Bessi, qui est cadre du secteur privé ivoirien,  estimant qu’il a produit un certificat de régime fiscal et une attestation de situation fiscale signés par le receveur des impôts en lieu et place de l’attestation de régularité fiscale signée par le directeur général des impôts.

 Lundi dernier, le Conseil constitutionnel ivoirien a rendu public  la liste des candidats retenus à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020, déclarant éligibles quatre candidats sur 44, notamment Alassane Ouattara, Affi N’Guessan, Kouadio Konan Bertin dit KKB  et Henri Konan Bédié.

Hormis M. Bessi, la plupart des candidats recalés à cette élection comme Guillaume Soro et Mabri Toikeusse ont unanimement condamné cette décision du Conseil constitutionnel dénonçant une «forfaiture ». La présidentielle ivoirienne est constitutionnellement prévue le 31 octobre prochain.

Finale de la ligue des champions d’Afrique 2019: le TAS rejette l’appel du WAC

Le Tribunal Arbitral du Sport (TAS) a rendu sa décision finale dans le cadre de la procédure d’arbitrage entre le club marocain du Wydad Athletic Club (WAC), la Confédération Africaine de Football (CAF) et l’Espérance Sportive de Tunis (« EST », Tunisie) concernant la décision rendue le 15 septembre 2019 par le Comité d’appel de la CAF confirmant la décision du Jury disciplinaire de la CAF du 7 août 2019.Le TAS a rejeté l’appel et confirmé intégralement la décision du Comité d’appel de la CAF. Par conséquent, l’Espérance Sportive de Tunis reste le vainqueur de la Ligue des Champions de la CAF 2018/2019.

La Formation du TAS a établi en particulier que la décision des joueurs du WAC de ne pas reprendre la partie après l’interruption de la finale retour à la 59e minute du match constituait bien un abandon au sens de l’article 148 du Code disciplinaire de la CAF et que le Comité d’appel de la CAF avait confirmé à bon droit la décision du Jury disciplinaire de déclarer que le WAC avait perdu la finale retour par forfait. En conséquence, la Formation du TAS a rejeté l’appel, décide le TAS dans un communiqué publié ce jeudi sur son portail.

Pour rappel, La finale de la Ligue des Champions de la CAF 2018/2019 a été disputée par le WAC et l’EST sur deux matches aller-retour. Les deux équipes avaient fait match nul 1-1 lors de la finale aller à Rabat/Maroc le 24 mai 2019.

Le match retour a eu lieu à Radès le 31 mai 2019 et a été gravement perturbé par des incidents sur et en-dehors du terrain. Le match fut ensuite définitivement interrompu suite à la décision du WAC de ne pas reprendre la partie et l’EST fut déclarée vainqueur du match et par conséquent vainqueur de la Ligue des Champions de la CAF 2018/2019.

Le 5 juin 2019, le Comité exécutif de la CAF a toutefois ordonné aux deux clubs de rejouer le match retour de cette finale sur terrain neutre. Cette décision fut finalement annulée par le TAS le 31 juillet 2019, suite à des appels des deux clubs.

Le 7 août 2019, le jury disciplinaire de la CAF a décidé de sanctionner le WAC en ordonnant la défaite par forfait du match retour de la finale et en imposant une amende totale de 35.000 dollars pour l’abandon du match et pour l’utilisation de fumigènes par ses fans.

Le WAC a déposé un appel contre cette décision auprès du Comité d’appel de la CAF, appel qui a été rejeté le 15 septembre 2019. Ensuite, le WAC a déposé un appel auprès du TAS contre cette dernière décision de la CAF.

Gabon : Serge William Akassaga prend les commandes de la commune de Libreville

La maire central de la province de l’Estuaire a un nouveau patron. Par un arrêté du gouverneur, Serge William Akassaga, 1er adjoint de la commune a été désigné pour assurer l’intérim pendant une période  de trois mois.

Le gouverneur de la province de l’Estuaire, Marie-Françoise Dikoumba a mis fin à la vacance au sein de l’exécutif communal de sa circonscription administrative. Par arrêté 00015/MI/PES/GAB portant constatation de la vacance provisoire du poste de maire, il a désigné le 1er adjoint de la commune pour diriger l’exécutif communal pendant trois mois. La décision intervient 48h après la mise en détention de Léandre Nzue, jusque-là, patron de la mairie. Il est reproché à ce dernier, les faits présumés de détournements de fonds et de blanchiment d’argent.

