Procès pour corruption : l’ancien président mozambicain au tribunal

L’ancien président mozambicain Armando Guebuza a été entendu dans le procès de la « dette cachée », un scandale financier, qui a plongé le Mozambique dans la pire crise financière de son histoire.L’ancien président mozambicain Armando Guebuza (2005-2015) a nié tout acte répréhensible lors de son témoignage dans le procès de « la dette cachée ». Il a défendu jeudi à la barre des témoins du procès de l’une des plus grandes affaires de corruption dans le pays, la décision de son gouvernement de contracter secrètement en 2014 d’énormes emprunts bancaires ayant mis le pays à genou.

Guebuza, qui a quitté le pouvoir en 2016, s’est présenté à la barre dans ce scandale qui mouille 19 fonctionnaires accusés d’avoir détourné un prêt de deux milliards de dollars américains obtenu par le gouvernement mais qui n’a pas été déclaré au Parlement.

Parmi les accusés, son fils Ndambi, de même l’ancien ministre des Finances du pays Manuel Chang en fuite en Afrique du Sud. Le fils de l’ancien président est accusé d’avoir touché des des pots-de-vin d’un montant supérieur à 500 millions de dollars pour persuader son père d’approuver le prêt secret. Armando Guebuza a fait valoir devant le tribunal que son gouvernement avait décidé de demander ce prêt, qui était apparemment destiné à des projets de pêche.

Guebuza (79 ans) est le premier ancien président mozambicain à témoigner dans une affaire judiciaire. La découverte du scandale des prêts secrets a entraîné le retrait d’une aide cruciale au Mozambique et l’effondrement du Kwacha, la monnaie locale.

Cette crise financière intervient au moment où le pays s’est engagé dans la lutte contre Al-Shabab, une guérilla jihadiste affiliée au groupe Etat islamique (EI) qui multiplie les assauts depuis trois ans dans le nord du pays principalement dans la ville de Palma.

6ème sommet de l’UE/UA : Ali Bongo réitère ses efforts pour la protection de l’environnement

Le président gabonais Ali Bongo Ondimba qui a lors de la table ronde sur le Changement Climatique à Bruxelles, a réaffirmé son engagement et les efforts de son pays le Gabon, pour une meilleure protection de l’environnement.

 

 

 

Le président de la République son excellence Ali Bongo Odimba, « réitéré l’engagement et les efforts du Gabon en matière de protection de l’environnement », peut-on lire dans un communiqué de la présidence gabonaise parvenu à notre rédaction.

Il sied de noter que, cette table ronde a été organisée dans le cadre du 6ème sommet de l’Union Européenne / Union Africaine qui se tient dans la capitale belge du 17 au 18 février 2022.

Le Président du Sénégal, la Présidente de la Commission Européenne, le Président du Conseil Européen, le Président de la Commission de l’Union Africaine, ont  l’ouverture de ce sommet, relevé les défis multiformes auxquels nos deux continents sont confrontés et ils ont souligné les opportunités qui existent de part et d’autre.

Ces deux grands partenaires, ont décidé de joindre leurs efforts pour la mise en œuvre d’une vision commune pour un nouveau partenariat en matière de paix, de sécurité, de développement durable, de développement économique soutenable en vue de créer une prospérité pour les peuples de nos  deux continents.

 

Maroc : Saidia abrite la 6ème édition de son Festival du cinéma du 24 au 26 février

La 6ème édition du Festival de cinéma de Saidia «Cinéma sans frontières», aura lieu du 24 au 26 février, à l’initiative de l’Association Al Amal pour la cohabitation et le développement.Reportée à deux reprises en raison des circonstances liées à la pandémie de Covid-19, cette édition se tiendra avec le soutien du ministère de la Jeunesse, de la culture et de la communication, du Centre cinématographique marocain (CCM), de la préfecture de la province de Berkane et des autorités locales et de la commune de la ville Saidia, indique jeudi un communiqué de l’association.

