Covid-19 : 13 millions de doses de vaccin administrées en Afrique

Au total, 45 pays du continent noir ont démarré leurs campagnes de vaccination contre le nouveau coronavirus.La pandémie de la Covid-19 a montré, une fois encore, les inégalités sur la planète. En effet, l’Afrique est incapable de concurrencer les pays développés qui s’arrachent les vaccins dont la quantité insuffisante ne permet pas de satisfaire la demande mondiale.

« Dans les pays à revenu élevé, en moyenne une personne sur quatre a déjà reçu une dose du vaccin contre la Covid-19, contre une personne sur 500 dans les pays à revenu plus faible, notamment dans plusieurs pays africains », a fustigé Dr Matshidiso Moeti, la Directrice régionale de l’Organisation Mondiale de la Santé pour l’Afrique.

La Botswanaise s’exprimait, ce jeudi 15 avril, lors d’une conférence de presse virtuelle au cours de laquelle le Bureau régional qu’elle dirige a souligné que « plus de deux tiers des doses administrées en Afrique l’ont été dans dix pays (où) les stocks s’amenuisent ou sont déjà épuisés ».

Pour inverser la tendance, les experts ont plaidé pour le renforcement des « capacités de production de vaccins » en Afrique dans « un contexte marqué par des approvisionnements limités et des retards dans l’acheminement des doses ».

En tout, 12 millions de doses d’AstraZeneca ont été injectées sur le continent. Grâce principalement au mécanisme Covax, 36 pays ont reçu des lots du précieux liquide. Si la formation de caillots sanguins après la prise des vaccins AstraZeneca et Johnson & Johnson a conduit des pays occidentaux à les suspendre temporairement, la situation est toute autre en Afrique.

« La plupart des rapports faisant état de manifestations postvaccinales indésirables ne concernent que des effets secondaires bénins ou modérés. Jusqu’ici, aucun cas de trouble de la coagulation sanguine n’a été notifié après la vaccination », a indiqué OMS Afrique.

Tout compte fait, l’agence spécialisée des Nations unies pour la santé publique a promis de continuer l’évaluation des vaccins mais « considère sur la base des connaissances actuelles que les avantages l’emportent largement sur les risques ».

En tout cas, Dr Moeti est persuadée que « chaque dose administrée est un pas de plus vers la fin de cette pandémie ». Poursuivant, elle a invité les Etats africains à tout mettre en œuvre afin de « réduire le nombre de cas de formes sévères de la maladie, ainsi que le taux d’hospitalisation et de décès ».

À ce jour, le continent noir compte plus de 4,3 millions de cas du nouveau coronavirus. Au cours des 28 derniers jours, a révélé le Bureau régional de l’OMS pour l’Afrique, le nombre d’infections a augmenté d’au moins 50 % dans 13 pays. Il s’agit entre autres de l’Angola, de l’Éthiopie, du Kenya et de la Centrafrique.

Le Sars-CoV-2, identifié le 9 janvier 2020 à Wuhan (Chine), a déjà causé la mort de près de 3 millions de personnes dans le monde dont 116.506 en Afrique.

Côte d’Ivoire: Amadé Ouérémi condamné à l’emprisonnement à vie

L’ex-chef de milice Amadé Ouéremi a été reconnu jeudi coupable de faits de crimes contre les populations par le Tribunal criminel d’Abidjan qui l’a condamné à l’emprisonnement à vie avec près de 2 milliards de FCFA de dommages et intérêts à payer.

« Le Tribunal déclare M. Amadé Ouéremi coupable des faits de crimes contre les populations, viols, vols en réunion, etc, et le condamne à l’emprisonnement à vie», a dit le juge Charles Biny qui a  également condamné M. Ouérémi à payer près de 2 milliards FCFA de dommages et intérêts aux victimes. 

De son côté, Roselyne Aka-Sérikpa, le Conseil d’Amadé Ouérémi a dénoncé un procès  « biaisé  » avec beaucoup de  « zones d’ombre  ». 

