Gabon 9 provinces : les artistes et d’autres prestataires toujours pas payés

Une semaine après l’engagement pris par le Premier ministre de payer leurs cachets, rien a été fait, a déploré le porte-parole de ces artistes, Hermi Mabila.

Les 120 artistes et la cinquantaine de prestataires qui ont participé au succès de la 4ème édition du festival Gabon 9 provinces en décembre dernier menacent de retourner bloquer le portail du ministère de la Culture suite au non-respect de la promesse  faite par le Premier ministre, Rose Christiane Ossouka Raponda  de payer leurs prestations avant la fin de cette semaine.

A en croire le porte-parole, depuis la promesse faite la semaine dernière, le paiement aurait dû se faire progressivement afin s’achever ce jeudi. Lui et les autres ne comprennent pas pourquoi ils n’ont pas reçu leur argent.

« On a été pacifique suite à l’appel du ministre le vendredi au musée national, qu’on a rencontré et qui nous a dit qu’il a été reçu expressément par le Premier ministre, qui a mandaté de venir nous dire qu’avant le jeudi 4 février on sera payé. Mais jusqu’ici, on n’est pas payé », a-t-il regretté.

Selon une source au ministère de la culture,  «l’argent serait bloqué au Trésor public ». Une explication que ne comprend pas cet ensemble des prestataires, qui se demande comment la parole d’un Premier ministre peut être ainsi foulée aux pieds.

 

 

 

 

 

 

Gabon : l’ancien Vice-Président de la République Pierre Maganga face à la presse ce vendredi 5 février

Selon une information à notre possession, Pierre Claver Maganga Moussavou qui mène un procès contre la Présidence de la République gabonaise, donnera une conférence de presse ce vendredi 5 février au siège de son parti à Ancien SOBRAGA.

Pierre Claver Maganga Moussavou ancien Vice-Président de la République de 2017 à 2019 poursuit en justice le jeune journaliste Steeve Roméro Makanga, auteur d’un article qui aurait provoqué sa chute, son limogeage du palais présidentiel.

A en croire le président de la formation politique Parti social démocrate (PSD), qui serait convaincu que l’article intitulé « Maganga Moussavou chef de gang » était commandité par les services du palais pour justifier son limogeage.

Il sied de signaler que l’article paru sur le site de nos confrères de Kongossanews.com de Steeve Roméro Makanga impliquait le Vice-Président de la République de l’époque dans le scandale du Kevazingogate qui a balayé plusieurs hauts cadres de l’administration gabonaise.

Pour rappel, le Kevazingogate est le scandale de la disparition au port d’Owendo de 350 conteneurs chargés de ce bois rare, très précieux et interdit d’exportation. Les conteneurs étaient placés sous contrôle judiciaire lorsqu’ils avaient simplement disparu avec leur précieuse marchandise.

Depuis la dernière audience au palais de justice, le journaliste Steeve Roméro Makanga se sent très menacé. Il fait dire que ses apparitions publiques sont devenues rares.

 

 

 

Gabon : Ntoutoume Emane est malade mais il n’est pas décédé comme l’annonce des « vautours » sur les réseaux sociaux (M.Obame)

Jean François Ntoutoume, ancien Premier ministre gabonais, n’est pas décédé comme l’annoncé des « vautours » sur les réseaux sociaux, a démenti Clay Martial Obame Secrétaire général de sa formation politique la PPR.

L’ancien Premier ministre Ntoutoume âgé de 80 ans, a depuis le 6 octobre dernier,  n’a jamais caché qu’il souffre d’un diabète. L’ex patron de l’administration gabonaise s’est rendu à la polyclinique El Rapha pour un contrôle de routine. « Ses médecins lui ont conseillé le repos et un respect de son traitement habituel », a affirmé le secrétaire général de sa formation politique.

