Af/Sud : le secteur des services aux entreprises récompensé au niveau international

L’Afrique du Sud a remporté le prix international de la meilleure destination mondiale pour les services aux entreprises pour l’année 2021, après avoir engrangé 127 millions de dollars américains en devises étrangères au cours de l’année écoulée, malgré les difficultés économiques liées à la pandémie actuelle de coronavirus, a annoncé vendredi le ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Concurrence, Ebrahim Patel.Le pays a battu la concurrence acharnée de l’Inde, des Philippines, de la Malaisie, de la Pologne, de l’Égypte et de l’Irlande du Nord pour remporter le premier prix pour la première fois après avoir été classé deuxième l’année dernière, a déclaré M. Patel.

« L’Afrique du Sud a été récompensée en tant que première destination mondiale pour les services de traitement des affaires, un secteur qui se développe rapidement au niveau local et qui exporte des centres d’appels et des services connexes dans d’autres parties du monde », a expliqué M. Patel.

Le ministre s’est félicité de cette récompense suprême pour le secteur des services aux entreprises du pays qui s’est positionné comme l’un des premiers sites internationaux pour les services aux entreprises.

« Le secteur des services aux entreprises, qui comprend les centres d’appels, l’assistance technique et les services de guichet et d’arrière guichet pour les grandes multinationales et les entreprises sud-africaines, a connu une croissance exceptionnelle ces dernières années et a été une source importante de création d’emplois pour les jeunes sud-africains », a-t-il ajouté.

Le ministre s’est toutefois empressé de souligner que cette récompense a été rendue possible par l’injection de fonds par le gouvernement dans le secteur pendant la pandémie de coronavirus, qui a paralysé les activités d’autres pays en raison des difficultés économiques induites par la Covid-19 dans le monde entier.

Les financements de l’État ont permis de mettre en valeur le talent, la technologie et le savoir-faire des jeunes sud-africains et de leur permettre de se mesurer aux meilleurs du monde en créant 14.300 nouveaux emplois dans le secteur, a précisé M. Patel.

Afrique/Moyen-Orient : Le commerce progresse, malgré la Covid-19

En dépit de la pandémie provoquée par le nouveau coronavirus, les flux commerciaux internationaux n’ont pas diminué autant que prévu selon un rapport récent.C’est une étude mondiale sur les perspectives du secteur privé, commandée par la société de logistique mondiale DP World et réalisée par The Economist Intelligence Unit. Le document, rendu public récemment, montre que les flux commerciaux internationaux n’ont pas diminué autant que prévu. Elle révèle que 38 % des entreprises du Moyen-Orient ont réussi à développer leurs ventes à l’international et 32 % en Afrique.

Selon le document, la reconfiguration de la chaîne d’approvisionnement est une priorité pour de nombreuses entreprises qui s’efforcent de surmonter les effets négatifs de la pandémie.

À l’échelle mondiale, 83 % des entreprises sont en train de reconfigurer leurs chaînes d’approvisionnement. Mais d’un point de vue régional, le Moyen-Orient compte la plus forte proportion de répondants (96 %) dont les entreprises sont en train de reconfigurer leurs chaînes d’approvisionnement. En outre, 84 % des entreprises africaines ont répondu qu’elles étaient déjà en train de le faire, soit un peu plus que la moyenne mondiale de 83 %.

L’étude a également analysé l’impact de la pandémie. Sur ce point, la plus grande partie des répondants du Moyen-Orient (48 %) ont indiqué qu’un choc de la demande (défini comme la difficulté de vendre des produits à des clients sur les marchés internationaux) avait eu le plus grand impact négatif sur les ventes internationales de leur entreprise. En Afrique, la proportion la plus élevée de répondants (48 %) a indiqué que c’est l’impact de la crise sur la gestion de la chaîne logistique (défini comme la difficulté à organiser le transport ou les services logistiques) qui aurait eu un effet négatif beaucoup plus important sur leurs entreprises.

