Malawi : Chakwera remanie de son gouvernement

Le président du Malawi, Lazarus Chakwera, a annoncé un nouveau gouvernement qui comprend de nouveaux visages, quelques jours après avoir limogé l’ensemble de l’Exécutif lundi, à la suite d’une tempête de corruption impliquant certains de ses anciens principaux lieutenants.Dans la nouvelle liste ministérielle annoncée par le Secrétaire de la Présidence et du Gouvernement, Zanga Zanga Chikosi, Samuel Kawale remplace Kezzie Msukwa, accusé de corruption, en tant que nouveau ministre des Terres du Malawi, tandis que l’homme d’affaires Mark Phiri est nommé ministre du Commerce et de l’Industrie, en remplacement de Sosten Gwengwe.

Vera Kamtukule a été promue ministre du Travail, tandis qu’Abida Mia a été élevée au rang de ministre de l’Eau et de l’Assainissement. Kamtukule et Mia étaient auparavant vice-ministre du Travail et vice-ministre des Terres, respectivement.

Chakwera a dissous l’ensemble de son cabinet cette semaine à la suite d’un tollé public concernant la corruption croissante parmi ses ministres.

Msukwa a été suspendu au début du mois sur la base d’allégations selon lesquelles il aurait accepté des pots-de-vin d’un homme d’affaires important en échange de l’accès à des terres de premier ordre.

Deux autres ministres ont été licenciés à la fin de l’année dernière, également en raison d’allégations de corruption.

D’autres nominations seront faites prochainement, a déclaré le bureau de Chakwera.

Voici la liste des nouveaux ministres :

Lobin Lowe, ministre de l’Agriculture

Michael Usi, ministre du Tourisme, de la Culture et de la Faune sauvage

Samuel Kawale, ministre des Terres

Mark Phiri, ministre du commerce et de l’industrie

Vera Kamtukule, ministre du Travail

Abida Mia, ministre de l’Eau et de l’Assainissement

Patricia Kaliati, ministre du Genre, du Développement communautaire et du Bien-être social

Titus Mvalo, ministre de la Justice

Agnes Nyalonje, ministre de l’Education

Khumbidze Chiponda, ministre de la Santé

Jacob Hara, ministre des Transports

Blessings Chinsinga, ministre du Gouvernement local.

Mali : Takuba sur la sellette, bras de fer entre Bamako et Paris

Le déploiement des troupes danoises au Mali dans le cadre du groupement militaire Takuba sème la discorde entre le Mali et la France.On assiste à une véritable guerre des communiqués entre le gouvernement de transition malienne et le ministère français des Affaires étrangères sur la participation du Danemark à la Task Force militaire Takuba qui opère au Sahel. Alors que la France a engagé une « concertation approfondie » avec ses partenaires européens sur l’avenir de la force militaire européenne, le pouvoir malien exige le départ de soldats danois tout juste arrivés.

Dans un communiqué, le ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, le Colonel Abdoulaye Maîga, estime qu’en entrant sur le territoire malien, le Danemark n’a pas respecté le « protocole additionnel applicable aux partenaires européens » de la force Takuba, qui exigerait de signer au préalable un accord bilatéral avec Bamako.

Dans sa réponse, le gouvernement malien « par note verbale du 29 juin 2021 », soutient que « le gouvernement du Royaume de Danemark a saisi le gouvernement de la Transition d’un projet de texte en vue de convenir du statut des forces spéciales danoises devant intervenir au sein de la force Takuba sur la base du protocole additionnel conclu en mars 2020 entre le gouvernement de la République du Mali et le gouvernement de la République française déterminant le statut des détachements non français de la force Takuba ».

Selon toujours le communiqué du gouvernement de la transition, « la partie danoise avait souhaité recevoir un accusé de réception de la partie malienne pour marquer l’entrée en vigueur du texte soumis ». La requête étant toujours en examen, la partie malienne soutient qu’ « aucun accord n’autorise le déploiement des forces spéciales danoises au sein de la force Takuba ».

Une mise au point qui fait réagir le Quai d’Orsay. Dans un communiqué, le site du ministère des Affaires étrangères précise que « les autorités maliennes ont envoyé une lettre d’invitation formelle au gouvernement du Danemark le 27 novembre 2019. La notification d’acceptation a ensuite été transmise par l’ambassade du Danemark à Bamako le 29 juin 2021 et signée le jour-même par le Protocole du Ministère malien des Affaires étrangères et de la Coopération internationale » soutient la note.

