La RDC va lancer un championnat scolaire de football

La Fifa et la République démocratique du Congo ont signé, ce jeudi, un protocole d’accord portant sur un championnat scolaire.L’initiative permettra à la Fédération congolaise de football association (Fecofa), à la Fifa et au gouvernement congolais de promouvoir la santé et de soutenir la cohésion sociale en intégrant la pratique du football au cursus scolaire, rapporte un communiqué reçu ce jeudi à APA.

Lors d’une cérémonie organisée au Palais des Nations de Kinshasa, ce protocole d’accord a été signé par Constant Omari, président de la Fecofa, Fatma Samoura, Secrétaire Générale de la Fifa, et Marcel Amos Mbayo Kitenge, ministre des Sports et Loisirs de la RD Congo. Il décrit les grandes lignes d’une compétition scolaire et la manière dont elle pourra, grâce au pouvoir du football, contribuer à améliorer des vies et insuffler des valeurs positives auprès de la jeunesse.

L’initiative permettra d’inculquer aux enfants l’importance du travail d’équipe, de la confiance en soi, de la stratégie et du respect des règles, et leur apprendre à faire preuve de respect et de dignité dans la victoire comme dans la défaite.

En plus de doter les écoles d’installations de football, elle prévoit aussi la mise en place d’un programme de recrutement et de formation d’arbitres auprès des jeunes. Il permettra en outre à de très nombreux garçons et filles de faire de l’exercice et de tisser des liens à l’échelle continentale.

Patrice Motsepe, président de la Caf, a félicité les dirigeants de la Fifa et de la RD Congo pour cette initiative, qui mise sur la jeunesse africaine à travers les valeurs du football et qui offre la possibilité à des millions de filles et de garçons de devenir de meilleurs citoyens.

Les travaux de la première centrale solaire de Côte d’Ivoire seront lancés en 2021

Le nouveau ministre ivoirien des Mines, du pétrole et de l’énergie, Thomas Camara a officiellement pris fonction, jeudi à Abidjan, au cours d’une cérémonie de passation de charges avec son prédécesseur, Abdourahmane Cissé.

Au cours de cette cérémonie présidée par  Roger Charlemagne Dah du Secrétariat général du gouvernement, Abdourahmane Cissé,  a dressé le bilan et les perspectives de son passage à la tête de ce ministère, saluant dans la foulée la nomination de son successeur.

A propos des perspectives, le ministre Cissé a énuméré le lancement en 2021 des travaux de construction de la première centrale solaire de la Côte d’Ivoire, l’accélération du processus d’électrification des localités en vue d’atteindre un taux de couverture de 100% à fin 2025, un mix énergétique d’au moins 42% d’énergies renouvelables à fin 2030 et l’entrée de nouveaux acteurs dans le domaine des hydrocarbures.

Parlant de son bilan dans le domaine de l’énergie, le ministre Abdourahmane Cissé a rappelé que sur la période  2019-2020, 1 841 localités ont été électrifiées, soit en moyenne 900 localités par an contre 300 par an sur la période 2012-2018.

Le taux de couverture national est passé de 33,1% en 2011 à 58% en 2018 et 80% à fin 2020. A ce propos, les localités de plus de 500 habitants, seront électrifiées avant fin juin 2021, selon les prévisions.

Par ailleurs, il ressort de ce bilan que 1,4 million de familles à revenu modeste ont bénéficié de la baisse de 20% du tarif social d’électricité, quand plus de 425 000 familles ont obtenu leur propre compteur à domicile à travers le Programme Electricité Pour Tous (PEPT) 2019-2020.

Il y a également le démarrage du projet de construction, à Aboisso (Sud-Est), de la plus grande centrale biomasse d’Afrique de l’Ouest, à base de palmier à huile  et d’une capacité de 46 MW.

Dans le domaine de la formation, il a cité la création de l’Ecole supérieure du pétrole et de l’énergie avec des doubles diplômes de l’Ecole polytechnique de Paris et de l’Institut français du pétrole. Cette école est logée au sein de l’Institut national polytechnique Félix Houphouët-Boigny de Yamoussoukro.