En attendant l’élection d’un nouveau maire, Serge William Akassaga, 1er adjoint au maire depuis le 3 février 2019 présidera aux destinées de la maire centrale les trois prochains mois.

Avant le prochain conseil municipal, les défis qui attendent le maire intérimaire sont entre autres l’impulsion d’une nouvelle dynamique et être un leader model.

Il est important de préciser que le maire intérimaire ne peut pas excéder une période de 3 mois à la tête de la commune.

Covid-19 au Sénégal: 27,4 % des entreprises formelles en arrêt momentané d’activité (enquête)

Une enquête réalisée auprès des entreprises du secteur formel sénégalais afin de recueillir leurs intentions d’investissement post-covid-19, montre que 27,4 % d’entre elles ont connu un arrêt momentané d’activité.L’étude, menée sur un échantillon de 792 unités, révèle que les petites unités, avec une moyenne de 30,9 %, ont été les plus touchées. 

Plus en détails, le document montre que le phénomène est plus ressenti dans les secteurs des hôtels, bars et restaurants (50,2 %), des services fournis aux entreprises (31,7 %), des services personnels et divers (29,7 %), du commerce (27,2 %), des autres industries (25,5 %) et des transports (24,3 %).

Cet arrêt momentané d’activité a été essentiellement motivé par la fermeture des frontières (36,6 %), la fermeture des marchés, des écoles et des universités (33,0 %), le problème de financement (32,0 %), le problème d’approvisionnement en matières premières (28,0 %) et les difficultés d’écoulement de la production (21,7 %), soulignent les enquêteurs de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie.

La crise sanitaire n’étant pas encore terminée, ce rapport sur les intentions d’investissement post covid-19 des entreprises réalisée par l’ANSD, en appui au Ministère de l’Economie, du Plan et de la Coopération (MEPC), ne couvre que la période allant jusqu’à fin juin 2020.

Agriculture, tourisme et santé au menu des quotidiens marocains

Les quotidiens marocains parus ce vendredi se focalisent sur nombre de sujets notamment sur la stratégie « génération verte », la crise du secteur touristique et les enfants contaminés par la Covid-19.Sous le titre « Génération verte », +Aujourd’hui Le Maroc+ souligne que la nouvelle stratégie « Al Jayl Al Akhdar » est tombée à point nommé pour donner un nouvel élan au secteur agricole national.

Cette stratégie commence déjà à donner ses fruits au point que les bailleurs de fonds européens n’hésitent pas à accompagner ce chantier marocain, relève le journal, notant qu’elle fait le pari de l’émergence d’une nouvelle génération de projets et une nouvelle classe moyenne.

Si la production agricole répond à la demande locale et arrive à se frayer un chemin à de nombreux pays dans tous les continents, il est question aujourd’hui de maintenir le cap et capitaliser sur les acquis pour viser encore plus haut et plus loin, préconise-t-il.

Pour sa part, +Al Bayane+, écrit qu’il est bien évident que le tourisme a subi un coup dur en ces moments de crise de santé, relevant qu’un bon hiver ne serait avantageux que si l’on préparait bien en avance.

On se demanderait alors, pourquoi on ne s’était guère remué au début de la pandémie, alors que toutes les opportunités s’étaient données pour anticiper sur les marchés à toucher et les opérateurs à convaincre, se demande l’éditorialiste.

« Notre pays avait bien cette aubaine en mains, mais les décideurs s’étaient dérobés de leur mission au moment opportun et en mordent, sans doute, les doigts après avoir raté le coche », déplore-t-il, estimant que la relance du tourisme est tributaire à présent de l’effort, de la synergie et de la performance de toutes les composantes régionales.

+Al Ittihad Al Ichtirtaki+ rapporte qu’un total de 2420 enfants des deux sexes ont été contaminés par la Covid-19 depuis le début de la pandémie jusqu’à la semaine dernière, soit 2,8% des cas actifs.

Tous les enfants infectés ont guéri et ceux qui sont encore hospitalisés se portent bien et qu’aucun enfant n’est admis dans les services de soins intensifs. Un seul décès est à déplorer parmi cette catégorie. Il s’agit d’une nourrisson âgée de 17 mois qui souffrait d’autres complications sanitaires. 95% des enfants infectés ont été contaminés par des adultes.