Pour les organisateurs, ce Festival est de nature à de contribuer à l’animation de la «Perle Bleue» et faire connaître la production cinématographique nationale et internationale.

Au menu de cette édition figurent 14 films (7 longs métrages et 7 courts métrages) représentant le Maroc, la Tunisie, l’Egypte, l’Algérie, la Palestine, la France, l’Espagne, la Macédoine du Nord et les Etats-Unis d’Amérique.

Les films participants concourront pour les prix de la meilleure réalisation, du meilleur scénario, du meilleur acteur et actrice et du jury en plus du Grand Prix «La Perle Bleue» du long métrage, et du «Prix de l’Orange» du court métrage.

Le programme de ce festival comporte des conférences, rencontres et ateliers autour de questions culturelles et sociales, dont l’industrie cinématographique dans la région de l’Oriental, l’écriture dans le cinéma marocain et international et le langage cinématographique.

Ces rencontres connaîtront la participation d’experts et spécialistes de la chose cinématographique, et seront rehaussées par la signature d’ouvrages sur le cinéma.

Avec ses quatorze kilomètres de sable doré et son interminable plage sablonneuse conjuguée à un éclat solaire ensorcelant, la ville marocaine de Saidia s’impose en tant que perle incontournable de la Méditerranée et un pôle d’attraction pour de nombreux estivants nationaux et étrangers.

Maroc: le gouvernement présente son programme anti-sécheresse 

Au lendemain de la rencontre entre le Roi Mohammed VI et le chef du gouvernement Aziz Akhannouch, au cours de laquelle le Souverain a appelé à la mise en place de mesures urgentes pour faire face aux conséquences de la sécheresse, l’exécutif marocain a annoncé ce jeudi son programme visant à atténuer ces effets. »Conformément aux instructions royales (…), le gouvernement a élaboré un programme exceptionnel visant à atténuer les effets du retard des précipitations et à alléger leur impact sur l’activité agricole, en apportant de l’aide aux agriculteurs et aux éleveurs concernés, indique un communiqué du département du chef du gouvernement.

Le Programme s’articule autour de trois axes principaux: le premier concerne la protection du capital animal et végétal et la gestion de la rareté des eaux, le deuxième vise l’assurance agricole et le troisième a trait à l’allègement des charges financières des agriculteurs et des professionnels, précise le communiqué.

Le Fonds Hassan II pour le développement économique et social contribuera avec 3 milliards de dirhams en faveur de ce programme, selon la même source.

Dans le détail, le programme d’action du premier axe, dont le coût s’élève à 281 millions d’euros (3 milliards de DH), porte sur la distribution de 7 millions de quintaux d’orge subventionné au profit des éleveurs et de 400.000 tonnes d’aliments composés au profit des éleveurs de vaches laitières.

 L’objectif étant d’atténuer l’impact de la hausse des prix des aliments du bétail et de la régression des disponibilités en fourrage, pour un coût global de 2,1 milliards de DH, ainsi que la vaccination et le traitement de 27 millions de têtes d’ovins et de caprins, de 200.000 têtes de camelins et le traitement des abeilles contre le Varroa, pour un budget de 28 millions d’euros (300 millions de DH).

Ce programme comprend également la réhabilitation des périmètres de petite et moyenne hydraulique pour l’entretien des équipements et la création d’opportunités d’emploi à travers le développement et la mise à niveau des canalisations et Khettara, pour un budget de 255 millions de DH, l’abreuvement du cheptel à travers l’aménagement et l’équipement de points d’eau, l’acquisition de citernes et camions citernes et l’aménagement de parcours sur une superficie de 10.000 hectares, pour un budget de 224 millions de DH, et l’irrigation de complément pour la pérennisation des vergers nouvellement plantés (de 2 à 5 ans ), aménagés dans le cadre de l’agriculture solidaire sur une superficie de 55.000 hectares, pour un budget global de 121 millions de DH.