Un prix de l’innovation dans l’énergie et les hydrocarbures doté d’une récompense de 10 millions FCFA a été également institué sous le ministre Cissé pour encourager les entrepreneurs des secteurs de l’énergie et des hydrocarbures.

En outre, au niveau des hydrocarbures, un programme a été initié pour doubler la capacité de stockage national en butane.

Par ailleurs, une loi sur le contenu local dans les activités pétrolières et gazières en Côte d’Ivoire pour créer des champions nationaux et des emplois pour les  jeunes a été adoptée le 24 mars dernier, en Conseil des ministres.

«Je suis l’un des vôtres et je souhaite que la collaboration soit bonne », a lancé le nouveau ministre en direction de ses nouveaux collaborateurs, émettant le vœu que «nous puissions poursuivre les grands projets ».

« Que la confiance que le Président de la République a placée à la grande famille du pétrole et de l’Energie ne soit pas trahie », a conclu Thomas Camara qui assurait jusqu’à sa nomination le 06 avril dernier le poste de directeur général de la Société ivoirienne de raffinage (SIR).

Un nouveau gouvernement ivoirien de 41 membres dirigé par le premier ministre Jérôme Patrick Achi a été dévoilé le mardi 06 avril 2021. Auparavant, Abdourahmane Cissé a été nommé ministre-secrétaire général de la présidence de la République.

Les travaux de la première centrale solaire de Côte d’Ivoire seront lancés en 2021

Le nouveau ministre ivoirien des Mines, du pétrole et de l’énergie, Thomas Camara a officiellement pris fonction, jeudi à Abidjan, au cours d’une cérémonie de passation de charges avec son prédécesseur, Abdourahmane Cissé.

Au cours de cette cérémonie présidée par  Roger Charlemagne Dah du Secrétariat général du gouvernement, Abdourahmane Cissé,  a dressé le bilan et les perspectives de son passage à la tête de ce ministère, saluant dans la foulée la nomination de son successeur.

A propos des perspectives, le ministre Cissé a énuméré le lancement en 2021 des travaux de construction de la première centrale solaire de la Côte d’Ivoire, l’accélération du processus d’électrification des localités en vue d’atteindre un taux de couverture de 100% à fin 2025, un mix énergétique d’au moins 42% d’énergies renouvelables à fin 2030 et l’entrée de nouveaux acteurs dans le domaine des hydrocarbures.

Parlant de son bilan dans le domaine de l’énergie, le ministre Abdourahmane Cissé a rappelé que sur la période  2019-2020, 1 841 localités ont été électrifiées, soit en moyenne 900 localités par an contre 300 par an sur la période 2012-2018.

Le taux de couverture national est passé de 33,1% en 2011 à 58% en 2018 et 80% à fin 2020. A ce propos, les localités de plus de 500 habitants, seront électrifiées avant fin juin 2021, selon les prévisions.

Par ailleurs, il ressort de ce bilan que 1,4 million de familles à revenu modeste ont bénéficié de la baisse de 20% du tarif social d’électricité, quand plus de 425 000 familles ont obtenu leur propre compteur à domicile à travers le Programme Electricité Pour Tous (PEPT) 2019-2020.

Il y a également le démarrage du projet de construction, à Aboisso (Sud-Est), de la plus grande centrale biomasse d’Afrique de l’Ouest, à base de palmier à huile  et d’une capacité de 46 MW.

Dans le domaine de la formation, il a cité la création de l’Ecole supérieure du pétrole et de l’énergie avec des doubles diplômes de l’Ecole polytechnique de Paris et de l’Institut français du pétrole. Cette école est logée au sein de l’Institut national polytechnique Félix Houphouët-Boigny de Yamoussoukro.

Un prix de l’innovation dans l’énergie et les hydrocarbures doté d’une récompense de 10 millions FCFA a été également institué sous le ministre Cissé pour encourager les entrepreneurs des secteurs de l’énergie et des hydrocarbures.

En outre, au niveau des hydrocarbures, un programme a été initié pour doubler la capacité de stockage national en butane.

