Gabon : début de la rentrée politique du PDG

Le Parti démocratique gabonais (PDG), ex parti au pouvoir effectue du 09 au 10 octobre 2024, les travaux préparatoires de sa rentrée politique.

 

Selon un communiqué publié sur son compte Facebook, le parti démocratique gabonais a présenté le chronogramme détaillé d’une série de rencontres prévues, dans le cadre d’un Conseil politique, et ce durant deux jours.  Les organes exécutifs se réuniront dès 09 heures ce 09 octobre, suivi à 15 heures du bureau politique, qui lui est composé des membres du Directoire provisoire et ceux du bureau politique.

Les travaux préparatoires se poursuivront le 10 octobre avec cette fois la rencontre des organes délibérant et consultatif. Le Conseil politique convoqué par le Directoire provisoire réunira les organes exécutifs, ainsi que les organes délibérant et consultatif.

L’objet de la série de rencontres n’ayant  pas  été décliné dans le communiqué,  le précédent communiqué indiquait qu’il s’agirait pour les participants de « partager des points de vue, débattre et adopter des résolutions pertinentes sur des préoccupations prioritaires du Parti et de la Nation ».

 

Gabon : le PDG en conclave le 12 mars prochain

Les membres du  Parti démocratique gabonais (PDG), vont se réunir le 12 mars 2024, pour des assises d’autocritique et de refondation de cette formation politique qui devrait repenser sa stratégie de fonctionnement. 

 

Selon une note du secrétaire général adjoint 1 Luc Oyoubi, les partisans du Parti Démocratique gabonais Parti du président déchu Ali Bongo, seront réunis  le 12 mars prochain. Il sera question de réfléchir sur son fonctionnement plus de 5 mois après avoir été éjecté du pouvoir par le Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI).

Le secrétaire général adjoint, a expliqué que,  ces assises permettront d’identifier les erreurs du passé qui ont conduit au changement de régime et à proposer des pistes de solutions pour l’avenir. Surtout pour les prochaines échéances électorales.

Ces assises d’autocritique et de refondation devraient également permettre de tabler sur l’avenir du « Distingué camarade président » Ali Bongo Ondimba dont l’avenir politique semble désormais s’inscrire en pointillés ce bien qu’il soit libre de ses mouvements. Apprend-on.

Gabon : les militants du PDG en conclave  ce mercredi

Les membres du Parti Démocratique gabonais,  vont se réunir ce mercredi 08 novembre 2023.

 

Selon un communiqué du Parti Démocratique Gabonais publié sur le site d’informations AGP, les membres du secrétariat exécutif et les membres du comité consultatif des sages de l’ex parti au pouvoir Sont conviés  à une « importante » réunion mercredi 8 novembre à 17h dans la salle de réunion du rez-de-chaussée au siège du parti, sis à Louis.

Le communiqué signé par Luc Oyoubi le nouvel homme fort de ce parti depuis le coup d’Etat du 30 août 2023 au Gabon, ne donne pas plus d’informations sur cette rencontre.

L’on sait tout de même qu’il s’agira de parler de la situation du Parti démocratique gabonais au lendemain du coup de libération du Gabon, le 30 août dernier, par le Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI).

Gabon : célébration de « l’opération dignité » dans les rues de Libreville

De nombreux gabonais sont descendus dans les rues de la capitale, Libreville, pour exprimer leur joie à la fin du régime en place.

 

Des acclamations, des cris de joie, des chants comme « le PDG est tombé », « Vive la liberation », se font entendre dans les rues de Libreville depuis ce mercredi matin. Le peuple gabonais exprime son soulagement à la prise du pouvoir par les militaires.

Le Comité pour la transition et la restauration des institutions a annoncé ce mercredi la « fin du régime d’Ali Bongo ». Plusieurs Gabonais saluent la fin d’une dynastie.