Le communiqué précise que « la présence de militaires danois sur le sol malien est donc légale, repose sur une invitation de la part des autorités de la République du Mali et respecte la procédure juridique agréée par les services juridiques des ministères maliens des Affaires étrangères et de la Coopération internationale et de la Défense et des Anciens combattants » a soutenu le communiqué.

Le document publié sur le site du ministère des Affaires étrangères de la France, porte la signature des pays qui composent la Task force Takuba : Allemagne, Belgique, Danemark, Estonie, France, Hongrie, Italie, Lituanie, Norvège, Pays-Bas, Portugal, République Tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Suède.

A peine lancée, Takuba vacille. La Task-force qui doit remplacer Barkhane, l’opération militaire menée par la France au Sahel est déjà dans l’impasse. Lancée en mars 2020 à Liptako Gourma, dans la partie sud-ouest du Niger, Takuba doit étendre son domaine d’intervention au Burkina Faso et au Mali. Elle a pour mission d’assister et à former l’armée malienne, en coordination avec les partenaires du G5 Sahel, de la Minusma et les missions de l’UE.

Après avoir annoncé la fin de Barkhane en juin 2021, La France s’ensable véritablement dans le dossier malien. Paris estime pourtant qu’un retrait au Sahel serait présenté comme une faillite militaire et politique en Afrique notamment par les jihadistes, et laisserait le champ libre à la Russie qui se déploie actuellement au Mali et lorgne le Burkina Faso.

Gabon : Libreville accueille les assises Africaines de la cybersécurité du 24 au 25 février 2022

Libreville sera l’hôte des Assises Africaines de la cybersécurité (AAC) qui aura lieu du 24 au 24 février prochain.  Ces rencontres sont placées sur le thème « La cyber résilience des entreprises et des Etats ».

 

 

Une rencontre qui réunira l’ensemble des acteurs de la cybersécurité africains et internationaux, avec comme objectif d’édifier les décideurs publics et privés sur les enjeux stratégiques des pays africains dans ce secteur clé du numérique. 

Il sied de signaler que, dans un monde globalisant, les risques cybers sont de plus en plus croissants et constituent une menace pour de nombreux Etats et des entreprises. Selon le baromètre de la cybersécurité en Afrique publié par le Club d’Experts de la Sécurité de l’Information en Afrique (CESIA), « 82% des entreprises disent avoir subi au moins 3 cyberattaques en 2020 ». Une donnée qui n’échappe pas aux gouvernements africains qui sont confrontés eux aussi depuis quelques années à une multiplication des menaces cybernétiques.

C’est donc dans l’optique d’en comprendre les enjeux, que se tiennent ces Assises Africaines de la cybersécurité qui se veut être un espace d’échanges et de networking pour aborder de façon transversale les problématiques liées au Cyber.

Organisées avec le soutien du CESIA, de la Société d’Incubation Numérique du Gabon (SING) et la Chambre de Commerce de Libreville, ces rencontres sont placées sur le thème « La cyber résilience des entreprises et des Etats ».

 

 

Economie et sport au menu des quotidiens marocains

La situation des PME, la transformation numérique et la qualification de la sélection marocaine de football pour les quarts de finale de la CAN 2021 sont les principaux sujets traités par les quotidiens marocains parus ce jeudi.+Aujourd’hui Le Maroc+, qui s’attarde sur la situation des PME, écrit que les pouvoirs publics ont, de tout temps, multiplié les tentatives, les programmes et les dispositifs pour les aider à démarrer, à se développer, pour les préserver et parfois aussi pour les sauver, mais que toutes ces actions d’accompagnement « s’arrêtent de produire des effets une fois passés la conjoncture ou le contexte pour lesquelles elles ont été destinées ».

Le chef d’entreprise, lui, demeure confronté en permanence aux nombreux autres défis du quotidien avec pour seule préoccupation d’assurer la survie et la pérennité de son activité et des emplois, estime la publication.

Si aujourd’hui, il y a nécessité de muscler la PME marocaine, l’enjeu ne peut pas être réduit aux seuls aspects financiers, d’autant plus que les PME ont aussi et surtout besoin d’un accompagnement rapproché au quotidien, de bénéficier d’expertises, de formation, d’aide au développement de ses capacités et de ses ressources humaines, relève-t-il.

+L’Économiste+, qui revient sur la transformation numérique, écrit que certes, de nombreuses entreprises ont déjà “pris le train”, des services publics aussi, mais qu' »il y a encore de gros trous dans les chaînes ».