Par ailleurs, une loi sur le contenu local dans les activités pétrolières et gazières en Côte d’Ivoire pour créer des champions nationaux et des emplois pour les  jeunes a été adoptée le 24 mars dernier, en Conseil des ministres.

«Je suis l’un des vôtres et je souhaite que la collaboration soit bonne », a lancé le nouveau ministre en direction de ses nouveaux collaborateurs, émettant le vœu que «nous puissions poursuivre les grands projets ».

« Que la confiance que le Président de la République a placée à la grande famille du pétrole et de l’Energie ne soit pas trahie », a conclu Thomas Camara qui assurait jusqu’à sa nomination le 06 avril dernier le poste de directeur général de la Société ivoirienne de raffinage (SIR).

Un nouveau gouvernement ivoirien de 41 membres dirigé par le premier ministre Jérôme Patrick Achi a été dévoilé le mardi 06 avril 2021. Auparavant, Abdourahmane Cissé a été nommé ministre-secrétaire général de la présidence de la République.

Zambie: le président Lungu veut briguer un 3e mandat

Le président Edgar Lungu a déposé son dossier de candidature au Secrétariat du Front patriotique (PF, au pouvoir) dans sa tentative de porter les couleurs du parti, pour la présidentielle d’août 2021.Le Secrétaire général du Front patriotique, Davis Mwila, a confirmé hier mercredi avoir reçu un formulaire de candidature de Lungu, avant la tenue du Conseil national et de la conférence générale du parti, prévue samedi et dimanche prochains.

« J’ai vérifié ses documents et ils sont conformes aux exigences, et il a payé les frais de dossier de 10.000 K (environ 452 dollars US) », a déclaré Mwila.

Lungu a remporté une bataille judiciaire en 2018 pour briguer un troisième mandat, après que la Cour constitutionnelle a décidé qu’il pouvait légalement se présenter aux élections de 2021 sans enfreindre la limite de deux mandats prévus dans la Constitution du pays.

Son premier mandat n’a duré qu’un an et six mois, quand il a pris la relève après le décès du précédent président élu, Michael Sata. Il remporte l’élection suivante, lors d’un vote contesté pour un second mandat complet en août 2016.

Les partisans de Lungu avaient fait valoir que la constitution stipulait qu’un président n’était censé avoir fait un mandat que s’il était en fonction pendant au moins trois ans du mandat complet de cinq ans.

Niger : Bazoum démarre avec 33 ministres

Le nouveau président nigérien, Mohamed Bazoum, a nommé un gouvernement qui promeut la jeunesse et l’expertise de ses membres.Bazoum tient son équipe. Après sa prise de fonction le 1er avril dernier, il a procédé le 7 avril à la nomination de son gouvernement. Il s’agit de trente-trois ministres dont cinq femmes.

Le même jour déjà, le Premier ministre Ouhoumoudou Mahamadou, nommé en fin de semaine dernière, a prêté serment devant les députés. Il dirigera le reste de l’équipe qui devra conduire la politique du successeur de Mahamadou Issoufou.

Le fils de ce dernier, Mahamane Sani Mahamadou, 37 ans, directeur de campagne du président Bazoum, est propulsé ministre du Pétrole, de l’Énergie et des Énergies renouvelables. D’après les témoignages, il a fait de brillantes études aux États-Unis et en Grande-Bretagne.

Cette nomination entre en droite ligne dans la politique que veut prôner le nouveau président. Dorénavant, la gestion de l’action publique sera assurée par « des cadres promus sur la base de leurs compétences techniques et de leur moralité », avait-il dit dans son discours d’investiture.

Ainsi dans ce premier gouvernement, beaucoup de jeunes font leur entrée même s’il marque son ancrage au sein des formations qui composent la mouvance présidentielle, à savoir la Mouvance pour le renouveau national (MRN) qui a soutenu la candidature du président Bazoum. Les trois principaux partis de cette formation se taillent la part du lion. Le PNDS se retrouve avec 16 postes ministériels, le MPR cinq et le MNSD quatre.