S’agissant du deuxième axe du programme, relatif à l’assurance multirisque de l’actuelle campagne agricole, il porte sur l’accélération de la mise en œuvre de l’assurance sécheresse pour les agriculteurs, pour un capital assuré par les agriculteurs atteignant 112 millions d’euros (1,12 milliard de DH) sur une superficie de 1 million d’hectares.

Le troisième axe, relatif à l’allègement des charges financières des agriculteurs et des professionnels, est doté d’un budget de 562 millions d’euros (6 milliards de DH), et vise le rééchelonnement de la dette des agriculteurs, le financement des opérations d’approvisionnement du marché national en blé et aliments du bétail, en plus du financement des investissements innovants en matière d’irrigation.

L’opérateur Maroc Telecom compte plus de 74 millions de clients

Le groupe Maroc Telecom a annoncé, jeudi, que sa base clients a atteint plus de 74 millions de clients en 2021, s’inscrivant ainsi dans une hausse de 1,8%, annonce jeudi le groupe dans un communiqué sur ses résultats consolidés au 31 décembre 2021.Selon le communiqué, cette hausse est tirée notamment par la croissance de la base clients des filiales.

Le parc mobile s’est élevé à 19,9 millions de clients, en augmentation de 2,1% sur un an, fait savoir la même source.

S’agissant du parc Fixe, il a baissé de 1,7% pour s’établir à près de 2 millions de lignes à fin 2021. Quant au parc haut débit, il compte 1,7 million d’abonnés, l’expansion du parc FTTH (+47%) compense en grande partie les pertes de clients ADSL.

A l’international, le parc Mobile a atteint 50.130.000 clients, répartis sur la Côte d’Ivoire (10.489.000), Burkina Faso (10.457.000), Mali (8.163.000), Tchad (5.138.000), Bénin (5.132.000), Niger (3.212.000), Mauritanie (2.985.000), Togo (2.687.000), Gabon (1.656.000) et Centrafrique (210.000).

Libye : la crise politique, un frein pour la reconstruction

Onze ans après la révolution ayant débouché sur une guerre civile, des dizaines de milliers de Libyens risquent de ne plus avoir accès à un logement décent selon le Conseil Norvégien pour les Réfugiés (NRC, sigle en anglais).La Libye n’a toujours pas entrevu le bout du tunnel. L’élection présidentielle, prévue le 24 décembre 2021, devait ouvrir une nouvelle ère. Mais de profonds désaccords entre les différents camps ont causé son report.

En conséquence, le budget national n’a pu être voté. Ce qui rend impossible la reconstruction de nombreuses localités du pays dévastées par le conflit. Les conditions de vie des populations sont très compliquées dans la capitale Tripoli et à Benghazi distante de mille kilomètres.

À Tawergha, située au Sud de Misrata, 65 % des 40.000 personnes qui peuplaient cette ville avant le conflit sont rentrés d’après une étude effectuée par le Conseil Norvégien pour les Réfugiés (NRC). Cependant, les maisons qu’elles avaient abandonnées sont fortement endommagées voire détruites.

Sans ressources significatives, la communauté tawergha (noire) ne peut engager des travaux pour améliorer son cadre de vie. À en croire plusieurs agences humanitaires actives en Libye, un citoyen sur dix, dans les zones touchées par la guerre, vit dans un taudis.

Face à cette situation, le Conseil norvégien pour les réfugiés agit à Tripoli, Tawergha et Benghazi. En étroite collaboration avec les municipalités, l’organisation humanitaire a reconstruit des infrastructures communautaires comme des structures de santé et a aidé 293 familles à reconstruire leurs demeures l’année écoulée.

« L’énergie et l’engagement des citoyens ordinaires pour reconstruire leur pays existent, mais ce potentiel est entravé par l’instabilité persistante. La communauté internationale doit intensifier ses efforts pour s’assurer que les progrès réalisés l’année dernière ne soient pas réduits à néant par la crise politique actuelle », a déclaré Dax Roque, Directeur national du Conseil norvégien pour les réfugiés en Libye.

