Libreville accueille la 2è édition de la Conférence Régionale des Recteurs de l’Afrique centrale et Grands Lacs

Organisée par l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF), cette deuxième édition aura lieu du 18 au 19 juillet 2024,  à Libreville au Gabon.

 

Les recteurs et présidents d’universités et directeurs d’établissements membres de l’AUF provenant de 10 pays à savoir : Burundi, Cameroun, Congo, Gabon, Guinée Equatoriale, Ouganda, République Centrafricaine (RCA), République Démocratique du Congo (RDC), Rwanda et Tchad, seront réunis à Libreville au Gabon dans le cadre de la 2ème conférence des Recteurs de l’Afrique centrale et Grands Lacs (C2R ACGL). Selon un communiqué de l’AUF, la rencontre prévoit des échanges sur le renforcement de la coopération régionale  entre les établissements, membres de l’AUF, autour des grandes missions des universités. Et la préparation de  la stratégie de l’AUF pour la période 2025-2029, après une première édition en 2023, marquée par la mise en place des structures et organes de gouvernance de la C2R ACGL.

En effet, ces échanges d’informations et discussions donneront lieu à l’adoption d’un rapport comprenant les différentes recommandations qui seront proposées durant les deux jours de la conférence. En 2022, les ministres de l’enseignement supérieur de plus de quarante pays ont adopté le «Manifeste pour une diplomatie scientifique francophone », qui avait été introduit par l’AUF. Ce manifeste appelle à la mobilisation des gouvernements, universités et institutions de recherche pour renforcer la coopération scientifique francophone et répondre aux enjeux sociétaux actuels tels que le réchauffement climatique, les crises sanitaires et le sous-emploi des jeunes. Apprend-on dans le communiqué.

Notons que, la première édition de la Conférence régionale des Recteurs (C2R) de l’Afrique centrale et des Grands Lacs (ACGL),  a eu lieu à Kinshasa mettant en place un dispositif de dialogue, de concertation et d’échange entre les plus hautes autorités universitaires de la région. Créée, il y a plus de 60 ans, l’AUF est aujourd’hui le premier réseau universitaire au monde avec plus de 1000 membres (universités, grandes écoles, et centres de recherche) dans près de 120 pays.

Gabon : un programme de formation veut autonomiser 22 jeunes africains

Un appel à candidatures est lancé pour la sélection de 12 Camerounais et de 10 jeunes provenant de 10 autres pays pour une formation de six mois.

 

Le programme Bloggers Demo School (BDS) envisage de former au moins 22 jeunes dans la sous-région Afrique centrale et des Grands Lacs. Dans sa première édition, BDS a choisi d’offrir cette formation à 12 jeunes camerounais dont six hommes et six femmes. Elle se déroulera en présentiel dans la ville de Douala. La formation en distanciel sera dispensée à 10 jeunes provenant de 10 autres pays, dont cinq hommes et cinq femmes.

La formation dont il est question vise à outiller ces jeunes en leur donnant des compétences pour animer des blogs en produisant des contenus de qualité. Les jeunes enrôlés apprendront l’animation des blogs journalistiques. Le programme de formation qui durera six comprend 4 unités d’enseignements : UE 1 Culture générale ; UE 2 Entreprenariat ; UE 3 Blogging et UE 4 Ecriture web ainsi que des cycles de conférences.

Au terme de la formation, les 22 jeunes seront aptes pour animer un blog ; collecter et traiter l’information ; écrire des articles de qualité ; sensibiliser à la responsabilité sociale de chacun pour l’avancement de la démocratie. Les dossiers de candidature sont attendus jusqu’au 17 novembre 2023 à 23h GMT. Le canal de transmission de ces dossiers est centralafrican.lab@innovationdemocratie.org

Gabon : la campagne électorale lancée

« C’est un moment d’échange et de confrontation des idées entre les candidats », a déclaré le président du Centre gabonais des élections, Michel Stéphane Bonda.