Notons que cette déclaration du Comité pour la transition et la restauration des institutions est intervenue quelques minutes après l’annonce des résultats de l’élection présidentielle de samedi 26 août dernier. Le Centre gabonais des élections avait déclaré le président sortant Ali Bongo Ondimba, au pouvoir depuis 14 ans, vainqueur de ces élections à un tour avec 64,27% des suffrages exprimés. Son principal rival Albert Ondo Ossa n’a recueilli que 30,77% des voix.

Gabon : Steeve Nzegho Dieko reconduit secrétaire général du PDG

Il a été élu aux termes des travaux du 12ème  congrès ordinaire du parti démocratique gabonais qui a eu lieu du 23 au 24 décembre 2022 à Libreville.

 

A la tête du Secrétariat exécutif du parti démocratique gabonais, Steeve Nzegho Dieko a d’exprimer sa « gratitude » au président du parti, Ali Bongo Ondimba, pour la confiance renouvelée.

Au cours de ce congrès, le secrétaire général s’est adressé à tous les membres nommés, en les invitant  à prendre conscience de ce que leur nomination est synonyme de responsabilité. « La nomination par le Distingué camarade président n’est pas un cadeau de Noël. C’est une charge lourde qui appelle d’autres charges, un engagement, une responsabilité, la charge de porter le PDG et ses idéaux dans les départements, les sièges, les fédérations, et les arrondissements », a-t-il précisé à travers le site de l’Agence gabonaise de presse.

Il a aussitôt relevé les différents chantiers qui attendent le nouveau secrétariat exécutif. Notamment, la convocation d’une commission ad hoc de révision des textes, le contrat de performance avec les organes spécialisés du parti et les structures de base, la constitution des archives du parti, la constitution d’un ouvrage des 55 ans du PDG, l’élaboration d’un livre blanc sur le développement durable, ainsi que d’un plan stratégique des routes au Gabon.

Gabon-Elections 2023 : les militants du PDG invitent Ali Bongo à un troisième mandant

C’est au cours du 12ème congrès du parti démocratique gabonais qui a eu lieu le 23 décembre 2022, que les militants ont invité le chef de l’Etat à se représenter pour un nouveau mandat lors des élections de 2023 au Gabon.

 

Le président de la république Ali Bongo a pris part au 12ème congrès ordinaire qui a eu lieu dans la commune d’Akanda, au nord de Libreville. Au cours de cet évènement, les militants du Parti Démocratique gabonais ont montré leur confiance l’encourageant pour un nouveau mandat.

A cet appel pour sa candidature à l’élection présidentielle de 2023, le chef de l’Etat a répondu au cours de son discours de circonstance que : « J’ai parfaitement entendu vos appels, vos nombreux appels concernant l’élection présidentielle. Je les prends pour des témoignages de confiance …. Vos appels ne sont pas tombés dans l’oreille d’un sourd », a-t-il indiqué aux milliers de militants venus nombreux pour assister à ce congrès.

Rappelons que, le président Ali Bongo est arrivé au pouvoir en 2009, après le décès de son père Omar Bongo Ondimba. Après un Avc (accident cardio-vasculaire), dont il a été victime en 2018, Ali Bongo a assuré lors de ce 12ème congrès être en « forme olympique ».

Gabon- législatives partielles: la cour constitutionnelle annule l’élection du PDG à Mimongo

Marie Madeleine Mborantsuo, présidente de la Cour constitutionnelle et ses 8 autres membres de l’institution, ont annulé l’élection du Parti Démocratique gabonais(Pdg), le 15 novembre 2022, à cause de nombreuses plaintes des partis de l’opposition après les législatives partielles du 15 octobre dernier.

 

Accusé de fraude par ses adversaires Pierre claver Maganga Moussavou du Parti social-démocrate (PSD) et Michel Menga du parti pour le Rassemblement héritage et modernité (RHM), l’élection de Charles Sadié du Parti Démocratique gabonais, (PDG) est annulée.