L’opposant Jean François Ntoutoume Emane a été Premier ministre sous Omar Bongo Ondimba de 1999 à 2006. Reconnaît comme une valeur sure. Cet élite gabonais  avait  après sa démission du Parti démocratique gabonais, créé le Rassemblement des patriotes républicains (RPR).

La presse sénégalaise traite d’une diversité sujets

Les quotidiens sénégalais, parvenus ce vendredi à APA, traitent d’une diversité de sujets allant de la mortalité liée au cancer aux opérations de sécurisation menées par l’Armée en Casamance, en passant du retrait provisoire de la chanteuse Coumba Gawlo Seck de la scène musicale pour des raisons de santé.Dans sa livraison du jour, EnQuête revient sur la difficile prise en charge du cancer avec la pandémie du coronavirus. Alors que la journée mondiale de lutte contre le cancer est célébrée ce 4 février, le journal parle de « dommage collatéral ». Car, à cause de la Covid, « il y a moins de dépistage, de diagnostics et d’argent pour suivre son traitement. »

Le Quotidien revient sur l’opération de ratissage en Casamance et informe que « l’Armée est en roue libre ». Plusieurs bases ont été reprises aux bandes armées, note le journal. Le Quotidien indique que l’Armée allie bombardements aériens et tirs à l’artillerie lourde.

Vox Populi revient sur les problèmes de santé de la chanteuse Coumba Gawlo Seck opérée. Le journal indique que « Coumba Gawlo Seck perd la voix et se retire momentanément de la scène musicale ». La diva a rompu le silence en soutenant que les médecins ont diagnostiqué des dommages au niveau de ses cordes vocales et ses intestins ont été amputés de près d’un mètre.

Au chapitre politique, Sud Quotidien annonce le lancement de l’audit du fichier électoral. « La dernière ligne droite » mentionne le journal qui indique que les « opération sont en phase de démarrage ». « Se dirige-t-on enfin vers un dénouement heureux de l’imbroglio de la politique sénégalaise qui est l’audit du fichier doublé d’évaluation du processus électoral ?», s’interroge le journal.

Libération annonce qu’Expresso, filiale du groupe Sudatel pourrait bien perdre sa licence. Le journal soutient que l’opérateur de téléphonie mobile est épinglé pour « défaut de paiement, retard sur la 4G, arriérés de 7 milliards de Fcfa » par l’ARTP. D’où ce titre prémonitoire du journal, « Expresso, la fin ? ».

Walf Quotidien ouvre ses colonnes à l’ancien Premier ministre Abdou Mbaye. Ce dernier parle de relance économique, de la croissance et de la crise sanitaire et fait de « sombres prédictions ». Abdoul Mbaye estime « qu’une croissance de 5% relève de l’utopie » avant de tacler le gouvernement sur son « optimisme incompréhensible qui va conduire vers de graves difficultés. »

L’Observateur dépoussière l’affaire des 1036 kilos de cocaïne saisis au Port. « Révélations sur un scandale à rebond » renseigne le journal qui parle de la  « nouvelle demande du Procureur au Doyen des juges et des commissions rogatoires en Allemagne et en Italie. »

En Sport, Stades se penche sur la crise sportive à Liverpool, plombée par une inefficacité et une défense poreuse. « Qu’arrive-t-il à Liverpool de Sadio ? » s’interroge le quotidien. Pendant ce temps, Record revient sur le retour en lumière d’Edouard Mendy, auteur d’un neuvième clean sheet lors de la victoire de Chelsea à Tottenham (0-1). « Mendy écœure les Spurs », titre Record.

Sécurité routière, santé et économie au menu des quotidiens marocains

Les quotidiens marocains parus ce vendredi consacrent de larges commentaires aux accidents du travail au Maroc, à la campagne de vaccination contre la Covid-19 et la situation du marché du travail au Maroc.+Aujourd’hui le Maroc+ écrit que les accidents du travail au Maroc provoquent chaque année une véritable hécatombe, ajoutant qu’ « au vu de l’ampleur des chiffres, on serait tenté de dire que le boulot ressemble pour certains travailleurs à un véritable cimetière ».