 

Dans 15 jours, le 26 août 2023 de façon précise, les Gabonais iront choisir le nouveau président de la République, les nouveaux membres du Parlement, et leurs représentants locaux. Pour la première fois de son histoire, le pays qui célèbre son 63è anniversaire d’accession à l’indépendance le 17 août prochain, va organiser en même temps l’élection présidentielle, les élections législatives et les élections municipales et départementales.

Pour le compte de l’élection présidentielle, 19 candidats sont à la quête de suffrages pour les 5 prochaines années, dont Ali Bongo Ondimba en course pour le troisième mandat. A compter de ce vendredi, tous entament une opération de charme auprès des électeurs inscrits sur les listes électorales, aussi bien sur le territoire national qu’à l’étranger.

Aussi, le fichier électoral toiletté du 09 mai au 11 juin 2023 est disponible. Le président du Centre gabonais des élections Michel Stéphane Bonda l’a reçu des mains du ministre d’Etat, ministre de l’intérieur Lambert-Noël Matha le 30 juillet dernier. Selon les données portées dans le document toiletté, celui-ci contient 846 822 électeurs inscrits dont 830 729 inscrits à l’intérieur des frontières de l’Etat et 16 993 hors des frontières.

Pour leur permettre d’exercer leur droit de vote, 2 918 bureaux de votes seront ouverts. Les électeurs choisiront leurs candidats sur un bulletin unique aux élections législatives et à la présidentielle. La campagne qui s’ouvre aujourd’hui concerne l’élection présidentielle. En vue des électives législatives, municipales et départementales, la campagne électorale débutera le mardi 15 août 2023.

Cependant, sur place au Gabon, certains candidats de l’opposition disent être inquiets. Le 08 août dernier, cinq d’entre eux ont rendu visite au représentant du secrétaire général de l’ONU en Afrique centrale et dont les bureaux se trouvent à Libreville au Gabon. Les candidats à la présidentielle Paulette Missambo, Alexandre Barro Chambrier, Terrance Gnembou, Raymond Ndong et Mike Joktane ont exprimé à Abdou Abarry leur contrariété à la suite de la modification répétée du code électorale à quelques semaines des élections. Ils ont appelé l’ONU à veiller à ce que le scrutin soit équitable.

Afrique centrale : un chercheur explique la recrudescence du Ver de Guinée au Tchad

Le sociologue Jacob Mbaihondoum donne des raisons qui sous-tendent cette résurgence dans sa thèse de doctorat qu’il vient de soutenir à l’université de Yaoundé 1.

 

Le Ver de Guinée ne quitte pas le Tchad. Malgré les stratégies déployées dans le pays, la maladie disparaît et réapparaît. Les statistiques montrent qu’après 9 ans sans notification de cas humains entre 2001 et 2009, la maladie est réapparue au Tchad en 2010. Des cas et infections ont été notifiés chez les humains et animaux dans plusieurs villages. D’où l’interrogation sociologique de l’auteur « pourquoi, malgré l’existence des politiques de santé et les dynamiques d’acteurs mobilisées, la dracunculose connaît encore une recrudescence remarquable en milieu rural au Tchad ? »

 

En réponse à cette question, le jeune docteur a procédé par une analyse qui s’étend sur six chapitres répartis en trois parties. Ces analyses démontrent que les politiques de santé et dynamiques d’acteurs mobilisées dans la lutte contre la dracunculose se limitent aux interventions sporadiques et dysfonctionnelles qui ne favorisent pas une réelle accessibilité du traitement et du contrôle de l’éradication de la maladie. Plus loin dans les détails, selon le sociologue, ce qui favorise le retour régulier de la maladie, c’est un ensemble de pratiques liées à la négligence et à l’insouciance qui constituent la difficulté réduisant la capacité du programme à agir avec efficacité.

 

Il invoque le relâchement de la surveillance épidémiologique, l’insuffisance des moyens d’actions, de la démotivation du personnel de santé et des difficultés logistiques. Pour lui, l’accès à l’eau potable est un problème crucial pour les ménages des zones endémiques. Les bonnes pratiques liées à l’eau, à l’hygiène et à l’assainissement ne sont pas observées chez les populations des zones endémiques. Des pratiques culturelles freinent la lutte contre le ver de Guinée en milieu rural tchadien.