En recueillant le point de vue de chefs d’entreprise dans six régions (Amérique du Nord, Amérique du Sud, Europe, Moyen-Orient, Afrique et Asie-Pacifique), l’étude montre qu’en moyenne, les entreprises ont alloué 32 % de leur chiffre d’affaires du premier semestre 2020 pour les aider à changer de fournisseur ou de prestataire logistique et à modifier les lieux de production ou d’achat. Les entreprises du Moyen-Orient s’attendent à restructurer leurs chaînes d’approvisionnement en 7,4 mois, contre 8,6 mois en Afrique et 8,5 mois au niveau mondial.

En outre, les entreprises du Moyen-Orient réaffectent environ 30 % de leurs revenus du premier semestre 2020 à la reconfiguration de leurs chaînes d’approvisionnement, ce qui correspond à la moyenne mondiale (32 %). Cependant, les répondants d’Afrique réaffectent moins – en moyenne environ 24 % de leurs revenus du premier semestre 2020.

Les données ont également révélé les secteurs particuliers qui ont contribué à soutenir le commerce international pendant la pandémie. Soutenues par les données du Centre de Commerce International (ITC), les exportations sud-africaines de pâte à papier (la matière première du papier toilette) ont augmenté de 163 %. En Europe, au cours du premier semestre 2020, les exportations de céréales (notamment vers le Moyen-Orient) et de produits pharmaceutiques en provenance du continent ont augmenté de 23 % et 12 % respectivement.

Les personnes interrogées en Afrique soutiennent que la diversification de leur base de fournisseurs figure parmi les deux principaux facteurs qui devraient déterminer les transactions commerciales internationales jusqu’en 2025. Les entreprises africaines pourraient trouver des opportunités de diversification des fournisseurs dans la région depuis l’entrée en vigueur, au début de l’année, d’un nouvel accord commercial, l’accord de libre-échange continental africain (African Continental Free Trade Agreement).

Pour optimiser les opérations commerciales pendant la pandémie et au-delà, les entreprises africaines se sont appuyées sur un mélange de technologies avancées : Internet des objets (48 % des répondants), cloud computing (26 %), analyse de données (20 %).

Au Moyen-Orient, 56 % pensent que le big data et l’analytique auront un impact positif significatif sur leur capacité à commercer au-delà des frontières dans les 3 à 5 prochaines années. De plus, 43 % pensent que l’Internet des Objets (IdO) aura un impact similaire et 32 % indiquent que la blockchain et le cloud auront tous deux un impact sur le commerce international.

« Le commerce international a fait preuve d’une résilience remarquable pendant la pandémie et jouera un rôle essentiel pour faciliter la reprise mondiale. Le monde des affaires est plus optimiste pour l’avenir que beaucoup ne le pensaient, et les défis de la chaîne d’approvisionnement exposés par la pandémie ont agi comme un agent positif de changement. Nous pensons qu’il en résultera des flux commerciaux mondiaux plus efficaces et plus robustes », soutient Sultan Ahmed Bin Sulayem, PDG et président de DP World.

Selon lui, pour garder une longueur d’avance, les entreprises du Moyen-Orient et d’Afrique continueront à investir dans des solutions numériques et à œuvrer pour un environnement de chaîne d’approvisionnement plus efficace, diversifié et sécurisé.

« La création de tampons (buffers) dans leur chaîne d’approvisionnement, l’approfondissement des relations avec les fournisseurs existants et une collaboration plus étroite avec les fournisseurs nationaux peuvent être des éléments importants de la stratégie des entreprises », affirme M. Sulayem.

Pedro Sanchez en visite au Sénégal

Le président du gouvernement espagnol a été accueilli, ce vendredi 9 avril à Dakar, par le chef de l’Etat sénégalais, Macky Sall.L’émigration clandestine est au centre de cette visite officielle. Car en Afrique de l’Ouest, les côtes sénégalaises sont un point de départ privilégié des migrants vers l’Europe et surtout l’Espagne. C’est pourquoi Pedro Sanchez a reconnu que « le Sénégal est un partenaire essentiel dans la gestion de la route de l’Atlantique ».

