Burkina Faso : attaque contre un site minier industriel

Au Burkina Faso, les opérations contre les industries minières se multiplient.La dernière attaque en date est survenue dans la nuit de mercredi à jeudi. Menée par des individus armés non identifiés, l’offensive a visé le poste de sécurité du site industriel de Karma, situé dans la commune rurale de Namissiguima, dans le Centre-nord du pays.

Selon un bilan non officiel, l’assaut aurait fait deux morts, un civil et un militaire. Des armes auraient été emportées par les assaillants, rapportent plusieurs sources. Les autorités burkinabè n’ont pas encore réagi.

La mine d’or visée, est exploitée par Néré Mining, détenue à 90% par un entrepreneur local qui a racheté les parts de la société britannique Endeavour. La transaction a été évaluée à 25 millions de dollars. Un investissement compromis par cette attaque qui n’est pas revendiquée, pour le moment.

Ce n’est pas la première fois que les industries minières sont ciblées au Burkina Faso. En novembre 2019, un convoi de travailleurs de la société canadienne Semafo a été pris pour cible sur la route reliant la mine de Boungou et celui de Mana. Cette embuscade avait occasionné la mort de 37 personnes, le plus lourd bilan enregistré dans le nord du Burkina Faso depuis 2015, année marquant le début de l’insurrection jihadiste, dans le nord du pays.

Ethiopie: la BM approuve un financement de 210 millions de dollars

Ce financement de la Banque mondiale (BM), permettra d’accompagner des projets de développement de l’eau dans les zones de basses terres, a révélé le ministère éthiopien de l’Eau et de l’Energie.Les fonds seront utilisés pour soutenir des projets visant à développer les eaux souterraines dans les zones de basses terres où les précipitations sont faibles, a déclaré le ministère dans un communiqué jeudi.

Les projets seront mis en œuvre conjointement par le ministre de l’eau et de l’énergie et par le ministère de l’irrigation et des basses terres pour une période de 5 ans, selon le ministère.

Le responsable du ministère a discuté du financement avec une délégation de la Banque mondiale et a déclaré que les fonds seront utilisés pour mettre en œuvre les projets dès qu’ils auront été approuvés par la Banque mondiale et entérinés par le parlement national.

En avril dernier, la Banque mondiale avait approuvé une subvention de 300 millions de dollars pour aider la nation de la Corne de l’Afrique à réhabiliter les communautés touchées par le conflit dans le nord du pays.

Le projet visait à soutenir les efforts déployés pour répondre aux besoins immédiats des communautés, à réhabiliter/récupérer les infrastructures détruites par le conflit et à accroître la résilience des communautés aux impacts du conflit de manière durable.

Les conflits en cours dans différentes parties du pays ont provoqué le déplacement de millions de personnes à travers le pays et ont exacerbé l’incidence de la violence sexiste, avec des rapports généralisés de violence physique et sexuelle, en particulier contre les femmes et les filles.

Gabon-Hajj2022 : le Gabon ne participera pas au pèlerinage à la Mecque

Le Conseil supérieur des affaires islamiques du Gabon (CSAIG), a annoncé que les fidèles musulmans du Gabon ne prendront pas part au grand pèlerinage à la Mecque en Arabie Saoudite, le mois de juillet prochain.

 

 

L’annonce a été faite sur la chaine de télévision Gabon 24, le Conseil Islamique ne va pas permettre aux croyants musulmans de se déplacer pour le pèlerinage,  à la Mecque qui aura lieu en Arabie Saoudite,  le mois de juillet prochain. Pour cause, le conseil a expliqué à travers la chaine de télévision Gabon 24 que : « le Conseil assure ne pas disposer d’assez de moyens financiers pour satisfaire à la tradition du grand pèlerinage annuel à La Mecque, qui constitue le cinquième pilier de l’islam. Le coût des charges est jugé élevé cette année ».

Les coûts étant élevés cette année, le conseil explique également que, cela , « est liée au quota de pèlerins imposé pour la délégation du Gabon. Celui-ci serait bien trop moindre par rapport aux années précédentes ».