«  Ce procès qui dans son déroulement était biaisé, ne pouvait que donner une sentence biaisée. Le juge n’a fait que dire ce qu’il pensait. Vous m’avez vu demander la comparution de personnes qui ont été nommément citées par M. Ouérémi. Mais on a trouvé des subterfuges pour ne pas que ces personnes comparaissent. NDLR (Lieutenant-colonel Losseni Fofana et Commandant Coulibaly de Kouibly) », a regretté Me Aka-Sérikpa. 

«  On a beaucoup de zones d’ombres dans cette affaire de sorte qu’il n’y a pas eu la manifestation ou l’éclatement de la vérité», a-t-elle soutenu ajout qu’ il est  « injuste » que son client endosse à lui tout seul la responsabilité de ce qui s’est passé à Duékoué ».

Quant à Issiaka Diaby, le président du Collectif des victimes en Côte d’Ivoire (CVCI), il a estimé que cette décision du Tribunal est une  « symphonie inachevée  ».

 Mercredi dernier, le procureur avait requis la prison à vie contre Amadé Ouéremi avec une amende de 100 millions FCFA. Ce procès d’Amadé Ouérémi s’est ouvert  le 24 mars dernier pour crimes contre l’humanité commis pendant la crise post-électorale ivoirienne de 2010-2011 à Duékoué dans l’ouest du pays où plus de 800 personnes ont été massacrées.

Dakar hôte de la semaine de la mobilité durable et du climat

La rencontre se tiendra notamment du 13 au 17 septembre 2022 au Sénégal.Elle est organisée sous l’égide du ministère sénégalais des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement par le biais du Conseil exécutif des transports urbains de Dakar (Cetud), en partenariat avec le réseau Coopération pour le Développement et l’Amélioration des transport urbains et périurbains (Codatu) et l’Association Climate Chance.

La Semaine de la mobilité durable et du climat (SMDC) permettra d’organiser simultanément la 18e conférence de la Codatu et le troisième sommet Climate Chance Afrique.

« Cette rencontre de dimension internationale a pour but de favoriser un développement des territoires compatible avec les objectifs de l’Accord de Paris, notamment en ce qui concerne la mobilité », a expliqué le ministre Mansour Faye, ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement.

S’exprimant au cours d’une conférence de presse, Mansour Faye a souligné l’importance de la participation des collectivités territoriales dans la lutte contre les changements climatiques, notamment l’émission de gaz à effet de serre.

« La prise en charge des collectivités territoriales est fondamentale dans la lutte contre les changements climatiques et une attention particulière doit être accordée aux secteurs les plus émissifs notamment l’énergie, le bâtiment et le transport », a indiqué le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, justifiant ainsi l’implication du ministère des Collectivités territoriales dans l’organisation de la Semaine de la mobilité durable et du climat (SMDC) à Dakar.

Il a souligné qu’en Afrique, près de 20 % des Gaz à effet de Serre (GES) mesurés dans les villes les plus importantes sont émis par les transports.

 Au terme de cette semaine qui se présente déjà comme une pré-COP pour l’Afrique, les participants adopteront la « Déclaration de Dakar ». Celle-ci sera une feuille de route opérationnelle pour la mobilité durable et le renforcement de l’action climat dans les territoires. Elle sera une contribution collective à la COP26 prévue à Glasgow.

Selon ses organisateurs, le rendez-vous de Dakar verra la participation de nombreux acteurs de la transition et de la lutte contre le changement climatique, étatiques et non-étatiques, afin de faire bénéficier au Sénégal et au continent africain d’un moment fort de mobilisation sur les questions de durabilité et de lutte contre le changement climatique.

Plusieurs réseaux seront engagés : Convention des maires en Afrique Subsaharienne (Comssa), Communauté de pratique « MobiliseYourCity », Club des Autorités organisatrices de la mobilité Nord/Sud, le réseau des établissements d’enseignement supérieur et de recherche francophones avec le soutien de l’Agence universitaire de la francophonie (AUF).

Tanzanie : premier remaniement ministère sous l’ère Samia

La nouvelle présidente de la Tanzanie, Samia Suluhu Hassan, a annoncé la nomination de nouveaux ministres des Finances et des Affaires étrangères.La décision est intervenue dans le cadre du premier remaniement ministériel depuis sa prise de fonction le 19 mars dernier.