En effet, les résultats sortis des urnes, des élections pour les législatives partielles du 15 octobre 2022,  montrent que, Charles Sadié (PDG), a été élu avec 55,50% des voix, dans le premier siège du département de l’Ogoulou (Mimongo). Il était opposé à Andréa Ghislaine Mbigou, du Parti social-démocrate (PSD, opposition). Cette dernière a récolté 29,46 %, tandis qu’en troisième position arrivait, Senturel Ngoma Madoungou du Rassemblement héritage et modernité (RHM, opposition). Il a obtenu 12,93% des voix alors que l’indépendant Alain Bruno Bissélo, n’a obtenu que 2,11 %.

Au vu de ces résultats, et des plaintes faites par les partis de l’opposition, Marie Madeleine Mborantsuo, présidente de la Cour constitutionnelle a conclu que : « Il est évident que le scrutin a été émaillé tellement d’irrégularités que l’on en déduit que l’exigence légale d’une bonne organisation matérielle d’une élection ainsi que la sérénité dans lequel le vote doit s’accomplir n’ont pas été respectées ».

Cependant, les résultats du scrutin sont nuls. La cour a décidé qu’un nouveau scrutin sera donc organisé dans cette circonscription. Rappelons que le pdg est le parti au pouvoir depuis 1968.

 

Gabon : début des législatives partielles le 15 octobre

Le secrétaire générale du centre gabonais des élections a, à travers un communiqué annoncé, la dates des législatives qui auront lieu  en deux tours.

 

Dans le cadre des élections législatives partielles, les différents sièges concernés sont : le 1er arrondissement de Tchibanga (Nyanga), le  1er  siège du département  de l’Ogoulou(Mimongo) dans  la  Ngounié et le 2ème siège du département de la Zadié (Mekambo), localisé dans la province de l’Ogooué Ivindo.

Le communiqué précise que : le premier tour de ces élections aura lieu le « Samedi 15 octobre de 7 heures à 18 heures, convocation du collège électoral pour le 1er tour des législatives partielles 2022 ».

Le second tour quant à lui se fera le 29 octobre prochain. Rappelons que, la date limite des candidatures aura lieu  le 10 septembre 2022 Selon le CGE.

Ces élections partielles sont organisées en raison de la démission en mars, de Gladys Moulengui, Franck-Ulrich Bokamba Ndombi du Parti social démocrate (PSD) et de Jean-Pierre Doukaga Kassa du mouvement Les Démocrates (LD), parti qui ont rejoint le Parti démocratique gabonais (PDG), parti au pouvoir depuis quelques mois.

Fusion-absorption DN/PDG : Le Congrès d’achèvement le 3 septembre à Bitam

Plusieurs fois annoncé, le Congrès d’achèvement de la fusion/absorption entre Démocratie nouvelle (DN) de René Ndemezo’o Obiang et le Parti démocratique gabonais (PDG) devrait avoir finalement lieu, le 3 septembre à Bitam. C’est du moins l’annonce faite ce 19 août, par l’ex-Secrétaire national chargé de la Communication, Jonathan Ndoutoume Ngome.

 

 

Plusieurs mois après la fusion/absorption entre Démocratie nouvelle (DN) et le Parti démocratique gabonais (PDG), le congrès de la première formation politique citée devant entériner cette opération ne s’est pas toujours tenu. Or, il reste une des étapes majeures devant valider cette démarche entre les deux écuries politiques. Cette grand-messe devrait, selon Jonathan Ndoutoume Ngome, se tenir le 3 septembre 2022, à Bitam.

Des sources concordantes de DN indiquent que depuis des mois, les responsables et les cadres du parti s’activent pour l’organisation de ces assises qui acteraient définitivement et juridiquement l’opération de la fusion/absorption tant auprès du ministère de l’Intérieur qu’auprès des militants.

L’ex-Secrétaire national chargé de la Communication indique qu’«à la suite de la série d’entretiens que le président de la République, chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, a accordée aux responsables d’institutions lors des manifestations du 17 août dernier,  il a été convenu que M. René Ndemezo’Obiang, président du CESE (Conseil économique, sociale et environnementale, Ndlr) et  leader de Démocratie nouvelle, organise très rapidement le congrès de dissolution juridique de DN afin de parachever la fusion absorption avec le PDG». Le Comité de réflexion pour l’organisation de ce congrès est dirigé par le Dr. Jonathan Ndoutoume Ngome et Bienvenu Obiang Essono, un des anciens cadres de cette écurie.