Pour rappel, Le hajj est le pèlerinage que font les musulmans aux lieux saints de la ville de La Mecque, en Arabie saoudite. C’est entre les 8 et 13 du mois lunaire de Dhou al-hijja, douzième mois de l’année musulmane, qu’a lieu le grand pèlerinage à La Mecque, qui constitue le cinquième pilier de l’islam.

Maritime et tourisme au menu des quotidiens marocains

La place de la mer dans l’économie marocaine et le tourisme national sont les principaux sujets traités par les quotidiens marocains parus ce jeudi.+Aujourd’hui le Maroc+, qui s’attarde sur la place de la mer dans l’économie marocaine, écrit qu’avec sa longue façade maritime de près de 3.500 kilomètres dont la majeure partie sur l’Atlantique, le Maroc a inévitablement un rôle à jouer et une responsabilité environnementale.

Certes, la place de la mer dans l’économie du Maroc est déjà prépondérante depuis la nuit des temps et que le caractère ouvert du Maroc a été rendu possible grâce, en grande partie, à son littoral et donc sa tradition maritime séculaire.

Mais les « grands chamboulements » que connaît et que connaîtra davantage le monde dans les décennies à venir replaceront les océans, comme les autres écosystèmes, au centre de l’équation de la durabilité, estime-t-il.

En prenant le lead aujourd’hui des pays africains de l’Atlantique, le Maroc assume comme à l’accoutumée son statut de pionnier et surtout contribue à une prise de conscience collective, constate-t-il.

+L’Economiste+, qui évoque les conséquences de la cherté des prix sur le tourisme national, écrit que le Maroc a pu retrouver “ses liaisons aériennes, ses TO légendaires, son flux touristique, ses festivals, mais aussi la cherté de ses prix”.

“Des séjours hors de portée pour les petites poches”, malgré les campagnes menées tambour battant et les beaux discours tenus pendant les pics Covid où les frontières étaient fermées et où le seul pis aller était le tourisme national, relève le journal.

Aujourd’hui la situation est telle que 15 jours au bord de la Méditerranée, au cœur du mois d’août, dans un 4 étoiles qui n’offre aucune animation particulière démarre à partir de 46.000 DH, alors que la même durée dans un hôtel 5 étoiles, pieds dans l’eau à Antalya coûte 20.000 DH, regrette-t-il.

Sur un autre registre, +L’Opinion+ écrit que vu le désordre géopolitique et économique qui secoue le Royaume depuis le début de la pandémie en 2020, seules la réactivité et l’agilité dans la prise de décision, accompagnées par la mise en place de stratégies applicables à court, voire à moyen terme, sont envisageables.

Face à l’explosion des prix des carburants, dont les tarifs à la pompe ne semblent pas prêts de redescendre, Nadia Fattah Alaoui, ministre de l’Economie et des Finances, a par exemple écarté tout retour à la formule de la compensation, en se contentant d’annoncer la mise en place d’une batterie de mesures ciblées pour accompagner les secteurs les plus touchés, note la publication.

Des mesures qui pourront, selon la tutelle, être renforcées au fur et à mesure par d’autres mécanismes en cas de besoin, soit en d’autres mots en cas de détérioration de la situation, relève-t-il.

Faire preuve d’agilité en ces moments tumultueux signifierait un coup de pouce pour la classe moyenne qui reste la principale classe impactée par l’inflation et qui n’a droit à aucun mécanisme de soutien, fait-il remarquer.

Rabat abrite le Forum africain des investisseurs souverains les 20 et 21 juin

Le Forum africain des investisseurs souverains (ASIF) aura lieu les 20 et 21 juin à Rabat, sous le thème « Saisir les opportunités prometteuses de l’Afrique: agilité et collaboration dans un monde en évolution », a annoncé Ithmar Capital. Des dirigeants et hauts responsables d’investisseurs souverains africains et internationaux stratégiques se réuniront pour débattre des opportunités d’investissement et de l’accélération du déploiement des capitaux à travers le continent, a indiqué un communiqué d’Ithmar Capital.