Mais selon plusieurs observateurs, le gouvernement est, en plus d’être renouvelé, rajeuni à plus de 50%. Outre Mahamane Sani Mahamadou, d’autres jeunes sont nommés à la tête de ministères comme les Finances, la Justice, le Plan et l’Éducation nationale.

Voici la liste du nouveau gouvernement :

1. Premier ministre : Ouhoumoudou Mahamadou

2. Ministre d’Etat, Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération : Hassoumi Massoudou

3. Ministre d’Etat à la Présidence de la République : Rhissa Ag Boula

4. Ministre de la Défense Nationale : Alkassoum Indattou

5. Ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation : Alkache Alhada

6. Ministre de la Formation Professionnelle : Kassoum Maman Moctar

7. Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche : Phd. Mamoudou Djibo

8. Ministre de la Santé Publique, de la Population et des Affaires Sociales : Dr Illiassou Idi Maïnassara

9. Ministre des Mines : Madame Ousseini Hadizatou Yacouba

10. Ministre de la Poste et des Nouvelles Technologies de l’Information : Hassane Barazé Moussa

11. Ministre des Transports : Oumarou Malam Alma

12. Ministre de l’Action Humanitaire et de la Gestion des Catastrophes : Laouan Magagi

13. Ministre de l’Elevage, Porte parole du Gouvernement : Tidjani Idrissa Abdoulkadri

14. Ministre de l’Equipement : Hamadou Adamou Souley

15. Ministre de la Justice, Garde des Sceaux : Dr Boubakar Hassan

16. Ministre de la Communication, chargé des Relations avec les Institutions : Zada Mahamadou

17. Ministre des Finances : Ahmat Jidoud

18. Ministre du Commerce, de l’Industrie et de l’Entreprenariat des Jeunes : Gado Sabo Moctar

19. Ministre de l’Agriculture : Dr Alambedji Abba Issa

20. Ministre de l’Urbanisme, du Logement et de l’Assainissement : Maïzoumbou Laoual Amadou

21. Ministre du Plan : Abdou Rabiou

22. Ministre du Pétrole, de l’Energie et des Energies Renouvelables : Mahamane Sani Mahamadou

23. Ministre de la Culture, du Tourisme et de l’Artisanat : Mohamed Hamid

24. Ministre de l’Aménagement du Territoire et du Développement Communautaire : Maman Ibrahim Mahaman

25. Ministre de la Promotion de la Femme et de la Protection de l’Enfant : Madame Allahoury Aminata Zourkaleini

26. Ministre de l’Education Nationale : Dr Rabiou Ousman

27. Ministre de l’Hydraulique : Adamou Mahaman

28. Ministre de la Fonction Publique et du Travail : Madame Ataka Zaharatou Aboubacar

29. Ministre de l’Environnement et de la Lutte contre la Désertification : Madame Garama Saratou Rabiou Inoussa

30. Ministre de l’Emploi et de la Protection Sociale : Dr Ibrahim Boukary

31. Ministre de la Jeunesse et du Sport : Sekou Doro Adamou

32. Ministre déléguée auprès du Ministre des Finances chargée du Budget : Madame Gourouza Magagi Salmou

33. Ministre délégué auprès du Ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation, chargé de la Décentralisation : Dardaou Zaneidou

34. Ministre délégué auprès du Ministre d’Etat aux Affaires Etrangères et de la Coopération, chargé de l’Intégration Africaine : Youssouf Mohamed Almouctar

Zambie: le président Lungu veut briguer un 3e mandat

Le président Edgar Lungu a déposé son dossier de candidature au Secrétariat du Front patriotique (PF, au pouvoir) dans sa tentative de porter les couleurs du parti, pour la présidentielle d’août 2021.Le Secrétaire général du Front patriotique, Davis Mwila, a confirmé hier mercredi avoir reçu un formulaire de candidature de Lungu, avant la tenue du Conseil national et de la conférence générale du parti, prévue samedi et dimanche prochains.