« Certes, un effort a été fait dans le cadre du code du travail entré en vigueur en 2004. Mais dans les faits, la situation ne semble pas vraiment s’améliorer pour les travailleurs », relève le journal, estimant que certains secteurs sont plus dangereux que d’autres comme le BTP où le plus souvent une bonne partie des chantiers ne disposent pas de tous les moyens nécessaires pour garantir la sécurité des travailleurs.

« Aujourd’hui, le temps est venu pour prendre à bras-le-corps ce dossier, et faire en sorte que la sécurité et la santé de tous les travailleurs soient érigées en priorité », préconise-t-il.

Pour sa part, +L’Économiste+ constate que « fort heureusement, une grande part de la population n’est pas tombée dans le panneau. Plus de 300.000 personnes vaccinées à la date du 3 février. C’est une tendance qui ne trompe pas », ajoutant qu’il faut se féliciter de l’adhésion à la campagne de vaccination contre la Covid-19 alors que le consensus a été attaqué depuis le départ.

« Ne pas jouer le jeu de la vaccination c’est retarder la protection collective et prendre le risque de continuer de nourrir les réservoirs viraux que nous sommes devenus », prévient le quotidien, faisant savoir que c’est le discours avancé par le corps médical dont le rôle est important dans la sensibilisation, mais qui ne peut à lui seul porter le fardeau de la mobilisation.

+Al Ahdath Al Maghribiya+ rapporte que le Haut Comité pour la fraternité humaine des Émirats Arabes Unis a décerné, mercredi, le « Prix Zayed de la fraternité humaine » édition 2021 au Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, et à la militante franco-marocaine dans les domaines social et humanitaire, Latifa Ibn Zyaten.

Le Haut comité a souligné, dans un communiqué, que le choix du jury pour Guterres et la militante Ibn Zyaten intervient en récompense aux « grandes œuvres réalisées et aux initiatives influentes et efficaces qu’ils ont prises et qui sont conformes aux valeurs et principes stipulés dans le Document sur la Fraternité Humaine, qui est le principal critère d’attribution » du Prix ».

« Depuis qu’il a assumé ses fonctions de Secrétaire général des Nations Unies en 2017, Guterres a oeuvré pour trouver des solutions aux problèmes qui affligent le monde, en particulier en ce qui concerne la paix et la sécurité mondiales », rappelle le communiqué qui a mis en évidence l’initiative la plus importante et la plus influente prise par le SG de l’ONU au cours de l’année écoulée sous le signe: « Interdire les guerres afin de lutter contre la pandémie Corona », et qui a été largement saluée par les dirigeants du monde et d’un certain nombre d’organisations internationales.

+Bayane Al Yaoum+ se fait l’écho de la note sur la situation du marché du travail publié par le Haut-commissariat au Plan (HCP), selon laquelle l’économie nationale a perdu 432.000 postes d’emploi en 2020, sous l’effet conjugué de la crise liée à la pandémie du nouveau coronavirus (covid-19) et de la campagne agricole « sèche ».

Cette perte a concerné les deux milieux (295.000 en milieu rural et 137.000 en milieu urbain) et tous les secteurs d’activité économique, à savoir les services (107.000), l’agriculture, forêt et pêche (273.000), l’industrie y compris l’artisanat (37.000) et les BTP (9.000), précise le HCP.

Maroc : prolongation de l’état d’urgence sanitaire au 10 mars prochain

Le gouvernement marocain a décidé de prolonger l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 10 mars 2021, et ce dans le cadre des efforts de lutte contre la propagation de la pandémie du coronavirus.Dans un souci de permettre aux autorités publiques de continuer à garantir l’efficacité et l’efficience des mesures prises dans le cadre de la lutte contre la propagation de la pandémie, l’état d’urgence sanitaire sur l’ensemble du territoire national est prolongé jusqu’au 10 mars 2021 à 18h, indique le porte-parole dui gouvernement.

