La Banque mondiale compte  relancer ses décaissements en faveur du Gabon

A cause du coup d’Etat ou « coup de la libération » du 30 août dernier, la Banque mondiale avait mis en « pause » ses décaissements au profit du Gabon dont le portefeuille se chiffre à environ 154 milliards de FCFA. Plus d’un mois après, l’institution de Breton Wood a dépêché à Libreville une mission pour évaluer la situation et envisager « si possible » la reprise des décaissements au profit du Gabon.

 

Lundi, une partie de la mission de la Banque mondiale s’est entretenue avec le bureau de la Fédération des entreprises du Gabon (FEG). La délégation conduite par l’Economiste résidente au Gabon, Sonia Barbara Ondo Ndong avait pour mission de comprendre le climat des affaires dans le pays depuis l’arrivée des militaires au pouvoir. Henri Claude Oyima et ses hommes de la FEG ont partagé la bonne ambiance actuelle entre les hommes d’affaires et le pouvoir en place qui, selon M. Oyima, a réservé la primeur de ses rencontres publiques aux chefs d’entreprises.

 

« On a parlé de la vie des entreprises au Gabon, de notre perception de la situation économique du pays, de la nouvelle donne, la nouvelle dimension et de la nouvelle organisation que nous souhaitons donner aujourd’hui avec les nouvelles autorités », a résumé le président de la FEG à l’issue de cette rencontre. Henri Claude Oyima a rappelé que lors de la toute première rencontre le 31 août 2023 entre le président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguéma et les membres de la FEG, les chefs d’entreprises avaient indiqué que « les entreprises ont besoin d’avoir une visibilité et une lisibilité ».

« Nous avons été rassurés par les nouvelles autorités en termes de certitude, ce qui nous permet aujourd’hui de programmer nos investissements (…) nous avons aujourd’hui des assurances raisonnables qui nous permettent de nous rassurer et d’investir sereinement », a clairement dit Henri Claude Oyima. Le patron de la FEG soutient aussi avoir fait des objections à la mission de la Banque mondiale à propos de ses procédures : « si on prend les mêmes recettes pour avoir un résultat nouveau, on se trompe ». « Il est temps d’adopter de nouveaux paradigmes pour restructurer notre économie et de mieux relancer le développement économique tant attendu par les populations », a-t-il conclu.

Le portefeuille de la Banque mondiale au Gabon compte actuellement 5 projets actifs représentant un engagement total de 250.50 millions de dollars (environ 154 milliards de FCFA) dans différents secteurs de développement dont le développement numérique, l’énergie et l’eau, la formation professionnelle, la statistique ainsi que la santé. Selon une source bien informée, la Banque mondiale avait déjà suspendu ses décaissements au profit du Gabon entre mars et avril 2023. Libreville n’avait plus honoré ses engagements auprès de la Banque.

Source: Gabon Actu

Gabon : les chefs  d’entreprises plaident pour une révision de la taxe foncière unique

Les chefs d’entreprises ont au cours d’une assemblée générale ordinaire de la Fédération des entreprises du Gabon (FEG), le 23 mai dernier, avec le président de la FEG Henri Claude Oyima proposer un dialogue pour revoir la taxe de contribution foncière unique.

 

Entrée en vigueur au Gabon le 1er janvier 2023, la Contribution foncière unique (CFU) est une taxe annuelle qui est payable par toute personne physique et morale détentrice d’un bien foncier bâti ou non bâti. En effet, cette taxe n’est pas acceptée par les chefs d’entreprises car, ceux-ci   pensent  que c’est « une taxe en plus à payer ». Pour les chefs d’entreprises la somme des taxes foncières ou des impôts à payer que ce soit la CFU, l’IS, les ISL (Impôt synthétique libératoire ndlr), revient à environ 65 % voire 70 % des revenus. Ce qui est  « assez lourd » pour les entreprises. Apprend-on sur le site Gabon Nouveau.