« J’ai vérifié ses documents et ils sont conformes aux exigences, et il a payé les frais de dossier de 10.000 K (environ 452 dollars US) », a déclaré Mwila.

Lungu a remporté une bataille judiciaire en 2018 pour briguer un troisième mandat, après que la Cour constitutionnelle a décidé qu’il pouvait légalement se présenter aux élections de 2021 sans enfreindre la limite de deux mandats prévus dans la Constitution du pays.

Son premier mandat n’a duré qu’un an et six mois, quand il a pris la relève après le décès du précédent président élu, Michael Sata. Il remporte l’élection suivante, lors d’un vote contesté pour un second mandat complet en août 2016.

Les partisans de Lungu avaient fait valoir que la constitution stipulait qu’un président n’était censé avoir fait un mandat que s’il était en fonction pendant au moins trois ans du mandat complet de cinq ans.

Niger : Bazoum démarre avec 33 ministres

Le nouveau président nigérien, Mohamed Bazoum, a nommé un gouvernement qui promeut la jeunesse et l’expertise de ses membres.Bazoum tient son équipe. Après sa prise de fonction le 1er avril dernier, il a procédé le 7 avril à la nomination de son gouvernement. Il s’agit de trente-trois ministres dont cinq femmes.

Le même jour déjà, le Premier ministre Ouhoumoudou Mahamadou, nommé en fin de semaine dernière, a prêté serment devant les députés. Il dirigera le reste de l’équipe qui devra conduire la politique du successeur de Mahamadou Issoufou.

Le fils de ce dernier, Mahamane Sani Mahamadou, 37 ans, directeur de campagne du président Bazoum, est propulsé ministre du Pétrole, de l’Énergie et des Énergies renouvelables. D’après les témoignages, il a fait de brillantes études aux États-Unis et en Grande-Bretagne.

Cette nomination entre en droite ligne dans la politique que veut prôner le nouveau président. Dorénavant, la gestion de l’action publique sera assurée par « des cadres promus sur la base de leurs compétences techniques et de leur moralité », avait-il dit dans son discours d’investiture.

Ainsi dans ce premier gouvernement, beaucoup de jeunes font leur entrée même s’il marque son ancrage au sein des formations qui composent la mouvance présidentielle, à savoir la Mouvance pour le renouveau national (MRN) qui a soutenu la candidature du président Bazoum. Les trois principaux partis de cette formation se taillent la part du lion. Le PNDS se retrouve avec 16 postes ministériels, le MPR cinq et le MNSD quatre.

Mais selon plusieurs observateurs, le gouvernement est, en plus d’être renouvelé, rajeuni à plus de 50%. Outre Mahamane Sani Mahamadou, d’autres jeunes sont nommés à la tête de ministères comme les Finances, la Justice, le Plan et l’Éducation nationale.

Voici la liste du nouveau gouvernement :