Covid-19: la Namibie met fin à l’état d’urgence

Le président Hage Geingob n’a pas prolongé l’état d’urgence de six mois qui a pris fin hier jeudi et a promis d’annoncer de nouvelles réglementations pour guider la conduite du public dans un contexte de menace imminente d’une résurgence des cas de coronavirus.Dans un discours à la nation jeudi soir, M. Geingob a déclaré que l’état d’urgence qu’il avait décrété le 17 mars a réussi à contenir la propagation du coronavirus et ne sera pas prolongé à son expiration le 17 septembre à minuit.

« Pour aller de l’avant, nous allons surveiller la situation pendant une période de 14 jours afin de déterminer la voie à suivre dans le cadre d’une nouvelle dispense », a déclaré M. Geingob, ajoutant: « Lorsque cela est justifié, des mesures appropriées seront mises en place ».

Il a noté que la décision de ne pas prolonger l’état d’urgence a été prise après avoir pris en compte l’impact du coronavirus sur l’économie.

« Le virus est mortel, mais nous sommes également conscients que la pauvreté tue », a-t-il déclaré.

Il a exhorté les Namibiens à rester vigilants, avertissant que le pays n’était pas encore sorti du bois.

La capitale Windhoek a enregistré hier 62 nouveaux cas de Covid-19, portant le total dans le pays depuis mars à 10.078 cas dont 108 décès.

La dette publique du Gabon est passée de 1300 à 5320 milliards de FCFA entre 2009 et 2019

En 10 ans, la dette publique a été multipliée par quatre, passant de 1300 à 5320 milliards de francs CFA entre 2009 et 2019. Selon l’analyste économique Mays Mouissi, les 4000 milliards empruntés n’ont malheureusement pas été bénéfiques pour le pays.

La dette publique du Gabon a été multipliée par quatre en dix ans, celle-ci est passée de 1300 à 5320 milliards de francs CFA entre 2009 et 2019, selon Mays Mouissi. «En 2009, la dette du Gabon représentait 18% du PIB, soit à peu près 1300 milliards de francs CFA. Ce qui était un niveau extrêmement faible. Et puis je ne sais ce qu’il s’est passé, la dette a quasiment été multipliée par quatre entre 2009 et 2019», a-t-il affirmé. L’analyste économiste s’exprimait lors d’une récente présentation sur la structure de la dette du Gabon.

Ce dernier a reconnu cependant que la dette n’est pas une mauvaise chose en soi. Par contre, a-t-il nuancé, «l’utilisation qu’on fait de l’argent qu’on emprunte peut être excessivement mauvaise. Une dette bien utilisée peut devenir un élément moteur pour le pays au sens où ça peut rapporter de l’argent, dans le cas par exemple de la construction d’une route avec péage. Mais cela n’a pas toujours été le cas (…) Entre 2009 et 2019, on a emprunté plus de 4000 milliards de francs CFA. Qu’est-ce qu’on a en fait ?».

Selon l’analyste économique, la dette publique du Gabon est composée par la dette bilatérale (lorsque le pays s’endette auprès d’un autre pays) et la dette multilatérale (lorsque le pays s’endette auprès d’institutions telles que le Fonds monétaire international) qui n’existait quasiment pas en 2009. A cette occasion, Mays Mouissi a apporté quelques précisions sur les fonds donnés au Gabon par cette institution.

«Le FMI donne de l’argent au gouvernement et souvent les populations s’attendent à ce que ces fonds améliorent leurs conditions de vie. Elles se trompent car le FMI n’investit pas pour améliorer les conditions de vie. Lorsque les comptes de l’Etat sont dans le rouge, le FMI finance son découvert pour ramener le niveau à zéro en espérant que l’Etat se comporte de façon vertueuse pour que l’économie reparte, c’est tout. Certes le FMI exige des réformes en contrepartie de ses fonds, mais les programmes du FMI n’ont pour objectif d’améliorer les conditions de vie des populations», a expliqué l’analyste économique.

 

Source : gabonreview

Société et justice au menu de la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais parvenus vendredi à APA titrent principalement sur le bilan de la visite de Macky Sall en banlieue dakaroise et la convocation du magistrat Souleymane Téliko par la tutelle.Le quotidien national Le Soleil titre sur « les mesures fortes de Macky Sall pour Keur Massar », en marge de sa visite hier dans des zones inondées de la banlieue dakaroise.