Jonathan Ndoutoume Ngome précise qu’au cours de ce dernier congrès, outre la dissolution du parti pour se fondre définitivement dans le PDG, plusieurs autres préoccupations feront l’objet de profondes réflexions ; en l’occurrence le positionnement politique de leur ancien leader et l’avenir des cadres et militants qui rejoindront définitivement le parti au pouvoir.

Source: Gabon Review

Le parti démocratique du Gabon clôture ses festivités à Libreville

Le président de la république du Gabon a pris part samedi 23 avril 2022, à la cérémonie de clôture des festivités du 54ème anniversaire de son parti à Libreville.

 

Les militants sont venus  nombreux assister à cette grande cérémonie,  soutenir le chef de l’Etat et l’encourager pour les prochaines élections de 2023.  Au cours de cet évènement,  les responsables du PDG, se sont engagés à soutenir  la candidature de leur président.

Les cadres présents ont également apposés leur signature  sur un tableau érigé à cet effet, en guise d’engagement derrière le président du parti en même temps, président de la république du Gabon Ali Bongo Ondimba.

Ce dernier qui a profité  de l’occasion pour remercier tous les cadres et militants du PDG, pour ces organisations dans les provinces. Il a pris l’occasion à profit et a promis  aux militants une grande victoire pour les élections présidentielles de 2023 au Gabon.

Notons que le lancement des festivités de la célébration du 54ème anniversaire du Parti Démocratique Gabonais (PDG), a eu lieu le 12 mars 2022.  Et depuis,  des appels de soutien au président de la république Ali Bongo Ondimba n’ont  cessé de se multiplier dans le pays.

Gabon : les militants du PDG Mimongo en colère contre les hauts cadres de leur parti accusé de les marginaliser

Les cadres et militants du Parti démocratique gabonais (PDG), en colère contre leur parti dont ils accusent  sur les réseaux sociaux de les marginaliser.

 

Très frustrés les militants  du PDG département de l’Ogoulou  (Mimingo), dénoncent l’éviction de leurs cadres dans les postes des responsabilités à l’instar d’Alain Simplice Boungoueres a été  limogé du  poste de Membre du comité permanent du bureau politique (MCPBP) du PDG pour  la province de la Ngounié et  Stéphane Germain Iloko Boussengui  de ses   fonctions de conseiller du Distingué Camarade Président auprès du secrétaire général et porte-parole du PDG.

Ces derniers dénoncent  l’injustice politique et de frustrations pratiquées par le régime d’Ali Bongo depuis son accession à la magistrature suprême en 2009.

Signalons tout de même que,  le département de l’Ogoulou est l’une des zones enclavées de la province de la Ngounié (sud).

 

Octobre rose : les femmes du PDG ont clôturé leurs activités de lutte contre les cancers féminins par une séance de sport

Sous la conduite d’Estelle Flore Angangou, Secrétaire générale adjoint en charge de la communication du PDG, les femmes de la formation politique du président Bongo,  ont mis fin à leurs activités de lutte contre les cancers féminins durant tout ce mois d’Octobre rose 2021, par une séance de sport.

 

Les camarades militantes du PDG ont pendant plus de deux heures, se sont déhanchées le samedi 30 octobre au rythme du sport pour marquer la fin de leurs activités de lutte contre les cancers féminins au Gabon.

Il sied de noter que, cette série d’activités s’est matérialisée par des séances de sensibilisation et de dépistage au cancer du Sein et celui du Col de l’Utérus, ainsi qu’une action de don du sang au profit des malades de l’Institut de cancérologie d’Angondjé, situé dans le nord de Libreville.

« Pour boucler la boucle nous avons pensé que c’était bien que les femmes puissent s’inscrire dans le sport », a indiqué Mme Angangou, invitant au passage ses sœurs militantes à pratiquer régulièrement le sport pour rester en bonne santé.