Au cours de cette rencontre, seront abordés les enjeux du continent, notamment le financement de la croissance dans les économies africaines, poursuit la même source, notant que les priorités des pays d’Afrique ont été fondamentalement remodelées par les récents évènements, notamment la pandémie du Covid-19, la situation géopolitique actuelle en Europe de l’Est, ainsi que l’attention croissante portée par la communauté internationale à l’atténuation et à l’adaptation au changement climatique.

Les investisseurs souverains africains tiennent ainsi un rôle clé dans l’avancement de ces priorités, grâce au rôle important qu’ils jouent au sein de leurs économies, ainsi qu’au soutien national dont ils bénéficient.

L’événement s’articulera autour de trois thématiques à savoir « Potentiel inexploité/Défis: des opportunités prometteuses à saisir », « Agilité/durabilité: vers un avenir résilient et inclusif » et « Préparation de projets/partenaires locaux: opportunités bancables ». ASIF (Africa Sovereign Investors Forum) est une plateforme multilatérale, regroupant dix fonds souverains africains, ayant pour objectif le renforcement de la coopération entre ses membres, dans le but de catalyser des opportunités d’investissement et de mobiliser des capitaux au profit du continent africain et de son développement.

Sénégal : Yewwi mobilise une foule pour participer aux législatives

Les quotidiens sénégalais parvenus jeudi à APA titrent principalement sur la grande manifestation de l’opposition pour la participation intégrale de la coalition Yewwi Askan Wi (YAW, libérer le peuple) aux élections législatives du 31 juillet 2022.L’Observateur titre sur la manifestation de l’opposition à la Place de l’Obélisque avec « la masse critique » drainée par la coalition Yewwi Askan Wi des Ousmane Sonko, Khalifa Sall et Cie. Le journal explique « comment le ministère de l’Intérieur a infiltré la manif’ » alors que Walf Quotidien souligne que « le pouvoir rate la démobilisation ».

L’AS a vu aussi une « marée humaine à la Place de la Nation » là où Le Témoin note que ce fut un « pari réussi pour YAW-Wallu », une intercoalition de l’opposition. La manifestation avait pour but de protester contre le rejet de leur liste nationale aux prochaines élections législatives. « Si Yewwi ne participe pas, Macky Sall ne participera pas », avertit Ousmane Sonko.

« Yewwi Askan Wi se radicalise », constate EnQuête, soulignant que « la manifestation a été moins forte que ce qui était prévu ». Mais pour Vox Populi, la grande mobilisation de YAW-Wallu a manifesté dans « sa plus simple expression ». Réclamant la « démission du ministre de l’Intérieur », Ousmane Sonko « prône la loi du Talion » contre les adversaires qui seraient tentés de les agresser.

« Le Sénégal est en danger et Macky Sall est l’unique responsable », charge-t-il avant que Khalifa Sall ne dise : « Nous ferons partie de la liste nationale et qu’Ousmane Sonko sera notre tête de liste ».

Gabon : les maires réunis autour de la question sur la gestion des ordures ménagères

 L’association des maires du Gabon vont se réunir du 16 au 17 juin 2022 à Franceville,  autour de la problématique sur la gestion des ordures ménagères et des encombrants afin de lutter contre l’insalubrité qui s’observe de plus en plus dans les différentes villes du Gabon.

 

Aborder le sujet de la gestion des ordures ménagères au Gabon devient une grande nécessité pour les maires de la ville qui souhaitent lutter contre l’insalubrité qui devient de plus en plus ressentir.

Cette troisième assemblée générale ordinaire qui sera présidé par le maire de la commune de Libreville, Christine Mba Ndutume épouse Mihindou, aura lieu du 16 au 17 juin 2022. Cette problématique va donc permettre aux maires de définir une stratégie efficace et cohérente pour offrir à leurs municipalités un cadre de vie agréable, trouver des solutions et adopter une stratégie de lutte contre l’insalubrité.