Le retard de digitalisation fait perdre au Maroc des points non seulement dans les classements internationaux, mais aussi en termes d’augmentation de la productivité et de la compétitivité de l’économie, relève le quotidien, qui se fait l’écho du rapport du CESE.

Dans l’administration, moins du quart des services sont complètement dématérialisés, ce qui fait perdre à chaque citoyen en moyenne annuelle 50 heures et à chaque entreprise 200 heures! estime-t-il, soulignant que “la fracture numérique est grande et coûte très cher”.

+L’Opinion+, qui revient sur la qualification des Lions de l’Atlas pour les quarts de finale de la CAN 2021, après leur victoire contre le Malawi en 8e de finale, écrit que la sélection nationale était « sur le point de battre un autre sinistre record, celui de ne pas atteindre le tour des quarts depuis 18 ans ».

En effet, depuis l’épopée de Badou Zaki et son équipe « incognito » qui a atteint la finale de la Coupe d’Afrique des Nations organisée en Tunisie, le Onze national a toujours raté le rendez-vous des quarts, souligne le journal.

Même lorsque les Lions de l’Atlas partirent favoris lors de la CAN 2019, ils furent éjectés en 8èmes de finale contre toute attente, par la modeste formation du Bénin, qui participait pour la première fois à la compétition, relève-t-il, évoquant “un épisode tragique” pour le public marocain, qui misait gros sur son équipe nationale.

Même son de cloche du côté d’Al Bayane qui titre “Le cauchemar béninois n’a pas eu lieu !”.

A la veille de ce match des huitièmes de finale de la CAN, “on craignait fort” que le “spectre du cauchemar” contre le Bénin, à la même phase de la compétition en 2019, ne se reproduise encore une fois, note-t-il.

Il importe maintenant de reconnaître qu’en dépit de cette victoire “euphorique” contre la sélection du Malawi, le jeu de l’équipe nationale “ne convainc toujours pas !”, estime-t-il, évoquant “beaucoup de déchets” aussi bien dans la ligne médiane que dans celle de l’offensive.

Macky Sall et son gouvernement à la Une au Sénégal

Les quotidiens sénégalais parvenus jeudi à APA titrent principalement sur les retrouvailles de Macky Sall avec ses ministres dont certains ont été battus aux élections locales du 23 janvier dernier.Macky Sall aux membres du gouvernement : « Préparez vos dossiers », titre L’Observateur qui plonge « dans l’ambiance du dernier Conseil des ministres d’après scrutin ».

EnQuête est formel : « Macky Sall va couper des têtes », le remaniement ministériel est « imminent ». Selon le journal, le chef de l’Etat a informé hier ses ministres de l’arrivée d’un Premier ministre et « leur a demandé d’expédier les affaires courantes ». « Il lui faut reprendre la main rapidement et endiguer la déferlante YAW (Yewwi Askan Wi) », la grande coalition de l’opposition qui a remporté d’importantes villes et communes du pays.

En revanche, Le Quotidien note que « Macky prend son temps » pour la nomination du Premier ministre, un poste qui avait été supprimé après la présidentielle de 2019. Le journal indique que « le décret ne sera pas signé avant le 8 février ».

Sur les contreperformances de la coalition présidentielle aux élections locales de dimanche dernier, Walf Quotidien note des « tirs groupés sur (Mahmoud) Saleh », le directeur de Cabinet politique de Macky Sall qui avait déclaré que ce scrutin avait valeur de référendum pour un troisième mandat de son mentor.

Si les résultats provisoires des Locales ne sont pas encore publiés, Vox Populi souligne que « les candidats de YAW Thiès soufflent sur les braises ». Le journal note que ces derniers « s’accrochent à leurs +victoires+ et menacent ».

Le Témoin fait focus sur les résultats du Parti démocratique sénégalais (PDS) et « les raisons d’une régression ». Jadis principale formation de l’opposition, puis parti au pouvoir avant de retourner dans l’opposition, « le PDS n’est plus que l’ombre de lui-même. A preuve, il a chuté de 107 collectivités locales en 2014 à 27 dimanche dernier ».

Sur un autre sujet, L’AS indique que « Macky préconise la dématérialisation des procédures » pour une célérité des décisions judiciaires.

Le Soleil titre sur le sixième plan d’actions des syndicats de l’enseignement. Une situation qui met « l’école dans la tourmente » avec des élèves qui en ont « ras-le-bol », indique le quotidien national.