Présent lors de cette assemblée générale de la principale organisation patronale du Gabon, le Premier ministre, Alain-Claude Bilie-By-Nze, s’est dit ouvert au dialogue. Car, « l’État met en place une fiscalité avec un certain nombre d’objectifs, soit effectivement d’accroître les ressources publiques ou investir, soit pour mieux réguler un secteur. À partir du moment où on arrive à la phase de mise en application d’un impôt et qu’on rencontre quelques difficultés, de perception, de compréhension, ou d’application, il est utile pour le gouvernement et les professionnels de s’asseoir et de regarder comment tout ceci peut être mieux articulé, reformulé et redéfinir ensemble un certain nombre d’éléments et de paramètres », a-t-il déclaré avant de poursuivre. « Je crois que chacun y gagne. Nous n’avons aucun intérêt à maintenir un impôt qui serait un repoussoir. Aucun intérêt. On n’atteindrait pas l’objectif recherché. Et je ne pense pas que les entreprises auraient intérêt de leur côté à chercher forcément à échapper à un certain nombre de contributions ».

La proposition du Premier ministre a été bien accueillie par la FEG. « Nous allons nous rapprocher du ministre de l’Économie, pour que nous puissions nous retrouver afin de mieux nous comprendre », a conclu le président de la FEG. Selon la direction générale des impôts, lintérêt de payer la CFU consiste à apporter des ressources aux collectivités locales en vue du développement des services publics de proximité. Le Gabon espère grâce à cette taxe, doubler ses recettes foncières dans 5 ans. Rappelons que, cette taxe correspond à 2,5 % de la valeur nette imposable du terrain ou du bâtiment, pour les personnes physiques, et 16 % pour les personnes morales, selon la direction générale des Impôts.

Source : Gabon Nouveau

Gabon : création de  l’Institut Gabonais des administrateurs

 Elle a été créée le 9 mai 2023, par la Fédération des entreprises du Gabon (FEG), pour former et recycler les administrateurs et de renforcer leurs capacités.

 

L’objectif principal de la Feg est de promouvoir la bonne gouvernance au sein des Conseils d’administration des entreprises du Gabon. Henri Claude Oyima, président de la FEG, a expliqué que : « l’IGA constitue un forum d’interactions. C’est un cadre prolifique ouvert à tous les administrateurs ou en devenir des sociétés, de tous secteurs confondus, avec pour ambition de promouvoir l’excellence à travers la formation et l’accompagnement de ses membres sur les principes de la bonne gouvernance. A travers l’IGA, nous entendons placer les administrateurs au centre de la gestion de l’entreprise et leur offrir un cadre privilégié ».

En effet, lors de la cérémonie de lancement, les administrateurs présents ont bénéficié de deux sessions de formation animées par Bakari Traoré, Vice-président de l’Institut National des Administrations de la Côte d’Ivoire, et Etienne Nsie, professeur agrégé en droit privé à l’Université Omar Bongo (UOB). Un accord de partenariat sera  signé entre les deux Instituts pour l’accompagnement de l’IGA dans son développement et la mise en œuvre d’un programme de certification à l’endroit des administrateurs adhérents en 2023. Apprend-on sur le site Gabon Actu.

Pour bénéficier des formations offertes par l’IGA, il faut être membre et s’acquitter d’une cotisation de 1 million par an. Les frais d’adhésion donnent accès entre autres, à un réseau d’administrateurs, des formations ainsi qu’à un certificat qui pourrait permettre une nomination à un poste d’administration, apprend-on. De ce fait, lors du lancement de cet organe, le président de la Fédération des entreprises du Gabon a invité les chefs d’entreprises, administrateurs, hauts cadres et responsables en charge de la gouvernance des entreprises au sein des organisations à rejoindre l’IGA.

Gabon : la FEG envisage l’organisation du Gabon Business forum

Henri Claude Oyima président de la Fédération gabonaise des entreprises,  a annoncé l’organisation du Gabon Business forum pour cette année 2023.

 

C’est lors de l’assemblée générale de la FEG, en présence de la ministre la ministre gabonaise de la Justice, Antonella Ndembet tenue le 9 janvier dernier que le président Henri Claude Oyima a évoqué l’organisation de ce forum. Si les informations  de ce forum n’ont pas été détaillées par le président, l’on sait tout de même que, sa fédération est à la rencontre des entrepreneurs francophones au Québec au Canada, ceci dans le but de créer un environnement favorable à la croissance de l’économie mais également à la défense des entreprises gabonaises.