En rappel, l’association qui rassemble 52 maires au Gabon, a été créée en 2007 et regroupe les collectivités locales. Cette association est une plateforme de promotion du développement décentralisé elle est successivement devenue Association des communes du Gabon puis Association des maires du Gabon (AMG) depuis l’assemblée générale de Koulamoutou, en octobre 2012.

Huawei dévoile des inventions sur l’intelligence artificielle et la 5G

Le géant chinois des Télécoms, Huawei, dévoile des inventions technologiques qui révolutionneront l’intelligence artificielle (IA), la 5G et l’expérience des utilisateurs.Le Groupe a annoncé, mercredi, des inventions clés dans le cadre de ses prix bisannuels, notamment « dix meilleures inventions », lors du forum « Agrandir le paysage de l’innovation 2022 » qui s’est tenu à son siège de Shenzhen, en Chine.

Ce prix est destiné à récompenser les inventions susceptibles de créer de nouvelles séries de produits, de devenir des caractéristiques commerciales importantes de produits existants ou de générer une valeur considérable pour l’entreprise et l’industrie.

Les inventions primées lors de l’événement sont diverses. L’on enregistre, entre autre, un réseau neuronal additionneur qui réduit considérablement la consommation d’énergie et la surface des circuits à un « iris optique », permettant d’identifier de manière unique les fibres optiques.

Il est en outre conçu pour faciliter la gestion des ressources réseau des opérateurs, tout en réduisant le temps et les coûts associés au déploiement de la large bande.

L’annonce du groupe de Télécoms s’inscrit dans le contexte des droits de propriété intellectuelle, dont la protection et le partage sont pour l’entreprise, essentiels, à l’écosystème technologique.

« Nous devons à tout prix protéger la propriété intellectuelle pour protéger l’innovation », a déclaré M. Song Liuping, le directeur juridique de Huawei, qui s’est dit enthousiaste à l’idée que l’entreprise concède des licences sur ses brevets et ses technologies afin de partager ses innovations à l’échelle mondiale.

Cette démarche devrait contribuer à élargir le paysage de l’innovation, à faire avancer le secteur et à faire progresser la technologie pour tous, a-t-il ajouté.

« Huawei est constamment en train de se transformer et de montrer au monde entier la valeur de la propriété intellectuelle chinoise », a dit Tian Lipu, président de la section chinoise de l’Association internationale pour la protection de la propriété intellectuelle.

A la fin de l’année 2021, Huawei détenait plus de 110 000 brevets actifs, répartis sur plus de 45 000 familles de brevets. Le Groupe qui compte plus de brevets accordés que toute autre entreprise chinoise, a déposé le plus grand nombre de demandes de brevets auprès de l’Office européen des brevets et s’est classé 5ème sur le plan des nouveaux brevets accordés aux États-Unis.

Avec ses recherches technologiques poussées, l’entreprise s’est classée au premier rang mondial en matière de demandes de brevets selon le traité de coopération en matière de brevets (PCT) pour la cinquième année consécutive.

Alan Fan, chef du département DPI de Huawei, a fait savoir que l’industrie reconnaît fortement la valeur des brevets du groupe, en particulier dans les normes courantes telles que la technologie cellulaire, le Wi-Fi et les codecs audio/vidéo.

Au cours des cinq dernières années, plus de 2 milliards de smartphones ont fait l’objet d’une licence pour les brevets 4G/5G de Huawei. L’entreprise collabore activement avec des sociétés d’administration de licences de brevets afin de proposer des licences « à guichet unique » pour les principales normes.

« Concernant les voitures, environ 8 millions de véhicules connectés protégés par des brevets Huawei sont livrés aux consommateurs chaque année », a souligné M. Fan. Le groupe discute de programmes de licences conjointes pour les brevets 5G avec des experts et des titulaires de brevets industriels de premier plan.