1. Premier ministre : Ouhoumoudou Mahamadou

2. Ministre d’Etat, Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération : Hassoumi Massoudou

3. Ministre d’Etat à la Présidence de la République : Rhissa Ag Boula

4. Ministre de la Défense Nationale : Alkassoum Indattou

5. Ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation : Alkache Alhada

6. Ministre de la Formation Professionnelle : Kassoum Maman Moctar

7. Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche : Phd. Mamoudou Djibo

8. Ministre de la Santé Publique, de la Population et des Affaires Sociales : Dr Illiassou Idi Maïnassara

9. Ministre des Mines : Madame Ousseini Hadizatou Yacouba

10. Ministre de la Poste et des Nouvelles Technologies de l’Information : Hassane Barazé Moussa

11. Ministre des Transports : Oumarou Malam Alma

12. Ministre de l’Action Humanitaire et de la Gestion des Catastrophes : Laouan Magagi

13. Ministre de l’Elevage, Porte parole du Gouvernement : Tidjani Idrissa Abdoulkadri

14. Ministre de l’Equipement : Hamadou Adamou Souley

15. Ministre de la Justice, Garde des Sceaux : Dr Boubakar Hassan

16. Ministre de la Communication, chargé des Relations avec les Institutions : Zada Mahamadou

17. Ministre des Finances : Ahmat Jidoud

18. Ministre du Commerce, de l’Industrie et de l’Entreprenariat des Jeunes : Gado Sabo Moctar

19. Ministre de l’Agriculture : Dr Alambedji Abba Issa

20. Ministre de l’Urbanisme, du Logement et de l’Assainissement : Maïzoumbou Laoual Amadou

21. Ministre du Plan : Abdou Rabiou

22. Ministre du Pétrole, de l’Energie et des Energies Renouvelables : Mahamane Sani Mahamadou

23. Ministre de la Culture, du Tourisme et de l’Artisanat : Mohamed Hamid

24. Ministre de l’Aménagement du Territoire et du Développement Communautaire : Maman Ibrahim Mahaman

25. Ministre de la Promotion de la Femme et de la Protection de l’Enfant : Madame Allahoury Aminata Zourkaleini

26. Ministre de l’Education Nationale : Dr Rabiou Ousman

27. Ministre de l’Hydraulique : Adamou Mahaman

28. Ministre de la Fonction Publique et du Travail : Madame Ataka Zaharatou Aboubacar

29. Ministre de l’Environnement et de la Lutte contre la Désertification : Madame Garama Saratou Rabiou Inoussa

30. Ministre de l’Emploi et de la Protection Sociale : Dr Ibrahim Boukary

31. Ministre de la Jeunesse et du Sport : Sekou Doro Adamou

32. Ministre déléguée auprès du Ministre des Finances chargée du Budget : Madame Gourouza Magagi Salmou

33. Ministre délégué auprès du Ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation, chargé de la Décentralisation : Dardaou Zaneidou

34. Ministre délégué auprès du Ministre d’Etat aux Affaires Etrangères et de la Coopération, chargé de l’Intégration Africaine : Youssouf Mohamed Almouctar

Le Soudan exige le remplacement des casques bleus éthiopiens à Abiyé

Le Soudan a demandé aux Nations Unies de remplacer le contingent éthiopien de casques bleus à Abyei par des troupes de différents pays.Le ministre des Affaires étrangères Mariam al-Mahdi a fait cette sortie sur la chaîne d’information panarabe Al-Hadath, après l’échec des pourparlers avec l’Ethiopie sur le Grand barrage de la Renaissance éthiopienne (GERD) à Kinshasa

Le ministre a affirmé que l’Ethiopie avait fait preuve d’une « intransigeance inacceptable » dans les pourparlers sur le GERD. Sa décision de procéder à la deuxième phase de remplissage de son réservoir est contraire au droit international, a-t-elle déclaré.

« Il n’est pas concevable d’accepter les forces éthiopiennes déployées dans la profondeur stratégique du Soudan alors que les troupes éthiopiennes se massent à la frontière orientale du Soudan », a martelé Mahdi.

Le Soudan veut reconsidérer ses relations et accords de coopération avec l’Ethiopie, a déclaré la ministre, précisant que les immigrants et les réfugiés éthiopiens ne seraient pas affectés.

Abiyé est une ville d’une superficie de 10 546 Km2. Elle est contrôlée par le Soudan mais réclamée par le Soudan du Sud. La région possède un statut administratif spécial selon le Protocole sur la résolution du conflit d’Abyei de 2004 dans l’Accord de paix Nord-Sud qui a mis fin à la seconde guerre civile soudanaise.

Selon l’Accord, la région d’Abyei, convoitée par les deux États car riche en pétrole, est considérée comme faisant partie simultanément des États du Kordofan du Sud (au Soudan) et de Bahr el Ghazal du Nord (au Soudan du Sud).

Côte d’Ivoire: Birahima Ouattara s’engage à lutter contre les bandes terroristes

Le nouveau ministre ivoirien de la défense, Téné Birahima Ouattara dit «Photocopie » qui a pris officiellement fonction jeudi à la tête de ce département ministériel, s’est engagé à lutter contre les bandes terroristes et criminelles qui sévissent dans la sous-région.