Sur la CAN 2021, Le Soleil informe que « les Lions affronteront la Guinée équatoriale en quarts » dimanche prochain.

Stades titre sur la série de quatre matchs sans but encaissé par le Sénégal dans cette compétition. « Une première depuis 2002 », d’après le quotidien sportif.

Chul : Dr Thérèse Vané Ndong-Obiang annonce des journées scientifiques de son institution pour avril 2022

Le Dr Marie-Thérèse Vané Ndong-Obiang, directeur général du Chul, a échangé avec les Chefs de département du Centre hospitalier universitaire de Libreville, sur les contours de la journée scientifique du Chul prévue au mois d’avril prochain.

 

 

Notons que, le fonctionnement du Chul actuel et perspectives, constituera la problématique centrale de ces assises, les premières organisées conjointement par tous les départements et services du Chul, a révélé le Dr François Ondo Ndong, Chef de département chirurgie.

Il sied de noter que, le Chul compte six (6) départements assavoir : réanimation-anesthésie-urgences, chirurgie, gynécologie-obstétrique, pédiatrie, médecine et médico-technique.

Tous ces  départements, sont dirigés par des Professeurs en médecine et enseignants à l’université des sciences de la santé, couvrent trente-deux services cliniques et médicotechniques.

Il faut aussi souligner qu’à côté des missions classiques de diagnostic et d’accès aux soins préventifs et curatifs, le Chul et tous les autres établissements sanitaires similaires sont également chargés de la mission de formation et de recherche.

 

Protection de la vie privée: Joël Ledaga appelle a une adhésion massive de la population

Joël Ledaga, président de  la Commission nationale pour la protection des données à caractère personnel (CNPDCP) a, a l’occasion de la célébration de la 16ème journée mondiale de la «protection des données personnelles et de la vie privée,  a annoncé que cette manifestation d’importance qui se célèbre le 28 janvier de chaque année, sera délocalisée à Port-Gentil pour inciter les populations de la province de l’Ogooué Maritime de déclarer et protéger   à la commission, leurs données à caractère personnel.  

 

Ci-dessous l’intégralité du discours du président de la CNPDCP, à l’occasion de cette journée mondiale.

Chers compatriotes ;

Avant de commencer mon propos circonstanciel, je voudrais d’abord vous présenter à toutes et à tous, au nom de la Commission Nationale pour la Protection des Données à Caractère Personnel (CNPDCP) et en mon nom propre, nos vœux les plus prestigieux de santé, de prospérité et de longévité. Que Dieu Tout puissant, Maître du temps et des circonstances, vous bénisse et vous accompagne tout au long de cette nouvelle année 2022.

A l’instar de la communauté internationale, notre pays le Gabon célèbre ce 28 Janvier 2022,  la 16ème journée mondiale de la protection des données personnelles et de la vie privée, dénommée « DATA PRIVACY DAY » sous le thème: « La protection des données personnelles et de la vie privée en Afrique: mythe ou réalité ».

Dans ce contexte, cette journée célébrée à travers le monde, est une opportunité offerte aux Autorités de protection des données, de raviver à l’unisson, les débats sur les problématiques liées à la protection des données personnelles et de la vie privée.

A ce titre, confrontée aux innovations technologiques et à la mondialisation, la question de la protection de la vie privée, se trouve au cœur des enjeux et des débats sociopolitiques contemporains.

A cet effet, les pratiques de collecte, de consommation et d’exploitation d’informations relatives à des individus, font partie des modes d’administration des populations et des caractéristiques des sociétés de contrôle. Ces pratiques de prélèvement, d’utilisation des données privées et de traçabilité des individus, génèrent une quantité importante de données personnelles, appelées « BIG DATA », estimées en Afrique à plusieurs milliards par jour, produites par une population à majorité sans culture numérique, devenant ainsi la cible des géants du web, les GAFAMA, dont les modèles économiques reposent incontestablement sur l’exploitation desdites données, considérées désormais comme matières premières de cette économie digitale.

D’ailleurs, ce marché potentiel avec une population africaine d’environ 1,3 milliards d’habitants, encore peu régulé, pour ne pas dire une zone de non droit, constitue assurément, un grand réservoir de consommateurs des services numériques. Ces pratiques sociales du public se greffent sur ces innovations.

