C’est ce qui ressort du communiqué du responsable du Parc animalier de Libreville Lewis Mangongo.
Selon un post sur Facebook du Parc animalier de Libreville, on peut lire : « Ce sont près de 20 “rescapés” que le parc vient d’accueillir, nos célèbres perroquets gris du Gabon, et bien d’autres oiseaux, que le grand public pourra bientôt découvrir dans nos volières ». Le post précise que, « c’est depuis le 26 Novembre, que le Parc Animalier de Libreville, a été ravi d’accueillir de nouveaux pensionnaires ».
Et d’ajouter qu’ « Il y a deux mois un cheptel de 40 oiseaux, avaient été recensés à la résidence NAM, moins d’une vingtaine d’entre eux sont vivants deux mois après. Une mortalité expliquée par une nutrition inadaptée aux différentes espèces, et un manque d’entretien ». S’occuper de ces animaux nécessite des conditions très strictes et adaptées à chaque espèce. Nous avons trouvé des grands oiseaux, tels que les flamands roses en détresse et regrettons la perte de tous les aras Hyacinthe ». Explique le médecin vétérinaire Dr Lois Allela Nontse, comme relevé sur le post du parc animalier.
Cependant, le communiqué ne précise pas comment ces oiseaux ont atterri dans ce parc. Selon nos confrères de Gabon Actu « La résidence NAM » n’est pas connue du grand public. Tout laisse croire qu’il s’agit d’un nom de code attribué à celle de l’ancien chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba. Rappelons qu’il y a quelques jours, l’ex président Ali Bongo annonçait le vol d’une vingtaine d’oiseaux dans sa résidence privée. Ces oiseaux