La Côte d’Ivoire, représentée par son ministre de l’Éducation nationale et de l’alphabétisation, Mariatou Koné, a pris part au vote du directeur général de l’Unesco, en marge de la 41e session de la conférence générale de l’institution qui s’est ouverte mardi à Paris.
Le professeur Mariatou Koné, la ministre de l’Education nationale et de l’alphabétisation de Côte d’Ivoire, conduisait la délégation ivoirienne à cette 41e session qui marque également le 75e anniversaire de l’Unesco.
A l’issue de l’ouverture, les délégués ont procédé à l’élection du directeur général de l’Unesco. La Côte d’ivoire a également pris part au vote à travers la ministre Mariatou Koné, selon une note officielle.
La directrice générale, Audrey Azoulay candidate unique à sa propre succession a été réélue pour un second mandat de 4 ans. Elle sera investie le 22 novembre prochain.
L’Ambassadeur et délégué permanent de la Turquie auprès de l’Unesco, M. Ahmet Altay Cengizer, président de la 40e session de la conférence générale de ladite institution, a procédé à l’ouverture de la 41e session de la conférence générale.
La cérémonie officielle qui a enregistré la présence de l’ensemble des Etats membres a vu l’élection de l’ambassadeur et délégué permanent du Brésil auprès de l’Unesco, Santiago Irazabal Mourao comme président de cette 41e session.
Au cours de son intervention, le président de la session précédente qui s’est tenue en 2019, a rappelé les grandes articulations de la 40e conférence générale, les projets et les perspectives de ladite session qui ont été impactés par la Covid-19.
La directrice générale de l’Unesco, Audrey Azoulay a mis l’accent sur la solidarité autour de la défense des droits de l’éducation, qui a été impactée par la pandémie Covid-19.
Elle a salué l’entrée à l’Unesco, des îles Hollandes en tant que 12e membre associé. Les chefs d’Etat et de gouvernement examineront le rôle joué par l’Unesco pour promouvoir la compréhension mutuelle.
Ils tableront également sur la coopération internationale au moyen de l’éducation, de la science, de la culture et de la communication au fil des décennies. Et ce, en vue d’atteindre les Objectifs du développement durable.