Annonçant les détails du remaniement effectué peu après la prestation de serment du vice-président Philip Mpango au Palais de la Nation à Chamwino dans la capitale Dodoma, Mme Hassan a nommé Mwigulu Nchemba comme ministre des Finances et de la Planification en remplacement de Mpango.

Avant cette nouvelle nomination, M. Nchemba était le ministre des Affaires constitutionnelles et juridiques.

La présidente a également nommé Liberata Mulamula au poste de ministre des Affaires étrangères et de la Coopération est-africaine.

Mme Mulamula, une diplomate chevronnée, remplace ainsi Palamagamba Kabudi qui devient le nouveau ministre des Affaires constitutionnelles et juridiques.

Philip Mpango est nommé vice-président par la présidente Hassan mardi dernier avant que le parlement ne l’approuve.

 La présidente Hassan a nommé Mpango au poste de vice-président pour occuper le poste devenu vacant après sa prestation de serment en tant que présidente suite au décès le 17 mars de l’ex-président John Magufuli.

Mali : la date des élections générales fixée

Les autorités de la transition ont annoncé, ce jeudi, l’organisation des élections présidentielle et législatives le dimanche 27 février 2022.Sept mois après l’installation du président de la transition, Bah N’Daw, son gouvernement œuvre pour l’application de la feuille de route. Celle-ci doit mener au retour du pouvoir entre les mains de civils à travers la tenue d’élections libres et transparentes.

« Pour le scrutin du président de la République et des députés, les dates proposées s’inscrivent dans le cadre du respect strict de la durée de la transition, c’est-à-dire 18 mois », a déclaré  le ministre de l’Administration territoriale, Lieutenant-colonel Abdoulaye Maïga, au sortir d’une réunion à Bamako, la capitale.

Par ailleurs, les seconds tours de ces joutes électorales devraient se tenir les 13 et 20 mars 2022, a-t-il ajouté aux côtés du porte-parole du gouvernement, Mohamed Salia Touré.

Mais auparavant, un référendum est prévu le 31 octobre 2021. Selon M. Maïga, cette période sera mise à profit pour mener des consultations visant l’élaboration du projet de Constitution, de son examen au Conseil des ministres et ainsi que de son adoption par le Conseil National de la Transition (CNT).

Le ministre de l’Administration territoriale a fait savoir que les autorités veulent, par cette voie, recueillir et prendre en compte les aspirations du peuple malien.

Les élections des conseillers des collectivités (district, commune, cercle et région) sont, quant à elles, prévues le 26 décembre 2021. « Il est proposé de tenir ces scrutins concomitamment afin d’éviter de convoquer les électeurs de façon répétitive, source d’épuisement et par conséquent de baisse du taux de participation », a souligné le ministre Maïga.

Différent frontalier: l’Ethiopie pour une pression internationale sur le Soudan

L’Ethiopie a appelé la communauté internationale à faire pression sur le Soudan pour qu’il évacue ses troupes de ses territoires.Dans un communiqué publié mercredi, le ministère éthiopien des Affaires étrangères a déclaré que le Soudan avait occupé de force des territoires éthiopiens depuis le 6 novembre 2020, à un moment où son armée était préoccupée par l’opération de maintien de l’ordre dans la province du Tigré.

Bien que le Soudan soit l’actuel président de l’IGAD (bloc sous-régional), il est regrettable de constater qu’il est le principal acteur dans la mise en péril de la paix et de la sécurité dans la Corne de l’Afrique en envahissant des territoires éthiopiens, en pillant et en déplaçant des civils et en mobilisant des troupes pour occuper encore plus de terres, a ajouté le ministère.

L’Ethiopie est prête à résoudre son différend frontalier avec le Soudan en utilisant les mécanismes existants de résolution des conflits, une fois que le statu quo est maintenu, conformément à l’échange de notes de 1972 entre les deux pays, et qui interdit le déplacement et la force pour résoudre les problèmes frontaliers, jusqu’à ce qu’une solution à l’amiable soit trouvée, conclut le communiqué.