Ces différentes analyses ont valu la mention très honorable à Jacob. C’est ainsi pour ce chercheur de 34 ans, le couronnement des plusieurs années de recherche entamées à la suite de son master en sociologie rurale obtenu en 2015 dans la même université. Une institution universitaire qu’il intègre après sa licence en sociologie obtenue en 2013 à l’Université de N’Djamena au Tchad.

Les maires d’Afrique Centrale réunis autour de la question sur la protection des forêts

La ville de Libreville va accueillir du 27 au 28 septembre 2022, les maires de la sous-région d’Afrique centrale pour débattre sur la protection des forêts et écosystèmes des villes.

 

Au Gabon, plus d’une quarantaine de maires venues du Cameroun, Tchad, République centrafricaine, du Congo et du Gabon sont réunis ce mardi 27 septembre, autour de la problématique de gouvernance locale de la foresterie urbaine. A cette grande rencontre, il sera question d’échanger sur divers points concernant les forêts et les écosystèmes.

Selon le communiqué, les participants vont échanger sur,  la gouvernance des programmes d’aménagement durable des ressources forestières urbaines et périurbaines, en mettant l’accent sur trois types de stratégies: stratégies relatives aux enjeux liés à la pollution atmosphérique et aux fonctions récréatives des espaces verts; stratégies relatives aux enjeux liés à la lutte contre l’érosion en milieux urbains et périurbains ; stratégies relatives aux enjeux liés à la production agricole et de bois énergie.

Le communiqué poursuit également que : « ces deux journées de travail permettront aux villes d’Afrique centrale d’avancer  sur ces questions, en s’appuyant notamment sur l’expérience de la communalisation des forêts du Cameroun, sur l’expertise des villes mais aussi sur celle des universitaires et de la COMIFAC (Commission des Forêts d’Afrique Centrale) ».

Rappelons qu’il s’agit d’une rencontre organisée par la mairie de Libreville et l’Association des Collectivités et Communes d’Afrique Centrale, avec l’appui de l’Association internationale des maires francophones (AIMF) et l’Union européenne.

CEAAC: Kinshasa organise la formation des Femmes médiatrices dans la résolution des conflits du 24 au 27 janvier

La Présidente de l’ONG Malachie, Pépécy Ogoouliguendé,  va participer  activement du 24 au 27 janvier 2022 à Kinshasa en RDC, aux côtés d’autres femmes leaders, à la formation des Femmes médiatrices dans la résolution des conflits  en afrique.

 

 

Notons que, ce renforcement des capacités vise à outiller davantage ces femmes qui constituent  un panel de haut niveau destiné à accompagner le Président congolais, Félix Tshisekedi dans son mandat  de Président en exerce de la CEAAC.

Les femmes ont choisi de jouer un rôle dans le processus de consolidation de la paix, tant au niveau local, national, régional et continental. Elles veulent contribuer à la suppression des conflits en Afrique en s’impliquant aux différentes tables des médiations. C’est pourquoi, dans le cadre de la mise en œuvre de l’ambition de faire taire les armes à feu en Afrique, il s’avère nécessaire de l’implication des femmes dans les initiatives de médiation sur le continent.

Rappelons tout de même que, ce programme fait suite au Forum Régional sur l’implication des Femmes dans les processus de Paix et Sécurité en Afrique Centrale et le Segment des Experts de la Réunion des Ministres du Genre et la Promotion de la Mise en œuvre de la Résolution 1325 Femmes, Paix et Sécurité organisés par la CEEAC en décembre 2021 en République Démocratique du Congo et République du Congo.

 

CEEAC: « plus de la moitié des jeunes sont soit à la recherche d’un emploi, soit sous-employés » déplore Felix Tshisekedi

Le chef de l’État Congo Félix Tshisekedi, qui a pris mercredi  19 janvier à Brazzaville la présidence tournante de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC), a déploré le niveau élevé de pauvreté et de chômage dans la zone.