Las de se déplacer à cause de l’insécurité, un homme âgé a expliqué au NRC que son souhait est de réinstaller dans sa maison avec sa famille pour reprendre sa vie d’avant. En Libye, le nombre d’individus ayant besoin d’aide est passé de 1,3 million en 2021 à un peu plus de 800.000 en 2022. Par conséquent, le Conseil norvégien pour les réfugiés a appelé la communauté internationale à redoubler d’efforts pour ne pas annihiler les progrès réalisés.

La santé doit être « au cœur » du partenariat Afrique-Europe (Macky Sall)

Pour le chef de l’Etat sénégalais et président en exercice de l’Union Africaine (UA), « sans sécurité sanitaire, la relance économique est impossible ».La relance économique tant espérée par les dirigeants a des préalables. Et la plus importante, selon le président Macky Sall, est la sécurité sanitaire. S’exprimant dans une tribune publiée, ce jeudi, premier jour du sixième Sommet Union Européenne (UE)-Union Africaine (UA), qui se tient à Bruxelles (Belgique), il a fait savoir que la santé est l’un secteur crucial que doit prendre en compte le partenariat entre les deux continents.

« Sans sécurité sanitaire, la relance économique est impossible. La crise du Covid-19 le prouve, de même qu’elle a prouvé l’interdépendance entre nos deux continents », a soutenu Macky Sall, rappelant que la santé ne faisait pas partie, en 2017, des quatre domaines stratégiques considérés comme prioritaires à l’occasion du cinquième sommet entre l’UE et l’UA.

Le président en exercice de l’UA relève qu’entre-temps, la pandémie de Covid-19 « a dévasté le monde, nous rappelant une vérité que nous avions tendance à oublier : notre santé, clé de notre bien-être, est aussi le fondement de notre agenda de développement commun ». Il a ainsi invité les uns et les autres à ne pas reproduire « les mêmes erreurs ».

Par ailleurs, le président Macky Sall a rappelé que « de nombreux pays d’Afrique ont vu leur marge budgétaire se réduire et leurs efforts en matière de santé mis à mal ». Cela a durement affecté les programmes de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, trois épidémies qui freinent considérablement le développement de l’Afrique, a-t-il ajouté.

Partant de constat, Macky Sall a souligné la nécessité pour le partenariat UE-UA de reconnaître l’urgence de renforcer les systèmes de santé des pays africains et d’en faire un domaine d’investissement prioritaire. A l’en croire, cela permettra de concrétiser la relance et prémunir les économies des conséquences d’une future pandémie.

Pour le chef de l’Etat sénégalais, « ce sommet sera aussi celui qui changera, pour de bon, le paradigme de la coopération entre l’UE et l’Afrique, que nous souhaitons voir fondée sur une relation de partenariat entre pairs, sur la base d’objectifs partagés. » Selon lui, « la santé en est un ».

Macky Sall a appelé « l’Union européenne, ses Etats membres et la communauté internationale à renforcer sa collaboration avec le Fonds mondial et l’ensemble des organisations multilatérales de santé afin que nous puissions, ensemble, continuer à sauver des vies et préserver nos perspectives communes de développement équitable et durable ».

Sénégal : une campagne plaide pour l’accès des femmes au foncier

Il est nécessaire de renforcer la volonté politique pour combler l’écart entre le droit foncier des femmes et la réalité sur le terrain, selon des organisations de la Société civile sénégalaise.Un plaidoyer coordonné dans le cadre d’une stratégie unificatrice est la pièce manquante dans le combat pour l’équité et l’égalité en matière d’accès au foncier au Sénégal. Pour inverser la tendance, l’Alliance nationale des femmes et foncier (ANFF) a initié une campagne visant à faciliter l’accès des femmes à la terre.