« Macky est venu, a promis et est parti », souligne L’AS, reprenant l’annonce de « l’enveloppe de 30 milliards déjà disponible » pour la commune de Keur Massar qui « sera érigé en département ».

Cependant, « le président ne peut pas arrêter le ciel », a prévenu le chef de l’Etat dans Vox Populi. Il a appelé en outre pour que « nous cessions de donner des lotissements dans des zones de cuvette ».

« Nous avons beaucoup fait, mais ce n’est pas suffisant », a-t-il poursuivi, ajoutant que « l’urgence (est de) sortir les eaux des maisons et des quartiers ».

Le Quotidien voit, dans les annonces fortes contre les inondations, un « plan de pompage de Macky » qui prévoit 30 milliards pour sortir les populations des eaux. Le journal explique également « les enjeux politiques » de la décision d’ériger la commune de Keur Massar en département.

EnQuête titre sur la convocation de Souleymane Téliko, président de l’Union des magistrats du Sénégal (UMS), par l’Inspection générale de l’administration judiciaire (IGAJ). Cette situation met « les magistrats en ordre de bataille », avec les comités de ressort de Dakar, Thiès et Saint Louis qui « sont entrés dans la danse ». Ils dénoncent une « tentative de musellement de l’UMS et de son président ».

Le ministre de la Justice, Me Malick Sall, précise toutefois que « c’est une affaire des juges et le garde des Sceaux (qu’il est) n’a rien à voir là-dessus ».

Cependant, L’Observateur note que « Khalifa Sall fait convoquer le magistrat Souleymane Téliko à l’IGAJ ». Des commentaires faits sur le procès de l’ancien maire de Dakar « sont les réelles raisons de cette convocations », souligne le journal, qui livre par ailleurs son « enquête sur François Collin, le fantôme du Palais ».

Ancien vérificateur général de l’Inspection général d’Etat et nouveau secrétaire général adjoint de la présidence, le fils de Jean Collin était « honni par Wade », mais « réhabilité par Macky ».

Libération titre sur « le scandale (que constitue la société) AGS » faisant que le Port autonome de Dakar (PAD) est « presque à l’arrêt ».

Sur la condamnation de l’ancien président de l’athlétisme mondial, le Sénégalais Lamine Diack, son fils Massata Diack souligne dans Stades que « nous sommes déterminés à laver son honneur ».

Le journal s’interroge par ailleurs sur les transferts bloqués des internationaux sénégalais, à l’image de Kalidou Koulibaly, Ismaila Sarr, Sadio Mané, Mbaye Niang ou Keita Baldé, se demandant si « les Lions sont trop chers ».

Mais selon Record, le Paris Saint Germain a « fait une offre pour Koulibaly », soit une proposition de plus de 38 milliards FCFA. Mais son club Naples « réclame toujours 52 milliards ». Ce qui a fait que Manchester City s’est « agacé » avant de « s’éloigner ».

Sur le classement FIFA du mois de septembre, le journal note que les Lions sont « indéboulonnables en Afrique ». Stades fait remarquer pour sa part que le Sénégal a passé « 22 mois au sommet de l’Afrique », se lançant désormais « à l’assaut du record de la Côte d’Ivoire ».

Atlantique Assurances indemnise des agriculteurs sinistrés en Côte d’Ivoire

Atlantique Assurances, une filiale du groupe Banque Centrale populaire ( BCP) en partenariat avec la société Ivoire Coton, a procédé au paiement des indemnités aux agriculteurs assurés déclarés sinistrés durant la campagne cotonnière 2019-2020 dans plusieurs localités ivoiriennes, notamment Goulia, Odiénné, Boundiali et M’Bengué.Selon une note d’information transmise jeudi à APA,  ces indemnités visent à dédommager les agriculteurs souscripteurs de l’offre «Atlantique Assur’ Coton» pour des pertes de rendement liées aux conditions météorologiques. A l’occasion de ces cérémonies d’indemnisation, souligne la note,  cette compagnie d’assurance « a réitéré son engagement et sa vocation à apporter une réponse immédiate» permettant de préserver les revenus des assurés en cas de sinistre ». 

Lancée en 2019, cette offre d’assurance « inédite et innovante», est  dédiée au marché de l’assurance agricole en Côte d’Ivoire. Elle couvre l’assuré contre tout risque de baisse de rendement due aux facteurs climatiques, garantissant ainsi le crédit intrant contracté par l’exploitant.