La patronne de la communication du PDG qui a fait le bilan des actions de lutte contre les cancers féminins, a toutefois déploré certains préjugés qui emprisonnent encore l’esprit des femmes PDGistes. « Vraiment nous avons eu du mal à mobiliser, les femmes sont réticentes, elles hésitent encore », a-t-elle déploré.

Mme Angangou  a indiqué à la presse que, pour mieux vulgariser le principe de dépistage des cancers féminins, son parti  prévoit mettre en place sous peu une stratégie trimestrielle d’information et de sensibilisation sur les cancers féminins.

 

Bitam : René Ndemozo’o explique les raisons de son came-back au Parti Démocratique Gabonais ( PDG)

Malgré la pandémie de  la Covid-19, René Ndemezo’o Obiang  a fait le show à Bitam, où il a mobilisé les militants du parti démocratique gabonais (PDG), pour expliquer les raisons de son come-back dans cette formation politique.

 Ce proche  de l’opposant Jean Ping redevenu militant du parti au pouvoir après la fusion et l’absorption de son parti Démocratie nouvelle (DN) au PDG le 3 avril dernier, a entamé une tournée d’explications dans son fief politique à Bitam, dans la province du Woleu-Ntem.

Le weekend dernier, René Ndemezo’o Obiang  a organisé un méga-meeting au quartier Bifolo-ossi de la commune de Bitam pour édifier ses nombreux soutiens et sympathisants au sujet de son ralliement au PDG.

Pour lui, « les gabonais se doivent de s’unir dans la droite ligne des résolutions du dialogue d’Angondje tenu au lendemain des élections de 2016 et qui raffermissent le vivre ensemble et lueur d’espoir du peuple gabonais aspirant à une Paix sociale chère au continent africain ».

Sans détour, l’actuel président du Conseil économique, social et environnemental (CESE), a durant cet échange avec les siens, indiqué clairement que le « Gabon n’avait pas besoin d’une multitude de partis politiques » mais plutôt des grands ensembles pour raffermir la démocratie encore balbutiante dans le pays.

Pour rappel, René Ndemeozo’o Obiang a été plusieurs fois Ministres sous le régime d’Omar Bongo.

 

Port-Gentil en deuil : le maire du 3 ème arrondissement Jean Marcellin Evindi n’est plu

Jean Marcellin Evindi maire du 3ème arrondissement de Port-Gentil, est décédé mardi, l’annonce a été faite par  le Mouvement Populaire des Radicaux (MPR) de l’opposant Féfé Onanga.

Jean Marcellin Evindi était un élu de la formation politique « Parti démocratique gabonais (PDG) » d’Ali Bong.

Il sied de rappeler que ce digne fils du port-Gentil, a perdu son père quatre jours auparavant. La famille vit un véritable drame.

Gabon : le PDG Pascal Houangni remobilise ses partisans dans le 1er arrondissement de Port Gentil

Pascal Houangni Ambouroué, membre du comité permanent du bureau politique de la formation politique d’Ali Bongo de, a procédé le weekend dernier à la remobilisation de ses partisans.

Sous les instructions du Secrétariat exécutif, il a dépêché son état-major dans la ville pétrolière pour faire un état des lieux du nombre des militants toujours actifs de son giron politique. Il ressort que « 6000 militants engagés et fidèles » ont renouvelé  leur adhésion à l’action politique impulsée par le « Distingué Camarade Président du PDG Ali Bongo Ondimba », Président de la République.

Les émissaires du MCPBP qui est aussi Ministre du Tourisme ont ainsi remis la liste de ces 6000 militants actifs au Secrétaire provincial du parti Albert Richard Royembo qui se chargera lui de faire un rapport « clair et précis » auprès du Secrétaire exécutif.

« Ceci est un travail formidable et remarquable (…), allez et multiplier vos actions car notre parti et son distingué camarade président compte sur nous », a exhorté M. Royembo.