À noter que le couvre-feu à 21 heures et la fermeture des magasins et restaurants à 20 heures ont été prolongés jusqu’au 16 février courant.

A ce jour, le Royaume a recensé 620 nouvelles infections pour un total de 473.667 cas confirmés à la Covid-19, dont 8.351 décès (+28) et 452.522 personnes guéries (+742), selon le ministère de la Santé.

Côte d’Ivoire: la pression fiscale s’est établie à 12,5% en 2020

La pression fiscale en Côte d’Ivoire s’est établie à 12,5% en 2020, a indiqué jeudi à Abidjan le directeur général des impôts, Abou Sié Ouattara, face aux chefs d’entreprises de la Chambre de commerce européenne en Côte d’Ivoire (Eurocham).

« Nous sommes à 12,5% du taux de pression fiscale aujourd’hui (après la gestion 2020) », a déclaré le directeur général des impôts, Abou Sié Ouattara, lors d’un échange avec des membres de la Chambre de commerce européenne en Côte d’Ivoire (Eurocham). 

Ce taux, notera-t-il, se « situe largement en deçà des normes communautaires » de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa) qui fixe le niveau à 20%. « Nous sommes (d’ailleurs) à 7,5 points à rattraper ».   

L’annexe fiscale 2021 institue deux nouveaux régimes d’imposition et réaménage les régimes réels d’imposition. Elle introduit le régime de l’entreprenant (chiffre d’affaires compris entre 5 et 50 millions Fcfa) et le régime des microentreprises (chiffre d’affaires entre 50 et 200 millions Fcfa). 

« Par le passé, on retrouvait dans le même régime d’imposition l’apprenant qui vient de commencer, le régime de l’impôt synthétique et le régime du réel simplifié », a fait observer le directeur général des impôts. 

Cette annexe fiscale intervient dans un contexte de crise sanitaire de Covid-19 qui a secoué le secteur privé en général et les Petites et moyennes entreprises (PME) en particulier. La réforme initiée vient simplifier la fiscalité applicable aux PME.

Selon le Cabinet de Conseil juridique, fiscal, comptable et financier, Mondon Conseil international, la réforme instaurée par l’annexe fiscale 2021 « accentue la pression fiscale sur ces entreprises avec des taux d’imposition allant de 2% à 7% du chiffre d’affaires ».

« Mobiliser les ressources, c’est nécessaire, mais il ne faudrait pas que cela soit concentré sur les opérateurs du secteur formel, du régime normal et du régime normal réel », a dit Jean-Luc Ruelle, ancien président de Eurocham, actuellement vice-président de l’organisation.

Il s’est félicité des initiatives prises par la direction générale des impôts pour élargir l’assiette fiscale. Pour lui, « c’est la condition pour arriver à une mobilisation sérieuse, importante et significative des recettes fiscales ». 

Pour l’année 2019, la pression fiscale, selon le budget 2019, ressortait un taux de 16% contre 15,6 % en 2018, soit une hausse de 0,4 %. La pression fiscale en 2020 a connu une chute suite à un recalcul du Produit intérieur brut (PIB) dû à la Covid-19. 

Les candidates aux législatives ivoiriennes formées en politique

Le Groupe des organisations féminines pour l’égalité Homme-Femme (GOFEHF) en partenariat avec ONU-FEMMES, a ouvert jeudi à Abidjan un atelier pour renforcer l’accompagnement politique des femmes candidates et leurs suppléantes aux législatives ivoiriennes du 06 mars prochain.

Ce conclave qui entend exhorter les femmes à  « prendre en main leur destin  » s’achèvera vendredi.  « Aujourd’hui nous pourrons dire qu’il n’y a rien à espérer de qui que ce soit. Donc nous devons nous lever et agir face à nous-mêmes. Agir face à soi-même, c’est prendre son destin en main. C’est prendre la bonne décision d’un changement radical face à son destin», a exhorté Rachel Gogoua, la présidente du GOFEHF dans un discours d’ouverture de ce séminaire. 