Rwanda : un jeune écrivain lauréat d’un prix mondial

Obed Imbahafi, un écrivain rwandais de 21 ans, est lauréat de la catégorie écrite pour la narration mondiale des jeunes sur les maladies tropicales négligées (MTN).Le concours mondial de narration pour les jeunes sur les MTN s’ est tenu de décembre 2020 au 8 avril 2021 et a été lancé pour lutter contre les MTN, en partenariat avec la Cour du prince héritier d’Abou Dhabi, l’Union africaine, Channels TV, le Commonwealth Youth Health Network, International Youth Federation, MPJ Youth, TIBA, Institut national de recherche en santé, ASMTH et One million 2021.

Son histoire impressionnante détaille un article du journal de grand-père sur les vers intestinaux, une maladie qui diminue l’aptitude du corps à absorber les nutriments et les vitamines.

Selon Imbahafi, plus d’un milliard d’enfants risquent de contracter des vers intestinaux, dont 82% vivent en Asie du Sud-est et en Afrique.

Selon les organisateurs, le concours a reçu plus de 400 inscriptions de 39 pays. Plus de 50% des candidatures ont été reçues de jeunes à travers l’Afrique où il y a une forte dominance des MTN.

Tous les jeunes du monde entier ont été autorisés à participer et 40 ont atteint la finale, dont deux Rwandais. Les gagnants ont été annoncés dans cinq catégories à savoir le numérique, la musique, la vidéo, l’audio et le texte.

Les juges venaient du Japon, d’Afrique du Sud, du Royaume-Uni et du Costa Rica.

Imbahafi a remporté le premier prix de 2500 dollars et son idée est de développer un site Web de médias sociaux et une application mobile axés sur le traçage de l’histoire de l’Afrique afin de ramener la jeunesse africaine à ses racines.

Jacob Zuma prêt à aller en prison

L’ancien président sud-africain Jacob Zuma est prêt à aller, plutôt qu’à se conformer à la décision de la Cour constitutionnelle lui ordonnant de retourner en tant que témoin devant la Commission d’enquête sur l’accaparement des biens de l’Etat, a appris APA jeudi.Zuma s’expliquait dans une lettre en réponse au Juge en chef, Mogoeng Mogoeng, à la suite d’une demande la semaine dernière de la Cour constitutionnelle lui demandant de choisir la « peine appropriée » s’il était reconnu coupable d’outrage au tribunal pour son refus persistant d’assister aux audiences de la Commission, durant lesquelles la Cour constitutionnelle l’avait reconnu coupable.

 La Commission avait exigé que Zuma, s’il était reconnu coupable d’outrage au tribunal pour ne pas avoir obéi à son ordre de retourner à ses audiences, soit enfermé pendant deux ans à titre de punition et d’exemple pour les autres témoins qui défient les ordres du tribunal de se présenter à l’enquête.

En réponse à la demande de la Commission, la Cour constitutionnelle a écrit à Zuma pour lui demander de lui indiquer le type de sanction que le tribunal devrait lui infliger s’il était reconnu coupable d’outrage au tribunal, comme le dénonçait la Commission d’enquête.

Dans sa réponse, contenue dans une lettre au Juge en chef, Zuma a déclaré qu’il était prêt à devenir « prisonnier de la Cour constitutionnelle ».

Dans sa missive de 21 pages, l’ancien président a fait savoir qu’il ne pouvait pas aider le tribunal à violer ses droits, ajoutant que la Cour constitutionnelle abusait de son autorité judiciaire et s’engageait dans la politique en recevant la plainte de la Commission contre lui.

« Mon objection est légitime car elle provient directement de la Constitution elle-même et de ce qu’elle promet », a déclaré l’ancien président dans une lettre publiée sur les réseaux sociaux. Le président de la Commission et le Juge en chef adjoint, Raymond Zondo, ainsi que l’ensemble du système judiciaire ont fait preuve de partialité politique et personnelle contre lui pendant la procédure, a-t-il accusé.