Aussi, nous pouvons noter que parmi les 55 Etats africains, 27 ont adopté des lois sur la protection des données personnelles et 20 disposent d’Autorités de protection, soit environ 40% de l’ensemble des Etats, chargées de veiller à l’application desdites lois.

De même,  la Convention de l’Union Africaine sur la cyber-sécurité et la protection des données à caractère personnel, adoptée le 27 juin 2014 à Malabo, en Guinée Equatoriale, tarde à entrer en vigueur car, à ce jour, on dénombre 14 Etats signataires et seulement 8 ont procédé à sa ratification.

Cette convention supra nationale est indispensable dans la mesure où elle complète nos législations en vigueur, et renforce le niveau de protection des données à caractère personnel en Afrique, dans cet espace virtuel, sans frontière, qui expose et viole d’une manière permanente la vie privée de nos concitoyens.

Devant cette situation préoccupante et faisant face à d’autres réalités locales, le législateur a doté notre pays, le 25 Septembre 2011, de la loi 001/2011 portant protection des données à caractère personnel, et d’une Commission nationale chargée de veiller à ce que les traitements des données à caractère personnel soient mis en œuvre, conformément aux dispositions de la présente loi.

Ainsi, pour faire face à ses obligations dans cet environnement numérique, notre Commission s’est affiliée à certains organismes internationaux qui traitent des questions liées à la protection des données personnelles dont la finalité est de s’arrimer aux standards internationaux, en vue d’harmoniser nos niveaux de protection, d’adopter des mesures communes mais également de prendre en compte les évolutions technologiques majeures. Cette démarche qui s’inscrit dans le renforcement des capacités, est aussi une opportunité d’anticiper le développement des technologies de l’information et de la communication et d’apprécier les conséquences qui en  résultent pour l’exercice des droits fondamentaux et des libertés individuelles.

Dans la même perspective, la Commission a organisé plusieurs campagnes d’information, de sensibilisation et de formation, à l’endroit des secteurs privé, pour rappeler les obligations des responsables de traitement, médical, dans le cadre de la pandémie de la COVID-19, éducatif, sur l’utilisation responsable des réseaux sociaux, public, avec la formation des correspondants à la protection des données. Quant aux populations, des journées portes ouvertes ont été organisées aux fins de les édifier sur leurs droits. L’objectif visé par Commission est de promouvoir le droit à la protection des données personnelles et de la vie privée.

A cet effet, la Commission a enregistré au cours des trois dernières années, 135 entreprises et sociétés confondues ayant procédé aux déclarations de leurs traitements des données, et 08 avis motivés et publiés pour le compte des Pouvoirs Publics.

Chers compatriotes ;

Sans être un mythe, la protection des données personnelles en Afrique est une réalité qui prend forme mais timidement. C’est la raison pour laquelle, le droit à la protection des données personnelles et de la vie privée, qui est une préoccupation universelle, invite les Etats africains, du moins ceux qui ne disposent d’aucune législation, à initier des politiques publiques qui visent à mettre en place des cadres juridiques et institutionnels dont la finalité est d’adopter un droit communautaire à la protection des données personnelles et de la vie privée, à l’image du Règlement européen.

Pour cette année, cette célébration sera délocalisée dans la Province de l’Ogooué Maritime, en particulier dans la commune de Port-Gentil où s’exerce une forte activité économique, entrainant indéniablement la mise en œuvre des traitements des données à caractère personnel.

Sur ce, je vous remercie de votre aimable attention.

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UBA’s LEO Continues to Evolve, Remains Smartest Banking Chatbot – Techpoint Africa

UBA’s LEO Continues to Evolve, Remains Smartest Banking Chatbot.

Posted: Mon, 25 Oct 2021 07:00:00 GMT [source]

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Life after the chatbot: How next-gen automation can change operations – CIO Dive

Life after the chatbot: How next-gen automation can change operations.

Posted: Mon, 13 Jun 2022 07:00:00 GMT [source]

Your bot will use NLP technology to support your shoppers better and engage with them more efficiently. And you’ll be available for your customers 24/7 so you don’t miss out on any sales opportunities. AI bots recognize the meaning of messages and respond using conversational AI, a combination of Machine Learning and Natural Language Processing . They use data to imitate human interactions and translate the meaning of text inputs across different languages. Definitions are out of the way but before we jump straight into the list, let’s learn how online AI chatbots actually work.

