Fonds pandémique : le Gabon sollicite un financement de 25 millions de dollars auprès de la Banque Mondiale 

Le conseil des ministres qui s’est tenu mardi 24 juillet 2024, a approuvé la demande de financement adressée à la Banque Mondiale pour soutenir les actions de prévention, de préparation et de riposte aux épidémies et pandémies, avec une approche intégrée One Health.

 

Le financement du Fonds pandémique est  étalé sur une période de trois ans. Il  se concentrera sur trois domaines prioritaires à savoir : le système d’alerte précoce et de surveillance, les systèmes de laboratoires humains et animaux, et le renforcement des capacités en matière de ressources humaines, notamment en santé animale et en main-d’œuvre communautaire. Ces domaines, seront réalisées dans le cadre de l’approche intégrée One Health, qui promeut une santé unique en intégrant les dimensions humaine, animale et environnementale.

A cet effet, le gouvernement  qui a pour ambition de protéger la santé de ses populations et de renforcer la coopération internationale pour une réponse globale et efficace face aux crises sanitaires futures,  a décidé de créer  la  plateforme One Health, pour surveiller, préparer, gérer et coordonner toutes les urgences sanitaires.

Notons que l’objectif de cette plateforme vise  à renforcer un système de santé robuste et résilient, capable de faire face aux futures urgences sanitaires.

Le Gabon règle ses impayés auprès de la Banque Mondiale

Le ministre des comptes publics a annoncé mercredi 03 juillet que,  la Direction générale de la comptabilité publique et du trésor a déjà procédé au paiement des impayés.

 

Suspendu des décaissements de la Banque Mondiale le 1er juillet, en raison d’un retard de paiement d’environ 17 041 875,65 dollars américains. Soit environ 10,4 milliards de Fcfa. Face à cette situation, le Gabon a aussitôt réagit ce 03 juillet 2024 à travers un communiqué. Le ministre des comptes explique que « Le retard dans le règlement des échéances dues à la Banque mondiale est lié à des raisons techniques, qui n’ont pas permis d’honorer la totalité des engagements à la date du 30 juin 2024 », a expliqué le gouvernement.

Et d’ajouter qu’à ce jour, « la Direction générale de la comptabilité publique et du Trésor a déjà procédé au paiement de ces impayés ». a-t-il annoncé en indiquant qu’en 10 mois le Gabon a déjà payé 136 milliards de dette. Le ministère comptes publics, auteur du communiqué ajoute que le gouvernement a hérité d’un passif trop lourd. En 10 mois, il a payé 136 milliards de dette.

Notons que ce règlement des impayés du Gabon, met fin à sa brève suspension des décaissements de la Banque Mondiale.

La Banque Mondiale suspend ses décaissements au Gabon

L’institution financière a annoncé à travers un communiqué lundi 1er juillet, que le Gabon est interdit d’effectuer des retraits sur les prêts BIRD (Banque internationale pour la reconstruction et le développement), suite à des retards de paiement d’une valeur d’environ 10,4 milliards de Fcfa.

 

C’est un coup dur pour le Gabon qui vient d’être interdit de décaissements à la Banque Mondiale. Selon le communiqué,  signée du vice-président du groupe de la Banque mondiale , « La BIRD a suspendu, à compter du 1er juillet 2024, le droit du Gabon d’effectuer des retraits sur les prêts BIRD en cours et non entièrement retirés », annonce la Banque mondiale.

Cette dernière  précise qu’à la clôture des opérations le 30 juin, le Gabon accusait un retard de paiement d’environ 17 041 875,65 dollars américains. Soit environ 10,4 milliards de Fcfa. Cette somme représente des obligations non honorées, menaçant ainsi la continuité des projets en cours.

En effet, la  décision de la BIRD inclut la suspension des retraits sous les prêts actifs de la BIRD, les avances du Fonds de préparation de projet, les subventions du Fonds de développement institutionnel, ainsi que certains prêts et subventions financés par des fonds fiduciaires administrés par la BIRD.