En effet, au cours de l’assemblée générale qui a eu lieu ce début du mois, il était question pour la FEG de faire une sorte de bilan et de présenter le plan d’action de cette année 2023.  Pour le président,  les textes organiques de l’institution qui « ont été élaboré dans l’esprit et la vision qui consacrent l’entrepriseLes statuts et le règlement intérieur ont été rédigés de telle sorte qu’ils restent d’actualité dans le temps. Dans leur contenu, les insuffisances et les imperfections du passé (défunte CPG) ont été écarté, et ce qui se fait de bien dans les autres organisations d’entreprises de notoriété dans le monde, a été pris en compte », a précisé le président de la FEG, à travers le site Gabon Actu.

En attendant avoir plus de précisions au sujet du Gabon Business forum, notons que, la FEG a publiquement exprimé son intention de prendre le contrôle de la gestion de la CNSS parce que le plus gros lot de retraités assurés par la CNSS est issu du secteur privé.

 

Gabon : la Confédération patronale gabonaise devient la FEG

La nouvelle nomination de l’institution a été adoptée lundi 10 octobre 2022, lors de l’assemblée générale.

 

De Confédération patronale gabonaise (CPG), à la Fédération des entreprises du Gabon (FEG), c’est une nouvelle initiative qui a pour but de, rassembler et unir les entreprises plutôt que les patrons d’entreprises au sein d’une fédération des entreprises. Le président Henri-Claude Oyima, a souligné à cet effet que : « « Notre volonté de changement de paradigme déjà évoqué, est un processus qui consiste à rassembler et à unir l’ensemble des entreprises de toutes mesures, petites, moyennes et grandes qui sont d’un apport sans défaillance à notre ambition au sein de la Fédération des entreprises du Gabon ».

Avec cette nouvelle nomination, des nouvelles ambitions sont à l’ordre du jour. Notamment, d’une législation favorable à la protection judiciaire des entreprises, d’un système fiscal adapté à la relance économique, d’un système de prévoyance sociale garantissant les droits des travailleurs, et biens d’autres éléments qui vont participer à un meilleur climat d’affaire au Gabon.

A noter que, le gouvernement attend de ce regroupement d’entreprises qu’il participe pleinement au processus de développement de l’économie nationale. Rappelons que, la Cpg qui devient la FEG, est une institution qui contribue à un idéal commun qui est la performance des entreprises gabonaises. Créé le 4 septembre 1959, en tant que, Union interprofessionnelle du Gabon (Unigabon), l’institution est ensuite devenue CPG jusqu’à ce jour.

Gabon : huit groupements professionnels et entreprises retournent au sein de la CPG

Selon un communiqué publié le 12 août 2022, par la Confédération patronale gabonaise, les huit groupements et entreprises ont annoncé leur retour au sein de la CPG.

 

Après avoir été motivés par les assurances du nouveau patron Henri-Claude Oyima,  ces entreprises ont pris la décision de retourner au sein de cette confédération. Il s’agit entre autres de l’Association professionnelle des établissements de crédit (Apec), le Syndicat des importateurs et exportateurs (Simpex), l’Union des représentants automobiles et industriels (Urai), le Syndicat des entrepreneurs du bâtiment et des travaux publics (SEBTP), le Syndicat des sociétés hôtelières et restauration, le Groupement professionnel des pétroliers (GPP), le Groupement des transporteurs terrestres et General Business Machines (GBM).

Ces entreprises expliquent leur retour par, l’arrivée du nouveau patron Henri-Claude Oyima. «Cette démarche est une réaction positive à la désignation consensuelle et unanime de Monsieur Henri-Claude Oyima en qualité de président. La conviction du rayonnement du secteur privé est certaine, au regard de l’organisation et des ambitions qu’il a déclinées devant les opérateurs économiques», ont d’ailleurs justifié les organisations et entreprises concernées.

Rappelons qu’en avril 2022, ces entreprises et groupements professionnels s’étaient retirés de la Confédération patronale gabonaise en raison de l’attitude du patron des patrons en ce temps-là, qui avait « complément dévié de la ligne directrice du fonctionnement de la CPG que lui avait confié les adhérents ».

Discours intégral d’Henri Claude Oyima président du Patronat gabonais

l’intégralité du discours d’Henri-Claude OYIMA, Président de la Confédération Patronale du Gabon (CPG) prononcé ce mardi 9 août à l’occasion de sa première rencontre avec les Entreprises Gabonaises en qualité de président de cette organisation.

 

Libreville, le 09 août 2022

Mesdames, Messieurs, les Chefs d’Entreprises,

Chers Amis,

C’est en toute humilité que je me présente à vous en raison du grand honneur accordé en ma personne, mais également un immense plaisir de vous revoir.