«Prenons aujourd’hui la résolution d’envahir les assemblées élues. Si tel est notre but ou objectif, nous le pouvons. Alors passons à l’action et agissons dans la solidarité totale des unes et des autres. Il est temps de changer de paradigme, c’est-à-dire la façon de voir », a également conseillé Mme Gogoua aux candidates aux législatives ivoiriennes.

Poursuivant, elle a estimé qu’il  « nous faut une introspection permanente pour être plus que jamais déterminée pour vaincre, c’est-à-dire être élue  ».

La présidente du GOFEHF, une organisation qui dit regrouper 19 réseaux et organisations féminines, a appelé  «ses sœurs » à avoir désormais pour devise  « Gagner et rien que gagner».

La Côte d’Ivoire a adopté en octobre 2019, une loi obligeant les partis politiques à respecter un quota de 30% de femmes dans les assemblées élues. Cette loi vise ainsi à favoriser la représentation de la femme dans les assemblées élues.

Cependant dans un rapport sur les législatives ivoiriennes, le Conseil national des droits de l’homme (CNDH) a révélé qu’aucun parti politique ivoirien n’a respecté ce quota de représentation de 30% des femmes candidates pour ce scrutin prévu le 06 mars prochain.

Maroc : Plus de 350.000 personnes vaccinées contre la Covid-19 (ministère)

Un total de 351.723 personnes ont reçu la première dose du vaccin contre la Covid-19 jusqu’au 4 février à 18H00, a indiqué jeudi le ministère de la Santé dans son bulletin quotidien.Lancée le 28 janvier, la campagne de vaccination sera gratuite pour l’ensemble des citoyens avec comme objectif d’immuniser 80% de la population (30 millions de personnes), de réduire puis éliminer les cas de contamination et de décès dus à l’épidémie et de contenir la propagation du virus.

La priorité a été accordée en priorité aux personnels de première ligne, en l’occurrence, les autorités publiques, les forces armées, les professionnels de la santé de plus de 40 ans et plus, les enseignants de 45 ans et plus et les personnes âgées à partir de 75 ans, vulnérables au virus, et ce, avant de l’élargir au reste de la population.

Aujourd’hui, le Royaume a recensé 620 nouvelles infections pour un total de 473.667 cas confirmés à la Covid-19, dont 8.351 décès (+28) et 452.522 personnes guéries (+742).

L’ambassadeur du Maroc à l’ONU réélu président de la Configuration République Centrafricaine

L’ambassadeur, Représentant permanent du Maroc auprès des Nations unies, Omar Hilale, a été réélu président de la Configuration République Centrafricaine de la Commission de la Consolidation de la Paix des Nations unies (CCP), lors de la première réunion formelle de l’année de cet organe.La CCP, organe subsidiaire du Conseil de Sécurité et de l’Assemblée Générale, a pour mandat de mobiliser les ressources pour le financement des différents plans de consolidation de la paix du pays, de mobiliser la communauté internationale pour maintenir la question centrafricaine au cœur de ses préoccupations et d’élaborer des recommandations et conseils, notamment au Conseil de Sécurité.

La réélection de l’ambassadeur Hilale constitue une marque de confiance de la communauté internationale et de l’ONU dans le rôle clé joué par le Maroc dans la consolidation, le maintien et la pérennisation de la paix. En effet, le Royaume demeure à ce jour le seul pays arabe et africain à présider une Configuration-pays.

Outre la présidence de la Configuration, le Maroc apporte également un soutien important pour la stabilisation du pays, avec un contingent déployé au sein de la mission onusienne de pays (MINUSCA), dont l’abnégation et l’engagement ont été salués à maintes reprises aussi bien par le Président de la République Centrafricaine que par l’ONU.