 

 

« Si depuis trois décennies, l’Afrique centrale enregistre une croissance pour le moins louable, le bien-être y reste sensiblement inférieur à celui de toutes les (autres) régions d’Afrique », a déclaré le président Félix Tshisekedi au terme de la 20ème session ordinaire des chefs d’Etat et de gouvernement de l’organisation.

Et d’ajoute, « les taux globaux de pauvreté de notre sous-région se maintiennent toujours à environ 43%, soit près de la moitié de notre population ». Selon certaines estimations, a-t-il insisté, « plus de la moitié des jeunes de notre région sont soit à la recherche d’un emploi, soit sous-employés ou encore simplement inactifs ».

Il sied de noter que, la conférence de Brazzaville a aussi débattu des défis sécuritaires dans le Bassin du Lac Tchad et dans l’est de la République Démocratique du Congo, de la piraterie maritime ou encore du terrorisme.

« Face à la recrudescence du terrorisme, la conférence exhorte la Commission de l’Union africaine à organiser une session sur le terrorisme au lendemain du prochain sommet de l’UA », prévu les 4 et 5 février à Addis Abeba, selon le communiqué final lu par Jean-Claude Gakosso, le ministre des Affaires étrangères du Congo-Brazzaville.

Le président sortant de la CEEAC,  le congolais Denis Sassou Nguesso, a de son coté,  appelé ses pairs au soutien  la transition tchadienne. « Quelles que soient nos difficultés internes, nous ne pouvons pas demeurer les bras croisés, alors que certains partenaires extérieurs concrétisent déjà leurs promesses en faveur du Tchad », a-t-il déclaré.

 

Le changement climatique en Afrique au centre de la 52ème réunion de l’UNSAC à Libreville

Elle s’est tenue à Libreville le 26 novembre 2021. La 52ème session ministérielle du Comité consultatif permanent des Nations Unies chargé des questions de sécurité en Afrique centrale (UNSAC). Au cours de cette rencontre, la République gabonaise a pris le relais de la République du Burundi pour assumer la présidence en exercice du comité.

 

Lors des délibérations, les ministres des affaires étrangères et chefs de délégation se sont penchés sur le contexte géopolitique et sécuritaire en Afrique centrale, notamment les processus électoraux au cours des mois écoulés ainsi que pour l’année à venir.

Ils ont également examiné l’évolution de la situation sécuritaire dans la sous-région, entre autres sur le terrorisme et l’extrémisme violent, ainsi que la présence des groupes armés, notamment dans la région du Lac Tchad ainsi que dans l’Est de la République Démocratique du Congo et en République centrafricaine. Ils ont également souligné la nécessité de sensibiliser et de combattre les discours d’incitation à la haine dans les médias et les réseaux sociaux.

Les ministres et chefs de délégation se sont en outre entretenus sur la problématique de la piraterie et la sécurité maritimes en Afrique centrale, ainsi que sur la problématique de l’impact du changement climatique sur la paix, la sécurité et la stabilité dans la région.

A ce titre, ils ont pris connaissance de l’état d’avancement de l’étude à ce sujet produit par l’UNOCA et la CEEAC qui démontre que la crise climatique représente un enjeu de paix et de sécurité à part entière. Ces changements offrent aussi des opportunités à la sous-région pour mettre en relief ses potentialités dans la recherche de solution durables.

Les ministres et chefs de délégation ont félicité le Gabon pour son rôle moteur sur cette thématique au cours des négociations de la COP26 à Glasgow en Ecosse, Royaume Uni et l’ont encouragé à porter cette priorité au Conseil de Sécurité lors de son mandat (2022-2023).

Il sied de noter que, les délégations sont convenues de poursuivre leurs consultations sur la date et le lieu de la tenue de la 53eme session d’UNSAC.

Signalons tout de même que, les ministres et chefs de délégation ont été reçus en audience par le chef de l’Etat gabonaise, Ali Bongo.