Je tiens à vous remercier très sincèrement d’avoir répondu présent à mon invitation, marquant notre première rencontre, laquelle m’offre l’occasion d’exprimer ma gratitude à l’endroit du Conseil d’Administration pour la décision collective de m’avoir confié la Présidence de la Confédération Patronale Gabonaise, à l’issue de sa séance du 29 juillet 2022.

Cette fonction, que j’accepte avec plaisir vient à la croisée des chemins, du fait de mon passé au poste de Président de cette noble institution de 2003 à 2013.

Dans les hauteurs de sa linéature, la Confédération Patronale Gabonaise reste un auguste acteur incontournable de l’économie gabonaise, laquelle contribuait, il y a peu, à près de 80% du Produit Intérieur Brut et plus de 90% de la main d’œuvre formelle de notre pays.

Mesdames et Messieurs,

Le Renouveau de la Confédération Patronale Gabonaise est à l’ordre du jour. La croissance économique constitue l’approche radicale et indispensable à la création des richesses et donc à la performance de nos entreprises. En conséquence, nul ne devrait se départir de cette vision.

C’est pourquoi il devient plus qu’inéluctable Mesdames, Messieurs, de restaurer les fondamentaux de tout ce qui est considéré actuellement comme des béances, et qui ne confèrent nullement à notre institution son image de noblesse d’antan, de plus puissante organisation patronale gabonaise.

Les problématiques de dissections dans un contexte économique rude que traverse notre institution, impliquent des choix stratégiques et des sacrifices structurels à consentir.

De nombreux efforts devront être consentis, dans une logique de complémentarité et de recherche d’efficacité. A ce sujet les principales actions que je vous propose de mener durant ce mandat porteront sur :

  • La Révision des Statuts et du Règlement Intérieur ;
  • La Mise en place d’un Code d’Ethique et Déontologie ;
  • Le Règlement de la Dette Intérieure ;
  • Les Problématiques liées au Code du Travail ;
  • L’Adéquation Formation Emploi ;
  • L’Insertion du Secteur Informel dans le Formel ;
  • L’Iniquité Fiscale ;
  • L’Inclusion Financière ;
  • Les Financements Innovants de l’Economie ;
  • La Compétitivité des Entreprises ;
  • La Gouvernance des Entreprises ;
  • La Prévoyance Sociale ;
  • La Protection Judiciaire des Entreprises ;
  • Les Partenariats Stratégiques ;
  • La Promotion des Champions Nationaux, tous Secteurs Confondus.

Ces efforts autour des travaux à fournir selon les dispositions statutaires de notre institution, permettront d’améliorer la compétitivité et la dynamique entrepreneuriale afin de créer de nouvelles opportunités de croissance inclusive.

Ce n’est jamais facile de créer et d’innover dans un domaine aussi important que celui de notre institution, et c’est aussi pour cela que je souhaite construire avec vous, une institution plus dynamique, plus performante, plus forte, plus inclusive, et résolument tournée vers l’excellence au service de l’ensemble des entreprises du Gabon.

Le principe du travail collectif que je vous incite désormais à mener demeure essentiel, afin de tirer les bénéfices de chacun d’entre nous pour atteindre les objectifs partagés.

Retenons de l’intelligence collective, Mesdames, Messieurs,

Que « Seul on va plus vite, mais ensemble on va plus loin ».

De ce fait, j’invite instamment tous les syndicats, toutes les associations, toutes les corporations d’entreprises du Gabon à rejoindre notre institution afin de bâtir ensemble une économie forte pour garantir la souveraineté nationale.

Votre adhésion sera une énergie nécessaire pour booster notre institution et renforcer la réalisation de notre idéal commun : la Performance des Entreprises Gabonaises.

Dans cet élan, je serai amené à proposer au prochain Conseil d’Administration de notre institution le changement de sa dénomination.

Cette initiative obéit à notre volonté de changement de paradigme consistant à rassembler et à unir les entreprises plutôt que les patrons d’entreprises au sein d’une Fédération des Entreprises.

Afin d’accompagner cette transformation indispensable de notre institution, la nouvelle gouvernance que je mets en place aujourd’hui se présente ainsi qu’il suit :

Une Assemblée Générale qui réunira au moins deux (2) fois par an tous ses membres.

Un Conseil d’Administration composé des Présidents des différents syndicats. Il se réunira au moins une fois par trimestre.

