Suite aux morts enregistrés durant la révolution des casseroles, le Syndicat national des enseignants-chercheurs (Snec), a décidé de manifester ce jeudi 25 février pour marquer l’indignation des enseignants suite à l’assassinat deux compatriotes.
Le Syndicat national des enseignants-chercheurs (Snec), a organisé ce 25 février, une journée «Université Morte» au sein de l’Université des sciences et techniques de Masuku (USTM). Un mouvement visant à marquer l’«indignation» des enseignants, suite aux morts enregistrés lors de la révolution des casseroles.
Le syndicat a organisé ce 25 février au sein de l’Université des sciences et techniques de Masuku (USTM), une journée dite «Université Morte». «Elle consiste à marquer l’indignation des enseignants-chercheurs suite à l’assassinat de compatriotes parmi lesquels un étudiant, car ayant protesté contre les nouvelles mesures gouvernementales contre la pandémie de Covid-19 et munis de casseroles», a expliqué le président du Snec-USTM.
A cet effet, «toutes les activités pédagogiques du 25 février sont suspendues», a annoncé Florent Nguema Ndong dans un communiqué publié le 22 février. Tous vêtus de noir, les enseignants-chercheurs ont pacifiquement manifesté leur «indignation» au portail de l’USTM.