 

Projet Gabon numérique : la banque mondiale accorde un prêt de 68,5 millions de dollars au Gabon

L’accord a été signé le 02 janvier 2024 entre la Banque Mondiale et le gouvernement gabonais.

 

68,5 millions de dollars soit plus de 41 milliards de FCFA, que la Banque Mondiale a prêté au Gabon pour accélérer sa transformation numérique. En effet, le projet « Gabon Numérique », pour son projet « Gabon numérique », va permettre d’accélérer l’adoption de services publics numérisés et augmenter le nombre de personnes disposant d’un identifiant unique facilitant l’accès inclusif aux services publics.

Il sera également question de renforcer la protection des données, la cybersécurité, la sécurisation des échanges de données au sein du secteur public, ainsi que les fondements juridiques, réglementaires et technologiques de la protection des données. Il faut également noter que, le projet de « Gabon numérique », va permettre  à moderniser les systèmes d’identité légale, et faciliter l’accès de tous aux services publics.

Rappelons que, le Gabon a fait des progrès considérables en matière d’infrastructures numériques à haut débit. Et  fait partir des 10e pays africain le plus connecté au monde (le 1er en Afrique centrale) selon le dernier classement de l’indice de développement des TIC (2023) de l’Union internationale des télécommunications (UIT).

La Banque mondiale compte  relancer ses décaissements en faveur du Gabon

A cause du coup d’Etat ou « coup de la libération » du 30 août dernier, la Banque mondiale avait mis en « pause » ses décaissements au profit du Gabon dont le portefeuille se chiffre à environ 154 milliards de FCFA. Plus d’un mois après, l’institution de Breton Wood a dépêché à Libreville une mission pour évaluer la situation et envisager « si possible » la reprise des décaissements au profit du Gabon.

 

Lundi, une partie de la mission de la Banque mondiale s’est entretenue avec le bureau de la Fédération des entreprises du Gabon (FEG). La délégation conduite par l’Economiste résidente au Gabon, Sonia Barbara Ondo Ndong avait pour mission de comprendre le climat des affaires dans le pays depuis l’arrivée des militaires au pouvoir. Henri Claude Oyima et ses hommes de la FEG ont partagé la bonne ambiance actuelle entre les hommes d’affaires et le pouvoir en place qui, selon M. Oyima, a réservé la primeur de ses rencontres publiques aux chefs d’entreprises.

 

« On a parlé de la vie des entreprises au Gabon, de notre perception de la situation économique du pays, de la nouvelle donne, la nouvelle dimension et de la nouvelle organisation que nous souhaitons donner aujourd’hui avec les nouvelles autorités », a résumé le président de la FEG à l’issue de cette rencontre. Henri Claude Oyima a rappelé que lors de la toute première rencontre le 31 août 2023 entre le président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguéma et les membres de la FEG, les chefs d’entreprises avaient indiqué que « les entreprises ont besoin d’avoir une visibilité et une lisibilité ».

« Nous avons été rassurés par les nouvelles autorités en termes de certitude, ce qui nous permet aujourd’hui de programmer nos investissements (…) nous avons aujourd’hui des assurances raisonnables qui nous permettent de nous rassurer et d’investir sereinement », a clairement dit Henri Claude Oyima. Le patron de la FEG soutient aussi avoir fait des objections à la mission de la Banque mondiale à propos de ses procédures : « si on prend les mêmes recettes pour avoir un résultat nouveau, on se trompe ». « Il est temps d’adopter de nouveaux paradigmes pour restructurer notre économie et de mieux relancer le développement économique tant attendu par les populations », a-t-il conclu.