Un Bureau exécutif qui se réunira aussi souvent que l’intérêt de la Fédération l’exige, mais au moins une fois par mois.

Il est composé du Président et de huit (8) Vice-Présidents en charge respectivement :

  • De la Compétitivité et du Développement des Industries ;
  • De l’Inclusion Financière ;
  • Du Développement des Industries Extractives ;
  • Du Développement Durable et de la RSE ;
  • Du Commerce ;
  • De l’Emploi, de la Formation et des Affaires Sociales ;
  • Des Infrastructures;
  • Des Relations Internationales.

D’un Secrétariat Général qui assurera le pilotage opérationnel des activités de la Fédération, suivant le programme arrêté. Il s’appuiera sur cinq (5) Commissions Permanentes qui œuvreront à la formulation de recommandations sur les questions relevant de leur compétence.

Il s’agira de :

  • La Commission Révision des Statuts, Règlement Intérieur, Charte d’Ethique et de Déontologie ;
  • La Commission Juridique et Fiscale ;
  • La Commission Capital Humain ;
  • La Commission Gouvernance d’Entreprises ;
  • La Commission Partenariats Stratégiques.

Mesdames et Messieurs,

« C’est le courage des opinions qui fait bouger les choses et rend tout changement possible. »

Sachez en tout point compter sur moi.

Je ne briderai jamais votre créativité,

Je ferai le layon pour promouvoir et assurer la représentation accrue, la compétitivité ainsi que le développement des entreprises, mais également la défense des intérêts des entreprises.

Ce sont les actions que nous engageons dès à présent qui seront résolument déterminantes pour l’avenir.

De la confirmation des étapes déjà franchies, au déploiement d’un nouveau système aux perspectives économiques optimistes, suscite un véritable enjeu pour notre institution.

Vous aurez donc compris Mesdames, Messieurs,

Que la participation de notre institution à la relance de l’économie gabonaise devient ainsi une prescription d’ordre moral pour la conduite sur la voie du succès, ce qui représente une lourde responsabilité à laquelle je m’engage pleinement à apporter ma contribution pour l’émergence et le renforcement des capacités des entreprises gabonaises.

En souhaitant plein succès à notre institution, je formule le vœu que nous poursuivions ensemble nos objectifs avec détermination, et je fonde l’espoir que notre collaboration apporte un impact positif et déterminant dans l’économie de notre pays.

Je vous remercie de votre bien aimable attention.

Source: Gabonactu.com

 

Gabon : Henri-Claude organise sa première réunion à la CPG

Le nouveau président, a dans un communiqué convié les   entreprises du secteur privé, a une réunion qu’il présidera mardi 09 août 2022 au siège de la confédération patronale gabonaise.

 

Nommé il y’a quelques jours  en tant que nouveau directeur de la confédération patronale gabonaise, Henri-Claude Oyima va tenir sa première réunion en tant que directeur de la CPG, avec les entreprises du secteur privés.

Le communiqué de la CPG, n’a pas évoqué à cet effet, les différents points de cette rencontre. Mais évoque tout de même l’importance de la rencontre pour le Renouveau de la Confédération des Entreprises du Gabon.

Le communiqué précise également que la présence de toutes ces entreprises est vivement souhaitée. Rappelons que, Henri-Claude Oyima a été désigné le 29 juillet 2022 par le conseil d’administration De la CPG.

Gabon : Henri-Claude Oyima placé à la tête de  la CPG

Il a été désigné nouveau président de la Confédération patronale gabonaise, vendredi 29 juillet 2022 par le conseil d’administration réuni à Libreville.

 

Réuni en conseil d’administration, l’ordre du jour a porté sur divers points. Notamment sur l’élection du nouveau président et sur l’arrêté des comptes de l’année 2021. En tant que seul candidat à avoir déposé pour le poste de la présidence de la CPG, la candidature d’Henri-Claude Oyima  a été aussitôt validée par le conseil d’Administration.

Président de la Holding BGFIBANK, Henri-Claude Oyima né le 4 décembre 1956, va désormais assurer la présidence de la CPG.  Le nouveau président,  en dehors de ses missions va devoir achever le travail  inachevé de son prédécesseur Alain Bâ. Notamment la relance de l’économie au Gabon qui est un sujet crucial pour les entreprises ainsi que, le renforcement du rôle de la CPG en tant que groupe d’influence économique auprès des pouvoirs publics et l’amélioration du climat des affaires.