Dénommée « Stand for Her Land (S4HL) » et déroulée également en Ethiopie et en Ouganda, la campagne se veut « une solution à un modèle cohérent qui entrave la réalisation du droit foncier des femmes ».

« La campagne S4HL travaille par le biais d’un plaidoyer collectif, développé localement et dirigé localement, soutenu par le partage des capacités entre les acteurs aux niveaux mondial, national et local, pour s’assurer que la gouvernance, les réformes et les processus fonciers incluent, bénéficient aux femmes et son dirigés équipement par les femmes », expliquent ses initiateurs dans un document parvenu à APA.

« La Campagne Stand for Her Land (S4HL) permettra de réduire le gap entre le cadre normatif et les actions sur le terrain », a dit Amadou Kanouté, Directeur exécutif de l’Institut panafricain pour la citoyenneté, les consommateurs et le développement (Cicodev) qui coordonne la campagne au Sénégal.

Pour Yaram Fall, présidente du Collège des femmes du Conseil national de concertation et de coopération des ruraux (CNCR), « la campagne devra prioriser davantage les besoins des femmes rurales car beaucoup de barrières (culturelles…) entravent leur progression ».

De son côté, Berth Robert, Directrice du Centre pour le droit foncier des femmes qui appuie la campagne S4HL, l’initiative permettra d’attirer « l’attention de tout le monde sur la nécessité de comprendre que le respect des droits des femmes est essentiel pour le développement ».

Présidant officiellement le lancement de la campagne, ce vendredi 17 février à Dakar, Ndèye Safiétou Diop, responsable genre du ministre de l’Elevage et des Productions animales a promis l’accompagnement de l’Etat.

« Je vous assure de la main tendue de l’État du Sénégal pour ce plaidoyer afin que les femmes accèdent à la terre de manière concrète. La cause de la campagne Stand for Her Land est noble et sachez que ce que vous faites, vous le faites aussi pour l’État du Sénégal », a affirmé Mme Diop.

Droits de l’homme : un expert de l’ONU attendu au Soudan

La répression des manifestants se poursuit au Soudan depuis la prise du pouvoir par les militaires en octobre 2021.L’Organisation des Nations unies (ONU) veut évaluer la situation des droits de l’homme au Soudan. Pour ce faire, son expert en charge des droits de l’homme, Adama Dieng, commencera ce dimanche sa première visite officielle dans le pays, un mois après que la première visite a été reportée à la demande des autorités soudanaises.

Au cours de sa visite, qui se déroulera du 20 au 24 février 2022, M. Dieng rencontrera de hauts responsables du gouvernement soudanais, des représentants d’organisations de la société civile, des défenseurs des droits de l’homme, des responsables d’entités des Nations unies et des diplomates.

Le Sénégalais Adama Dieng a été désigné expert des Nations unies sur les droits de l’homme au Soudan par la Haute-Commissaire des Nations unies aux droits de l’homme en novembre 2021, conformément à la résolution S-32/1 du Conseil des droits de l’homme des Nations unies, afin de surveiller la situation des droits de l’homme au Soudan depuis le coup d’État militaire du 25 octobre 2021.

La Banque de l’UE soutient le secteur privé africain

L’institution financière va débloquer 62 millions d’euros pour accompagner les entreprises privées touchées par la crise sanitaire de la Covid-19.L’investissement dans le secteur privé en Afrique, comme partout ailleurs dans le monde, est indispensable pour remédier aux conséquences de la crise sanitaire et enclencher une croissance durable. Les fonds de la Banque européenne d’investissement (BEI) promis en marge du Sommet Union européenne-Union africaine (17-18 février à Bruxelles) permettront de financer six initiatives d’investissement à fort impact en faveur du secteur privé.

Il s’agit entre autres de l’accélération de l’investissement dans les jeunes pousses du secteur technologique d’Afrique, la garantie de l’accès au financement des populations éloignées et fragiles et le soutien au financement du secteur privé avec les principales banques africaines locales.