Dans son discours, le président du gouvernement espagnol a annoncé la signature par les deux entités d’ « une déclaration commune et de deux protocoles d’accord ».

Objectif : renforcer les « relations bilatérales dans ce domaine » avec le Sénégal pour « une migration sûre, ordonnée et régulière ». Dans ce sens, M. Sanchez a remercié « la Police et à la Garde civile espagnoles déployées au Port autonome de Dakar », tout en soulignant que « leur collaboration avec les autorités sénégalaises est essentielle pour lutter en première ligne contre l’immigration irrégulière ».

Pour sa part, le président Macky Sall a affirmé que l’Espagne est « un partenaire majeur avec lequel (son pays) entretient des relations dynamiques, confiantes et multiformes ». Le chef de l’Etat sénégalais a également salué « les excellents résultats de cette visite ».

Outre ce dossier important, M. Sanchez s’est rendu au Sénégal pour soutenir « la présence d’entreprises espagnoles dans la région » ouest-africaine.

En effet, Madrid fait la promotion « de nouvelles formes de collaboration » qui contribueront efficacement « à la reprise et à la croissance » post-Covid. Pour le Royaume d’Espagne, l’Afrique est « un continent aux grandes possibilités ».

Alassane Ouattara a quitté Abidjan pour la France et le Congo

Le Président ivoirien Alassane Ouattara a quitté́ Abidjan, vendredi, pour un séjour en France, a appris APA de source officielle dans la capitale économique ivoirienne.

Selon un communiqué de la présidence ivoirienne, le chef de l’Etat Alassane Ouattara se rendra ensuite à Brazzaville où il prendra part à l’investiture du président élu de la République du Congo, Denis Sassou N’guesso.

La Cour constitutionnelle du Congo a validé le mardi 6 avril dernier l’élection de Denis Sassou-Nguesso au scrutin du 21 mars 2021. Il a recueilli 88,40% de suffrages au lieu de 88,57% de voix, selon les résultats provisoires que la Cour a légèrement modifiés après avoir rejeté les recours en annulation de trois opposants.

Gabon : l’épidémie de conjonctivite continue de harceler les familles à Libreville

L’épidémie de conjonctivite maladie des yeux plus connue sous l’appellation « appolo » constatée dans la capitale gabonaise depuis environ 3 mois, continue de harceler les familles sans une communication officielle sur cette maladie non mortelle.

L’épidémie se répand quasiment dans tous les quartiers. Et dans une maison, elle attaque un premier porteur, généralement un enfant qui la ramène de l’école, puis les frères et sœurs pour terminer par le chef de la famille sans oublier la maman.

Sans une communication officielle sur cette maladie très gênante qui s’attaque aux yeux, les traitements de la grand-mère sont plus en vogue. Les plus connus sont le sel ou le sucre dilué versé dans les yeux. D’autres mettent des goûtes de citron dans les yeux ou encore des piments.

Les familles moyennes optent plutôt pour la pharmacie où des traitements efficaces existent et sont très demandés en ce moment.

La conjonctivite est une maladie très banale, qui touche beaucoup de personnes. Elle correspond à une infection de la membrane transparente (la conjonctive). Elle recouvre l’intérieur des paupières et tapisse une partie du globe oculaire, couvrant le banc de l’oeil. Elle est souvent bénigne, mais doit être traitée.

 

 

Gabon : la grève dans les régies financières fait perdre 50 milliards de FCFA des recettes par mois

La grève en cours dans les régies financières (impôts, douanes, trésor public et pétrole) fait perdre par mois environ 50 milliards de FCFA, selon l’économiste Willy Ontsia interrogé sur la question par nos confrères de la Radio Gabon.

A en croire l’économiste Willy Ontsia, ces pertes sont dues par le non prélèvement des taxes par ces agents recrutés pour effectuer ce travail.