Le portefeuille de la Banque mondiale au Gabon compte actuellement 5 projets actifs représentant un engagement total de 250.50 millions de dollars (environ 154 milliards de FCFA) dans différents secteurs de développement dont le développement numérique, l’énergie et l’eau, la formation professionnelle, la statistique ainsi que la santé. Selon une source bien informée, la Banque mondiale avait déjà suspendu ses décaissements au profit du Gabon entre mars et avril 2023. Libreville n’avait plus honoré ses engagements auprès de la Banque.

Source: Gabon Actu

La SFI va accorder un prêt de 90 milliards de Fcfa à Olam palm Gabon

La Société Financière Internationale (SFI), filiale de la Banque mondiale, a donné son accord à Olam Palm Gabon pour un accord de prêt d’un montant de 150 millions de dollars (environ 90 milliards de FCFA) en vue du développement de ses activités au Gabon.

 

C’est après plusieurs mois de négociations que, la société s’est engagée à faire ce prêt. Selon le site Gabon Nouveau, Gabriel Ntougou, Vice-president Affairs And External Relations chez Olam a confié que : « C’est une annonce. Il y a encore plusieurs étapes dans ce processus d’investissement. SFI c’est une entité de la Banque mondiale qui finance les projets dans le secteur privé, et effectivement, nous avons travaillé ensemble avec la SFI pour pouvoir lever des fonds afin d’augmenter nos capacités de production », a confié Gabriel Ntougou, Vice-president Affairs And External Relations chez Olam.

Ce financement d’après ce dernier, va également être accordé à Olam Palm Gabon en raison des efforts consentis dans la gestion de son personnel, de l’environnement, de ses partenaires entre autres. « Ça a été aussi fait en raison de notre responsabilité sociétale et environnementale, parce que nous sommes aujourd’hui certifiés, et toutes nos plantations sont certifiées RSPO (Roundtable on Sustainable Palm Oil NDLR) qui est une certification qui tient compte de plusieurs aspects. Notamment, comment on coupe la forêt, comment on gère le personnel, les animaux qui sont autour des plantations, les partenaires économiques, les sous-traitants… Nous avons fait beaucoup d’efforts sur tous ces aspects et c’est la raison pour laquelle nous sommes arrivés à cette levée de fonds », poursuit Gabriel Ntougou.

Ce financement devrait donc permettre au groupe singapourien d’accroître sa production au Gabon. Olam Palm Gabon envisage au terme de cette année 2023, de produire 190 000 tonnes d’huile de palme brute contre 150 000 tonnes l’année dernière. Notons que, la société est détenue à 60 % par le groupe Olam basée à Singapour et 40% par l’Etat gabonais.

 

JIF : 2,4 milliards de femmes en âge de travailler ne jouissent pas des mêmes droits que les hommes

Selon la Banque mondiale, cette situation entrave la croissance économique dans un moment critique.

 

Selon un nouveau rapport de la Banque mondiale, le rythme des réformes en faveur de l’égalité de traitement des femmes devant la loi a atteint son niveau le plus bas depuis 20 ans, ce qui risque d’entraver la croissance économique à un moment critique pour l’économie mondiale.

En 2022, le score moyen mondial de l’indice produit par le rapport « Les Femmes, l’Entreprise et le Droit »  n’a augmenté que d’un demi-point pour atteindre 77,1 sur 100, cela signifie que les femmes ne jouissent en moyenne que d’à peine 77 % des droits juridiques reconnus aux hommes. Le rapport note qu’au rythme actuel des réformes, dans de nombreux pays, une jeune femme qui entre aujourd’hui dans la vie active prendra sa retraite avant d’avoir pu obtenir les mêmes droits que les hommes.

Le rapport « Les Femmes, l’Entreprise et le Droit 2023 » passe au crible les lois et règlements de 190 pays au regard de huit domaines qui influent sur la participation des femmes à la vie économique : mobilité, travail, rémunération, mariage, parentalité, entrepreneuriat, actifs et retraite. Les données, arrêtées au 1er octobre 2022, fournissent des repères objectifs qui permettent de mesurer les progrès réalisés à travers le monde en matière d’égalité juridique entre les sexes. Aujourd’hui, seuls 14 pays tous des économies à revenu élevé ont atteint une parité juridique totale.