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Le Maroc condamne toutes les formes d’ingérence iranienne dans les affaires intérieures des pays du Golfe

Le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, s’est entretenu, mercredi par visioconférence, avec le Secrétaire général du Conseil de coopération des États arabes du Golfe (CCG), Nayef Falah Al-Hajraf.Lors de cette entrevue, le ministre marocain a fait part des remerciements et de la considération du Maroc au CCG et aux pays frères du Golfe pour leur position solidaire et constante avec le Royaume, telle qu’exprimée dans la déclaration finale ayant sanctionné les travaux de la 42ème session du Conseil suprême du CCG, tenue le 14 décembre dernier à Ryad, et réaffirmant les positions constantes du Conseil en faveur de la marocanité du Sahara et son soutien immuable à l’intégrité territoriale du Royaume.

De son côté, le Secrétaire général du CCG a réaffirmé la position constante du Conseil en faveur de la souveraineté du Maroc sur son Sahara et de son unité territoriale, considérant qu’aucune solution à ce conflit régional artificiel n’est envisageable hors du cadre de la souveraineté du Royaume du Maroc et de son intégrité territoriale.

M. Al-Hajraf s’est également félicité des positions solidaires du Royaume avec les pays du CCG et leurs causes nationales, ainsi que du niveau distingué des relations de partenariat liant les deux parties, soulignant la ferme détermination du CCG à consolider davantage ces relations.

S’agissant du renforcement du partenariat entre les deux parties, M. Bourita a réaffirmé la disposition du Royaume à continuer à œuvrer avec le Secrétariat général du CCG et les pays du Golfe pour jeter les bases d’une nouvelle étape de coopération qualitative, visant à consacrer un cadre de partenariat renouvelé et favorable au renforcement des relations politiques, économiques, commerciales et humaines, en concrétisation de la vision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI contenue dans le Discours Royal devant le Sommet Maroc-Pays du Golfe, tenu le 20 avril 2016 à Ryad.

Le ministre s’est félicité des dénominateurs communs et de la solidarité constante que partagent le Maroc et les pays du CCG, réitérant à ce propos la condamnation par le Royaume du Maroc, Roi, gouvernement et peuple, de la poursuite des attaques des milices houthies et des parties qui les soutiennent contre les installations civiles et économiques en Arabie Saoudite et aux Émirats arabes unis.

Il a, en outre, réitéré le rejet du Maroc et sa condamnation de toutes les formes d’ingérence iranienne flagrantes dans les affaires intérieures des pays du Golfe, particulièrement dans le Royaume frère de Bahreïn, rappelant que le Maroc, comme l’a souligné le Roi lors du Sommet Maroc-Pays du Golfe tenu le 20 avril 2016 à Ryad, « a toujours considéré que la sécurité et la stabilité des pays du Golfe sont indissociables de la sécurité du Maroc », au vu de la communauté du destin et de la convergence des points de vue sur les différentes questions d’intérêt commun.

Le communiqué précise que M. Bourita a adressé une invitation au Secrétaire général du CCG pour effectuer une visite de travail au Maroc, dont la date sera fixée ultérieurement.

CAN 2021 : Maroc-Egypte en quart de finale, un choc entre grosses cylindrées

Vainqueur aux tirs aux buts face à la Côte d’Ivoire (5-4), l’Egypte affrontera le Maroc en quart de finale dimanche 30 janvier à 17h00 au stade Ahmado Ahidjo à Yaoundé. Un remake du quart de finale 2017 au Gabon. Les Lions de l’Atlas qui se sont inclinés à l’époque sur le score de (1-0) devront prendre leur revanche et filer en demi-finale, rapporte mercredi le quotidien marocain °+Le Matin+.Au terme d’un match cadenassé où les défenseurs ont pris le meilleur sur les attaquants (0-0) à la fin du temps réglementaire et les prolongations, l’Egypte et la Côte d’Ivoire se sont départagés au terme de la loterie des tirs aux buts. Et à ce jeu, c’est l’Egypte qui a eu le dernier mot en s’imposant sur le score de (5-4). 

Le défenseur ivoirien de Manchester United Eric Bailly a raté son tir en ouvrant la porte des quarts de finale aux égyptiens qui ont transformés leurs cinq tirs.

Les Lions de l’Atlas seront donc opposés aux Pharaons dimanche prochain dans un match 100% arabe. Ce quart de finale est le remake du match entre les deux équipes au même stade de la compétition en 2017 en Egypte. Un match qui s’est soldé par la défaite des Lions de l’Atlas sur le score de (1-0), rappelle le journal.