Il sied de signaler que,le 31 mars dernier, la Fédération des collecteurs des régies financières (FECOREFI) qui regroupe quatre administrations (Douanes, Trésor, Impôts et hydrocarbures) avait  décidé, au terme d’une assemblée générale, de durcir la grève remise au goût du jour le 19 mars dernier suite à la sourde oreille du gouvernement qui ne veut pas payer la Prime à la performance budgétaire (PPB) du mois de février dernier.

« L’Assemblée Générale a décidé, unanimement de reconduire le mot d’ordre de grève générale illimitée sur toute l’étendue du territoire national », avait hurlé le porte-parole, Sylvain Ombinda.

A l’origine de la nouvelle poussée de fièvre, l’application 6 du décret n°00429/PR/PM du 24 décembre 2020 instituant une Prime à la Performance Budgétaire.

Les syndicalistes accusent le gouvernement de violer l’article 16 de son propre décret qui prévoit que l’évaluation de la performance est effectuée une fois par trimestre. Ils font constater que le décret datant de décembre, la première évaluation de la performance doit intervenir après mars. Or le gouvernement a sorti une évaluation en février faisant valoir des contre-performances, ce qui étonne les syndicalistes.

 

 

Décès du préfet d’Abidjan Bamba Souleymane

Le préfet d’Abidjan Bamba Souleymane est décédé vendredi dans la capitale économique ivoirienne des suites d’une maladie, a appris APA auprès de ses proches.

C’est le 06 janvier 2021 que M. Bamba qui est préfet hors grade, a été nommé à la préfecture d’Abidjan en remplacement de Vincent Toh Bi démissionnaire. Il était auparavant préfet de la région du N’Zi dans le Centre ivoirien.

Paiements électroniques : Mastercard et Uber renforcent leur partenariat

Pour stimuler la numérisation des paiements et faire progresser l’inclusion financière au Moyen-Orient et en Afrique, Mastercard et Uber renforcent leur collaboration.Les relations à long terme entre Uber et Mastercard continuent de se développer. Une nouvelle initiative stratégique axée sur les paiements numériques et la promotion des inclusions financières qui sera facilitée par Mastercard au Moyen-Orient et en Afrique (MEA) a été adoptée entre la compagnie de paiement électronique et la société de transport urbain

Ce partenariat, premier dans la région entre les deux entreprises permettra à Uber de favoriser la numérisation dans l’ensemble de ses opérations commerciales, en tirant profit de l’infrastructure unique de Mastercard pour les paiements sur ses différents services proposés :  Uber Rides, Uber Eats, Uber Pass et Uber for Business.

Selon le rapport Economy 2021 publié par Mastercard, l’impact économique de la Covid-19 a introduit des modifications importantes dans les habitudes des consommateurs numériques, la croissance de la banque en ligne, la perturbation des technologies financières et les opportunités de stimuler l’inclusion financière.

Par ce partenariat, les deux entreprises pourraient combler l’écart d’inclusion financière à travers un large éventail d’efforts.

« Mastercard continue de s’associer à des acteurs numériques de toute la chaîne de valeur pour construire un monde plus connecté. Permettre un mouvement sécurisé et immédiat de l’argent pour les travailleurs et les clients de l’économie à la tâche, est particulièrement vital car nous soutenons les efforts de reprise économique. Grâce à notre partenariat croissant, nous permettons la croissance commerciale à long terme de l’entreprise grâce à une efficacité opérationnelle améliorée, favorisant une plus grande inclusion financière et l’innovation dans la région et, en fin de compte, stimulant la croissance de l’économie numérique dans la région MEA », explique Amnah Ajmal, vice-président exécutif du développement du marché, Mastercard, MEA.

L’année dernière en Afrique du Sud Uber a lancé un produit appelé Uber Pass, qui sera désormais disponible dans la plupart des villes du Moyen-Orient et de l’Afrique, Mastercard devenant un partenaire de distribution clé pour favoriser l’adoption.