Selon la BM près de 2,4 milliards de femmes en âge de travailler dans le monde ne jouissent toujours pas des mêmes droits que les hommes. Or, en comblant l’écart entre les sexes en matière d’emploi, le PIB par habitant pourrait augmenter à long terme de près de 20 % en moyenne. En outre, des études estiment entre 5 000 et 6 000 milliards de dollars les gains économiques mondiaux qui pourraient être obtenus si les femmes créaient et développaient de nouvelles entreprises au même rythme que les hommes.

« À l’heure où la croissance économique mondiale ralentit, tous les pays doivent mobiliser l’intégralité de leur capacité de production pour faire face à la confluence des crises auxquelles ils sont confrontés », souligne Indermit Gill, économiste en chef du Groupe de la Banque mondiale et premier vice-président en charge de l’Économie du développement.

 « Les États ne peuvent pas se permettre de mettre à l’écart près de la moitié de leur population. Le fait qu’une grande partie du monde n’accorde pas aux femmes les mêmes droits qu’aux hommes constitue non seulement une injustice à l’égard de celles-ci, mais aussi un obstacle à la capacité de ces pays à promouvoir un développement vert, résilient et inclusif ».

Coopération : la banque mondiale et le ministre Guy Patrick Obiang accélèrent la numérisation du système sanitaire au Gabon

Le Ministère de la Santé en partenariat avec la Banque mondiale a organisé du 3 au 4 juin dernier par visioconférence, un atelier visant à impliquer le personnel sanitaire dans la concrétisation du projet eGabon-SIS dont l’objectif final est de faire bénéficier aux populations vivant dans les « déserts médicaux » des prestations sanitaires de qualité grâce au numérique ou la télémédecine.

Il sied de préciser que, l’atelier a rassemblé le personnel médical des 9 provinces du pays. Une première équipe était basée à Ntoum (environ 40 km de Libreville). La seconde à Libreville la capitale.

Il faut dire que grace à ce projet, le système sanitaire gabonais fera de moins en moins recourt au papier. Le numérique doit prendre le dessus. Ce qui rendra plus simple le quotidien des hommes et femmes de la santé, estiment les organisateurs.

« Un patient qui est dans une zone reculée où il n’y a pas de spécialiste, grâce à la télémédecine, pourra bénéficier de la consultation d’un spécialiste en temps réel », s’est réjoui le Dr Ekoue Eyini participant à cet atelier.

Grâce à ce projet, une sage femme qui « isolée » dans une localité de l’intérieur du pays peut réaliser un accouchement difficile grâce à des instructions reçues en direct d’un spécialiste basé à Libreville où un autre coin du pays.

Source: gabonactu.com

 

 

Gabon : « le centre de formation professionnel Basile Ondimba sera réhabilité dans les semaines avenir » (A. Ouedraogo)

Madeleine Berre,  ministre de la Fonction publique, a indiqué lundi 23 novembre lors  d’une visite de terrain que le centre de formation  et de perfectionnement professionnel Basile Ondimba sera réhabilité dans les semaines avenir.

« La visite que nous avons faite c’était pour envisager la faisabilité de la réfection des bâtiments, des salles de classes et des salles des travaux dirigés », a affirmé Madeleine Berre,   ministre gabonaise de la fonction publique.

L’objectif en toile de fond poursuivi par ce tour du propriétaire est de combler le déficit en termes de salle de classe, d’améliorer les conditions d’apprentissage des élèves et de réfléchir à nouveau sur l’orientation des filières à optimiser.

Selon la ministre, la plupart des filières industrielles qui sont délivrées seront transférées au nouveau centre multisectoriel de Nkok. Seules les filières pâtisseries, boulangerie et toutes celles du secteur de la restauration  resteront.