Bien que le Juge en chef n’ait pas encore répondu à la lettre, Zuma a promis de ne pas participer à l’enquête comme témoin, à la suite d’allégations de corruption à son encontre, lorsqu’il était président du pays jusqu’en février 2018.

L’Ethiopie appelle la communauté internationale dans son différend avec le Soudan

L’Ethiopie a appelé la communauté internationale à faire pression sur le Soudan pour qu’il évacue ses troupes des territoires éthiopiens.Dans un communiqué publié mercredi, le ministère éthiopien des Affaires étrangères a déclaré que le Soudan avait occupé de force des territoires éthiopiens depuis le 6 novembre 2020, à un moment où l’armée éthiopienne était préoccupée par l’opération de maintien de l’ordre dans la province du Tigré.

Bien que le Soudan soit l’actuel président de l’IGAD (bloc sous-régional), il est regrettable de constater qu’il est le principal acteur dans la mise en péril de la paix et de la sécurité dans la Corne de l’Afrique en envahissant des territoires éthiopiens, en pillant et en déplaçant des civils et en mobilisant des troupes pour occuper encore plus de terres, a ajouté le ministère.

L’Ethiopie est prête à résoudre son différend frontalier avec le Soudan en utilisant les mécanismes existants de résolution des conflits, une fois que le statu quo est maintenu, conformément à l’échange de notes de 1972 entre les deux pays, et qui interdit le déplacement et la force pour résoudre les problèmes frontaliers, jusqu’à ce qu’une solution à l’amiable soit trouvée, conclut le communiqué.

Vaccin anti-covid-19: aucun cas d’effets indésirables graves en Côte d’Ivoire

La Côte d’Ivoire qui a démarré la vaccination contre la Covid-19, le 1er mars dernier avec plus de 500.000 doses de vaccin AstraZeneca, n’a enregistré à ce jour, aucun cas de manifestations post-vaccinales indésirables graves ( MAPI) ou effets indésirables graves pour plus de 80.000 personnes vaccinées.

L’information a été donnée à jeudi à Abidjan par Dr Koné Hamidou, un expert en pharmacovigilance des vaccins du ministère ivoirien de la Santé, de l’hygiène publique et de la couverture maladie universelle.

 «  Nous avons reçu le 26 février 2021, 504.000 doses de vaccin AstraZeneca pour 250.000 personnes, soit deux doses par personne. Depuis le 1er mars, plus de 64. 000 personnes ont été vaccinées pour la première dose et 3116 vaccinées pour la 2è dose. A ce jour, il y a zéro cas de manifestations post-vaccinales indésirables graves ( MAPI) en Côte d’Ivoire  », a assuré Dr Koné.

Il s’exprimait dans une réunion d’information et de sensibilisation organisée par le ministère ivoirien de la Santé, de l’hygiène publique et de la couverture maladie universelle pour exhorter les journalistes et professionnels de la communication sur la nécessité de promouvoir la vaccination contre la Covid-19.

Par ailleurs, il a ajouté que la date de péremption du vaccin AstraZeneca est fixée au 23 juin 2021. Selon lui, le vaccin AstraZeneca protège  entre 70 et 80% contre la Covid-19.

  « Lorsque vous faites ce vaccin, vous ne ferez plus jamais de complication liée à la Covid-19 », a soutenu le vaccinologue appelant les populations ivoiriennes « à ne pas douter » de l’efficacité du vaccin AstraZeneca.

Réagissant à certaines rumeurs sur ce vaccin, Dr Koné a souligné que le  « AstraZeneca ne rend pas les vaccinés stériles». La Côte d’Ivoire enregistre à ce jour 45 388 cas confirmés de Covid-19 dont 44 833 personnes guéries et 271 décès.

Cette vaccination contre la Covid-19 qui est gratuite et volontaire, avait visé prioritairement le personnel de santé, les forces de défense et de sécurité, les enseignants, les personnes de plus de 50 ans et les porteurs de pathologies chroniques.

Récemment, le gouvernement a élargi cette vaccination aux personnes âgées de 18 à 49 ans désireuses de se faire vacciner.