« Plus de 260 entreprises, totalisant 1 milliard d’appareils, ont obtenu des licences de brevet HEVC de Huawei par le biais d’un pool de brevets », a-t-il poursuivi, ajoutant que la société est en pourparlers pour établir un nouveau pool de brevets « afin de donner à l’industrie un accès rapide aux brevets [de Huawei] pour les appareils Wi-Fi dans le monde entier ».

Pour Manuel Desantes, ancien vice-président de l’Office européen des brevets, « le système de la propriété intellectuelle doit garantir que les créations qui méritent d’être protégées sont celles qui apportent une valeur réelle ».

Tous les ans, Huawei réinvestit plus de 10 % de ses recettes dans la recherche et le développement. Depuis quelques années, l’entreprise investit chaque année plus de 20 milliards de yuans dans la recherche fondamentale.

En 2021, l’entreprise a augmenté ses investissements en matière de recherches et développement (pour atteindre 142,7 milliards de CNY), soit 22,4 % de son chiffre d’affaires total. Au cours de la dernière décennie, l’investissement total a dépassé les 845 milliards de yuans.

Côte d’Ivoire : institution de la carte professionnelle d’agriculteur

Le gouvernement ivoirien a adopté un décret qui réglemente les professions agricoles et institue la carte professionnelle du producteur, selon les filières agricoles.« Le Conseil a adopté deux décrets dont un décret déterminant et réglementant les professions agricoles prises en application de la loi d’orientation agricole de Côte d’Ivoire », a dit mercredi le porte-parole du gouvernement, Amadou Coulibaly, à l’issue d’un Conseil des ministres.

La loi d’orientation agricole classifie les professions agricoles en onze branches d’activités couvrant tous les aspects de l’agriculture moderne, dont la culture des plantes alimentaires, industrielles, ornementale, la pêche et l’agrobusiness.

Il y a également l’agro-industrie, l’agro-pharmacie et la biotechnologie. Selon M. Coulibaly, l’exercice de l’une des professions liées a créé des branches d’activités est assujetti à l’immatriculation du demandeur dans le registre des agriculteurs institué auprès des Chambres d’agriculture.

Cela, dira-il, vise à « revaloriser les professions agricoles ». En outre, l’immatriculation donne droit à la carte professionnelle d’agriculteur. Quant au deuxième décret, lui, il réglemente la mise en œuvre de la norme africaine pour le cacao durable.

Cette norme africaine pour le cacao durable a été élaborée à l’initiative concertée du Conseil café-cacao de Côte d’Ivoire et du Ghana cocoa board sur la base de la norme internationale ISO 34101 en vue de garantir la production de fèves de cacao durable.

Elle intègre les bonnes pratiques agricoles, sociales et environnementales ainsi que les exigences des objectifs de développement durable dans le contexte de la production du cacao, dont la Côte d’Ivoire est le premier producteur mondial.

Le contenu de cette norme satisfait aux exigences de la professionnalisation des producteurs, de l’amélioration de leurs revenus et aux exigences de qualité du cacao, ainsi que l’éradication du travail des enfants et la protection de l’environnement.

Gabon : les panthères font match nul contre la Mauritanie

Le match qui a opposé les panthères du Gabon à la Mauritanie hier mercredi 8 juin 2022, au stade de Franceville  s’est terminé par un score nul de (0-0).

 

L’équipe qui a été complète pour cette deuxième journée des éliminatoires de la coupe d’Afrique 2023, n’a pas pu dominer le match qui l’a opposé à domicile à la Mauritanie mercredi dernier.

En effet, après leur victoire face au Congo dimanche dernier, les panthères ont raté quelques occasions de remporter la première place du groupe I. Toutes leurs  tentatives, ont été arrêtées  par l’équipe adverse. En attendant le prochain match, contre le Soudan, l’équipe du Gabon classé dans le groupe I,  occupe la deuxième place avec un total de 4 points.

Et la Mauritanie quant à elle, reste en tête de liste avec un total de 4 points également  et grâce à sa meilleure différence de buts (+3) et ce match nul joué à l’extérieur.