Alice Ouedraogo la représentante résidente de la Banque Mondiale, a rassuré que les travaux de  réhabilitation vont commencer sous peu, sans plus de précisions. Elle a par contre précisé que ces travaux s’effectueront dans le cadre du projet de la Banque mondiale dénommé PRODES qui est un projet d’environ 60 millions de dollars.

L’initiative engagée par le gouvernement est une réponse à des nombreuses grèves lancées par les enseignants du centre. En novembre 2019, le personnel de cet établissement professionnel avait entamé une grève générale. Ils revendiquent à la tutelle l’amélioration de leurs conditions de travail, la régulation des situations administratives des agents de la main d’œuvre non permanente et la mise en stage des formateurs.

 

 

 

 

 

 

Rapport de la Banque Mondiale: La dette extérieure du Gabon estimée à près de 4 037,74 milliards de francs CFA

Le rapport 2020 des statistiques sur la dette internationale, de la Banque Mondiale publiée ce 02 octobre 2019, indique une augmentation de 4,55% de la dette extérieure du Gabon.

En 2018, l’encours de la dette extérieure publique du Gabon a crû de 4,55% à 4 037,739 milliards de francs CFA, par rapport à 2017, où elle se situait à 3 853, 9 milliards de francs CFA, selon la Banque mondiale. Des chiffres qui inquiètent l’institution mondiale car ceux-ci évoquent des «risques élevés de crise de la dette extérieure» et son «poids insoutenable» dans de nombreux pays à revenus faibles et intermédiaires, dont le Gabon.

Le rapport des Statistiques sur la dette internationale est une publication annuelle visant à dresser un état des lieux de l’évolution de la dette extérieure et plus généralement des flux financiers en direction des pays en développement, et mettant en évidence les facteurs à l’origine de ces variations. Selon la Banque mondiale, «la transparence de la dette est une condition indispensable pour attirer plus d’investissements et assurer une allocation efficace des capitaux».

La Banque mondiale octroie un prêt de 200 millions de dollars au Gabon

Le but de ce prêt d’environ 100 milliard de Fcfa est de soutenir le pays dans ses efforts d’assainissement budgétaires et de diversification l’économie

L’information a été donnée ce lundi 25 février, par l’institution financière internationale qui indique que cet argent vise à «soutenir le pays dans ses efforts d’assainissement budgétaire et de diversification de l’économie». C’est exactement 200 millions de dollars, soit 115 450 000 000 francs CFA qui ont été remis Gabon par la Banque mondiale au Gabon.

L’institution mondiale a tenu a préciser que  «cette opération est la seconde d’une série de deux financements à l’appui des politiques de développement en matière de consolidation budgétaire et de croissance inclusive au bénéfice» du Gabon, à l’instar d’autres États de la Cemac, qui est censé répondre efficacement et de manière «coordonnée» à la crise économique survenue en fin 2014. Pour y faire face, le gouvernement gabonais avait adopté, en 2017, un Plan de relance économique (PRE) censé arriver à échéance à la fin de l’année en cours. C’est donc pour «soutenir la mise en œuvre du PRE» que la Banque a consenti ce nouveau prêt.

Toujours selon la Banque Mondiale, l’opération s’articule autour de trois axes stratégiques, comprenant chacun plusieurs domaines. Le premier axe concerne le renforcement de la soutenabilité financière et de l’efficacité de la gestion des finances publiques. Le second axe a pour objectif de renforcer la compétitivité du Gabon grâce à l’amélioration du climat des affaires et au renforcement des services des TIC.

Le troisième et dernier axe cible les Gabonais Faibles économiquement. Cet axe permettra de jeter les bases pour améliorer l’efficacité de la prestation des soins de santé, notamment les soins de santé primaires, et accroître l’efficacité des filets sociaux.