Rappelons que sa désignation en tant que président de la CPG, intervient dans un contexte économique difficile marqué par des démissions de certaines entreprises au sein de cette confédération il y a quelques mois.  A noter qu’Henri-Claude a déjà assuré la présidence de la CPG  de 2003 à 2013. L’homme d’affaire entend donc,   grâce à son expérience redonner un nouveau visage à la Confédération patronale  gabonaise.

Libreville: La Fondation BGFIBank lance la 1ère édition des ‘’Journées Durables’’

La fondation BGFIBank a organisé vendredi à Libreville dans un hôtel de la place une conférence-débat sur le thème : « La RSE : Enjeu de transformation et d’innovation » dans le but de favoriser les meilleurs pratiques en matière de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE).

 

Pour débattre de cette question, la Fondation BGFIBank a réuni des représentants des grandes entreprises, des Start-Up, des acteurs étatiques et para Etatiques et des représentants des PME.

« Ces journées Durables ont pour ambition d’encourager la démarche RSE, non seulement du Groupe BGFIBank, mais également des organisations privées de toutes tailles et de tous secteurs confondus, en rassemblant chaque année les acteurs concernés autours des problématiques liées au développement durable », a déclaré le Secrétaire exécutif de la Fondation BGFIBank, Manying Garandeau s’exprimant au nom du Président de la Fondation BGFIBank, Henri Claude Oyima.

« Cette rencontre traduit non seulement notre volonté de bâtir des alliances en allant à la rencontre de nos parties prenantes, mais elle témoigne aussi de la transparence de notre approche, je veux dire cette approche proactive qui consiste à mener une politique de proximité avec tous les acteurs du développement social dans nos pays d’implantation, notamment au Gabon », a-t-il précisé.

Au centre le ministre Hugues Mbadinga Madiya
Présent durant ces travaux qui ont duré une journée, le ministre du Commerce, des Petites et Moyennes Entreprises et de l’Industrie Hugues Mbadinga Madiya a suggéré que la « valorisation et l’appropriation de la RSE dans la gouvernance des entreprises et organisations au Gabon deviennent une réalité plus dynamique et efficiente ».

« Nous pouvons être fiers du rôle-modèle joué par la Fondation BGFIBank pour les générations futures dans ce domaine et nous formulons le vœu que ce leadership positif se diffuse progressivement et rapidement au sein de l’ensemble du secteur privé gabonais », a urgé le ministre.

Répartis en deux panels, les participants ont planché sur la RSE comme initiative porteuse de valeurs et levier de croissance pour une création de valeur partagée. Ils ont aussi réfléchi sur les enjeux d’une communication responsable.

Les deux panels ont été animés par Loukoumanou Waidi (administrateur-directeur général de BGFIBank Gabon), Leod Paul Batolo (administrateur-directeur général de Comilog), Philippe Fievez (directeur général de Rougier Gabon), Igor Simard (directeur général de GSEZ Airport) et Jocelyne Edzo (directrice QHSE de Sobraga).
La fondation BGFIBank a organisé vendredi à Libreville dans un hôtel de la place une conférence-débat sur le thème : « La RSE : Enjeu de transformation et d’innovation » dans le but de favoriser les meilleurs pratiques en matière de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE), a appris Gabonactu.com

Pour débattre de cette question, la Fondation BGFIBank a réuni des représentants des grandes entreprises, des Start-Up, des acteurs étatiques et para Etatiques et des représentants des PME.

« Ces journées Durables ont pour ambition d’encourager la démarche RSE, non seulement du Groupe BGFIBank, mais également des organisations privées de toutes tailles et de tous secteurs confondus, en rassemblant chaque année les acteurs concernés autours des problématiques liées au développement durable », a déclaré le Secrétaire exécutif de la Fondation BGFIBank, Manying Garandeau s’exprimant au nom du Président de la Fondation BGFIBank, Henri Claude Oyima.

« Cette rencontre traduit non seulement notre volonté de bâtir des alliances en allant à la rencontre de nos parties prenantes, mais elle témoigne aussi de la transparence de notre approche, je veux dire cette approche proactive qui consiste à mener une politique de proximité avec tous les acteurs du développement social dans nos pays d’implantation, notamment au Gabon », a-t-il précisé.