Ecologie : la Norvège verse 17 millions $ au Gabon pour ses efforts de conservation de la forêt

Le  gouvernement gabonais, va recevoir de la Norvège 17 millions $ soit 9,3 milliards de FCFA pour les 3,4 millions de tonnes de CO2 supplémentaires séquestrées entre 2016 et 2017, a annoncé ce mercredi 23 juin Jessye Ella Ekogha porte-parole de la présidence de la République.

Selon le porte-parole de la présidence de la République,  « c’est le signe de la reconnaissance du rôle majeur joué par notre pays dans la lutte contre le réchauffement climatique », a-t-il écrit sur son compte Facebook.

Et d’ajoute : « il s’agit d’une étape importante. Mais il faut aller plus loin afin que les efforts réalisés, en particulier par les pays d’Afrique centrale, en faveur de la protection des forêts soient rémunérés à leur juste valeur », a-t-il suggéré.

Le chef de l’État Ali Bongo Ondimbe, s’est réjouit de cette reconnaissance internationale de la protection de l’environnement part son son gouvernement.

Il sied de signaler que, la Norvège est le premier État développé à poser en Afrique centrale un tel acte concret en matière de politique de promotion et de la protection des forêts.

L’homme le plus riche d’Afrique Dangote débarque au Gabon pour implanter une usine de ciment

Le milliardaire nigérian président du groupe Dangote, Alhaji Aliko Dangote, a annoncé le début de la construction d’une nouvelle cimenterie au Gabon d’une valeur de 75 millions de dollars et d’une capacité de 3 000 tonnes de ciment par jour.

Le projet Dangote concerne la construction d’une unité de broyage de clinker qui devrait livrer jusqu’à 3 000 tonnes par jour. Grâce à ce complexe, qui devrait être achevé d’ici le premier trimestre de 2021, Dangote veut combler l’écart de production de ciment dans ce pays en voie de l’émergence.

La nouvelle cimenterie serait située dans la commune d’Owendo, avec une usine d’un million de tonnes par an.

Le projet, qui, selon le directeur national, le Dr Daniel Camarasa, a suscité beaucoup d’intérêt à la fois du gouvernement et du peuple gabonais, se trouve sur plus de 10,5 hectares de terres, à côté du Nouveau port international d’Owendo (NOIP) à Owendo.

La nouvelle usine peut approvisionner l’ensemble du Gabon et de la région de l’Afrique centrale.

Risques de catastrophes naturelles : des experts de la CEEAC à Libreville pour valider la stratégie et le plan d’action de réduction

Judith Koumba Pemba Mombo secrétaire générale du ministre de l’Intérieur, a présidé, ce mercredi à Libreville, l’ouverture de l’atelier régional de validation de la stratégie et du plan d’action genre pour la réduction des risques de catastrophes naturelles en Afrique centrale.

Des experts des 11 pays membres de la CEEAC participent à cette rencontre. Ils ont la mission d’apprécier et d’évaluer la stratégie élaborée par le cabinet d’études Cowater International pour la période 2020-2030.

Organisé par la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC) et soutenu par l’Union européenne, la Banque mondiale et le gouvernement gabonais, l’atelier prendra fin vendredi prochain.

Le document issu de la rencontre de Libreville permettra à l’Afrique centrale de s’arrimer au programme africain pour la réduction des risques de catastrophes climatiques (RRC) qui bénéficie d’un appui financier de l’Union européenne.

Libreville : colloque sur l’opportunité pour l’autonomisation économique des femmes

La cité capitale gabonaise abrite du 30 au 31 janvier la Conférence Régionale de Lancement du Rapport de la Banque Mondiale.

Cette rencontre de l’autonomisation de la femme africaine,  est placée sous le thème : « Les Femmes, l’Entreprise et le Droit 2020 » relatif aux défis et opportunités pour l’autonomisation économique des femmes en Afrique de l’Ouest et Afrique Centrale.

Le colloque de  Libreville est placé sous le parrainage de la première dame Sylvia Bongo Ondimba qui réaffirme son engagement et celui des autorités gabonaises en faveur de l’autonomisation de la femme au Gabon.