« Il s’agit du plus grand partenariat pour nous au sein de la région MEA, et nous sommes fiers de travailler ensemble pour apporter des solutions financières clés aux partenaires pilotes de la MEA. Le bien-être des conducteurs est une priorité absolue et il est important pour nous de mettre à leur portée les opportunités qu’ils souhaitent », se justifie Tino Waked, directeur général régional, Moyen-Orient et Afrique.

Ce nouveau partenariat se base sur le travail déjà accompli ensemble par les deux sociétés. L’année dernière, Mastercard a engagé 120 000 voyages et repas gratuits pour les communautés de soutien à travers le Moyen-Orient et l’Afrique, ce qui a été facilité par Uber. Ce partenariat s’étend à toute la région et il a soutenu des villes, des hôpitaux, des travailleurs en première ligne et des communautés marginalisées avec des trajets et des repas gratuits.

Le travail entrepris avec Uber joue un rôle clé dans la promotion de l’engagement mondial de Mastercard en faveur de l’inclusion financière et de l’engagement de la société à faire entrer un total d’un milliard de personnes, 50 millions de micro et petites entreprises et 25 millions de femmes entrepreneurs dans l’économie numérique d’ici 2025.

Gabon : Ali Bongo a créé un bataillon du génie agricole pour mieux nourrir ses militaires

Le conseil des ministres du mercredi 7 avril a décidé de créer un bataillon du génie agricole pour mieux nourrir les militaires gabonais. Cette décision est la volonté du  chef de l’État, Ali Bongo Ondimba.

C’est Michael Moussa Adamo ministre de la défense, qui a présenté et défendu ce projet au cours du conseil des ministre du mercredi 7 avril dernier. L’homme de la défense,  a réussi à faire adopter ce projet, à cet effet, par le conseil des ministre le projet de décret portant réorganisation de la Direction Générale du Génie Militaire.

« Parmi les innovations, on note la création du Bataillon du génie agricole ». Selon le décret « l’une des missions premières est d’appuyer l’Etat dans l’amélioration des moyens de subsistance des forces de défense ».

Le bataillon du génie agricole se chargera également de « la mise en place de Formations rattachées du Génie Militaire ».

L’objectif à terme, selon le conseil des ministres est de permettre à cette structure des forces de défense de répondre de manière optimale aux enjeux nouveaux liés à sa montée en puissance.

Le texte ne précise pas si le nouveau bataillon se chargera de créer des plantations ou des fermes pour réduire l’insécurité alimentaire récurent dans le pays. Le poulet et la viande surgelés, les pattes alimentaires et les boites de conserve sont les aliments principaux des soldats actuellement nourris par les forces de défense du Gabon. Le nouveau bataillon pourrait fournir des légumes et certainement du poulet frais aux soldats.

 

 

 

 

 

Lancement à Abidjan d’un projet pour soutenir 300 commerçantes

La Fondation African Women Initiatives ( AWI) a lancé jeudi à Abidjan l’édition 2021 de son programme dénommé CÊWA, un projet qui vise à soutenir à terme 300 femmes commerçantes à faibles revenus.

 Au cours de cette cérémonie de lancement, rapporte une note d’information transmise vendredi à APA, les bénéficiaires ont reçu chacune un kit d’une valeur de 100 000 FCFA composé d’une glacière, de sodas et de l’eau minérale.

 « Cette 1ère cohorte riche de 100 femmes comprend trois catégories de bénéficiaires que sont celles du kit glacière, du kit cosmétique et celles du kit marché composés de produits secs», précise la note.

Par ailleurs, pour cette année 2021, ce projet soutiendra à terme 300 femmes  issues du district d’Abidjan, notamment dans les communes d’Adjamé, Abobo, Port-Bouët, Yopougon, Treichville et Marcory afin de renforcer leurs capacités de résilience économique et sociale face à la Covid-19.

Au nom des bénéficiaires, Sompleï Marie Noëlle a remercié la Fondation AWI et ses partenaires pour cette initiative visant l’autonomisation économique de la femme. Le concept dénommé CÊWA destiné à soutenir les femmes commerçantes à faibles revenus, a été lancé officiellement le 29 mai 2019.