Au centre le ministre Hugues Mbadinga Madiya
Présent durant ces travaux qui ont duré une journée, le ministre du Commerce, des Petites et Moyennes Entreprises et de l’Industrie Hugues Mbadinga Madiya a suggéré que la « valorisation et l’appropriation de la RSE dans la gouvernance des entreprises et organisations au Gabon deviennent une réalité plus dynamique et efficiente ».

« Nous pouvons être fiers du rôle-modèle joué par la Fondation BGFIBank pour les générations futures dans ce domaine et nous formulons le vœu que ce leadership positif se diffuse progressivement et rapidement au sein de l’ensemble du secteur privé gabonais », a urgé le ministre.

Répartis en deux panels, les participants ont planché sur la RSE comme initiative porteuse de valeurs et levier de croissance pour une création de valeur partagée. Ils ont aussi réfléchi sur les enjeux d’une communication responsable.

Les deux panels ont été animés par Loukoumanou Waidi (administrateur-directeur général de BGFIBank Gabon), Leod Paul Batolo (administrateur-directeur général de Comilog), Philippe Fievez (directeur général de Rougier Gabon), Igor Simard (directeur général de GSEZ Airport) et Jocelyne Edzo (directrice QHSE de Sobraga).

Au terme de ces premières journées, les participants ont compris que le but de la RSE est d’améliorer la qualité de vie des collaborateurs et de toutes les personnes qui entrent en contact avec l’entreprise notamment les communautés riveraines du rayon d’action de l’entreprise.

En terme claire, la RSE consiste pour une entreprise à intégrer les préoccupations sociales et environnementales dans ses activités opérationnelles et dans la stratégie de management qu’elle met en place, ont-ils convenu.

« Accompagner le Groupe BGFIBank dans son rôle d’acteur du développement durable dans l’ensemble de ses pays d’implantation, fait partie intégrante des quatre missions assignées à notre Fondation. C’est dans cette dynamique que nous avons créé les Journées durables qui ont l’ambition d’encourager la démarche RSE », a conclu le secrétaire exécutif de la Fondation BGFIBank.

BGFIBank est un groupe bancaire panafricain créé en 1971 et actif dans onze pays africains et en France.
Au terme de ces premières journées, les participants ont compris que le but de la RSE est d’améliorer la qualité de vie des collaborateurs et de toutes les personnes qui entrent en contact avec l’entreprise notamment les communautés riveraines du rayon d’action de l’entreprise.

En terme claire, la RSE consiste pour une entreprise à intégrer les préoccupations sociales et environnementales dans ses activités opérationnelles et dans la stratégie de management qu’elle met en place, ont-ils convenu.

« Accompagner le Groupe BGFIBank dans son rôle d’acteur du développement durable dans l’ensemble de ses pays d’implantation, fait partie intégrante des quatre missions assignées à notre Fondation. C’est dans cette dynamique que nous avons créé les Journées durables qui ont l’ambition d’encourager la démarche RSE », a conclu le secrétaire exécutif de la Fondation BGFIBank.

BGFIBank est un groupe bancaire panafricain créé en 1971 et actif dans onze pays africains et en France.

Gabon : BGFIBank d’Henri-Claude Oyima plébiscité à l’échelle continentale

Comme en 2019, le Groupe BGFIBank a de nouveau été désigné meilleure banque d’Afrique centrale lors de l’édition 2020 des Trophées African Banker.

 Suite à contraintes liées à la pandémie de la Covid-19, l’évènement du Trophées African Banker, a été organisé en téléconférence, le 26 août, en marge des assemblées annuelles de la Banque africaine de développement. (Communiqué).

En marge des Assemblées annuelles de la Banque africaine de développement (BAD), le Groupe BGFIBank a été désignée meilleure banque d’Afrique centrale à l’édition 2020 des Trophées African Banker, ayant eu lieu le 26 août dernier en visioconférence, compte tenu du contexte sanitaire actuel.

Cette distinction n’est pas la première du genre pour le Groupe BGFIBank. C’est pour la 3ème année consécutive, en effet, que la banque gabonaise est désignée meilleure banque d’Afrique centrale.

C’est le résultat de la vision et du leadership d’un homme, Henri-Claude Oyima, Président Directeur Général du Groupe BGFIBank depuis de nombreuses années. Il a su insuffler à cette banque, l’exigence d’une qualité de services qui, aujourd’hui, a hissé BGFIBank au firmament des banques en Afrique centrale.