« (…) Nous devons donc continuer sur cette lancée pour relever les défis qui s’imposent encore à nous à savoir la lutte contre les bandes terroristes et criminelles qui sévissent dans la sous-région, le renforcement de la coopération militaire avec les pays frères et amis, l’assistance et la protection des populations et de leurs biens, la poursuite de l’amélioration des conditions de vie et de travail de l’ensemble des personnels de la défense», a dit M. Ouattara dans une cérémonie de passation de charges.

M. Ouattara  entend poursuivre les objectifs et renforcer les résultats grâce aux valeurs de discipline, de dévouement et d’engagement. 

«  Nous devons toujours être animés d’un esprit d’équipe afin d’être efficaces en tout lieu et en tout temps. Je sais pouvoir compter sur vous », a souhaité le nouveau ministre de la défense.

Auparavant, M. Ouattara a salué les résultats obtenus par son prédécesseur, l’ex-premier ivoirien ministre feu Hamed Bakayoko à la tête de ce ministère. 

«Pour nous qui avons connu Hamed Bakayoko, je peux porter le témoignage que Hamed était un homme exceptionnel. Il nous a toujours impressionné par ses qualités de travail, son dévouement, sa fidélité», a fait savoir M. Ouattara.

« Je mesure pleinement les responsabilités qui sont les miennes et je prie le tout puissant afin qu’il me donne la force et le discernement nécessaire pour l’accomplissement de cette mission», a-t-il conclu.

Avant lui, Jean-Paul Malan, le directeur de cabinet du ministre de la défense, a expliqué au nouveau ministre les projets déjà réalisés, en cours de réalisation ou en perspectives.

 « L’action du ministère de la défense s’est articulée autour de l’amélioration des conditions de vie et de travail des militaires et des gendarmes, par le renforcement des capacités opérationnelles des unités, l’acquisition d’équipements de communication, de véhicules tactiques et la réhabilitation de nombreux bâtiments  », a entre autres indiqué M. Malan.

Téné Birahima Ouattara a été nommé ministre de la défense par intérim le 08 mars dernier. Il a été confirmé ministre d’Etat, ministre de la défense mardi dernier dans le premier gouvernement du premier ministre Patrick Achi.

Le budget 2021 du ministère ivoirien de la défense s’élève à 354 milliards FCFA dont 55 milliards FCFA d’investissements.

Le Soudan exige le remplacement des casques bleus éthiopiens à Abiyé

Le Soudan a demandé aux Nations Unies de remplacer le contingent éthiopien de casques bleus à Abyei par des troupes de différents pays.Le ministre des Affaires étrangères Mariam al-Mahdi a fait cette sortie sur la chaîne d’information panarabe Al-Hadath, après l’échec des pourparlers avec l’Ethiopie sur le Grand barrage de la Renaissance éthiopienne (GERD) à Kinshasa

Le ministre a affirmé que l’Ethiopie avait fait preuve d’une « intransigeance inacceptable » dans les pourparlers sur le GERD. Sa décision de procéder à la deuxième phase de remplissage de son réservoir est contraire au droit international, a-t-elle déclaré.

« Il n’est pas concevable d’accepter les forces éthiopiennes déployées dans la profondeur stratégique du Soudan alors que les troupes éthiopiennes se massent à la frontière orientale du Soudan », a martelé Mahdi.

Le Soudan veut reconsidérer ses relations et accords de coopération avec l’Ethiopie, a déclaré la ministre, précisant que les immigrants et les réfugiés éthiopiens ne seraient pas affectés.

Abiyé est une ville d’une superficie de 10 546 Km2. Elle est contrôlée par le Soudan mais réclamée par le Soudan du Sud. La région possède un statut administratif spécial selon le Protocole sur la résolution du conflit d’Abyei de 2004 dans l’Accord de paix Nord-Sud qui a mis fin à la seconde guerre civile soudanaise.

Selon l’Accord, la région d’Abyei, convoitée par les deux États car riche en pétrole, est considérée comme faisant partie simultanément des États du Kordofan du Sud (au Soudan) et de Bahr el Ghazal du Nord (au Soudan du Sud).