Cette adhésions massive aux idéaux politiques du PDG par les militants du 1ér arrondissement de Port-Gentil fait suite aux nombreuses actions socio-économiques entreprises par le Député-Ministre Pascal Houangni Ambouroué au profit de sa circonscription électorale en particulier et de la commune de port gentil en général.

Il s’agit entre autres de la réfection des voies secondaires, la promotion de l’initiative privée, l’éclairage public, le Marché de l’égalité de chances et bien d’autres.

Source : Com MCPBP

 

Gabon-Nécrologie : Simplice Guédet Manzela n’est plus, est mort à 71 ans

L’ancien Secrétaire général (1994-2008) du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) est décédé jeudi tôt le matin au Centre hospitalier universitaire de Libreville (CHUL) des suites d’une longue maladie.

L’homme politique était affaibli  par la maladie depuis de nombreuses années. Ces derniers jours, son état de santé s’est davantage  dégradé avant de rendre l’âme.

L’ancien député du département de Mulundu (Lastourville) était devenu un irréductible  opposant au régime d’Ali Bongo après sa démission  du PDG en avril 2016. Il était le soutien de Jean Ping.

Coronavirus : Ali Bongo Ondimba reporte sa fiesta du 12 mars à une date ultérieure

Le Parti démocratique gabonais d’Ali Bongo, a décidé lundi 9 mars dernier,  de reporter à une date ultérieure les manifestations relatives à la célébration du 52ème anniversaire de ce parti crée le12 mars 1968 à cause de l’épidémie du Coronavirus.

Dans une déclaration faite  lundi dernier par le Secrétaire général de cette formation politique, Eric Dodo Bounguendza explique que ce parti a pris cette décision dans un esprit républicain suite au conseil présidentiel dirigé samedi par le chef de l’Etat, Ali Bongo qui a recommandé le report à une date ultérieure des manifestations prévues au Gabon.

Pour le moment, aucun cas de coronavirus n’a été signé le au Gabon. Le gouvernement a multiplié les annonces et les messages de prévention en direction de la population.

Pour le rappel  historique, le PDG a été créé le 12 mars 1968 par Omar Bongo Ondimba qui a dirigé le Gabon de 1967 à 2009. Devenu parti unique dès sa création, le PDG est aussi appelé parti des masses. Après Omar Bongo Ondimba, le PDG est dirigé par Ali Bongo Ondimba appelé « Distingué Camarade » à la différence de son illustre prédécesseur qui avait pour titre officiel « Grand camarade ». Au PDG, les militants s’appellent « Camarades ».

Gabon : « Quand beaucoup d’entre nous ont trahi Ali Bongo, moi j’ai dit non » (Ali Akbar Onanga)

Réhabilité après  son exclusion dans la formation politique d’Ali Bongo au mois d’août 2019, Ali Akbar Onanga proche fidèle du président gabonais, a déclaré que son exclusion était consécutive à son refus à collaborer avec Brice Laccruche.

Ali Akbar cadre du parti démocratique gabonais (PDG), a réitéré sa loyauté au chef de l’Etat Ali Bong.  « Quand beaucoup d’entre nous dans ce pays ont trahi Ali Bongo Ondimba,  moi j’ai dit non », a déclaré M. Onanga Y’Obegué  Akiéni.

A Akiéni, l’ancien ministre de la fonction publique a célébré son retour dans le PDG, doublé de sa nomination au grade de Membre du bureau politique du parti.

Dans une vidéo devenue virale dans les réseaux sociaux, il n’a pas manqué de remercier  le « Distingué camarade président » Ali Bongo pour sa «  sagacité, sa lucidité et sa justice » vis-à-vis de lui et d’autres militants ayant subi le même sort.

Gabon : Miche Phillipe Nzé secrétaire exécutif du PDG est pour limogeage du premier ministre Julien Nkoghé

Miche Phillipe Nzé secrétariat exécutif de la formation politique du président Bongo, a dans un communiqué, contredit son groupe parlementaire majoritaire  à l’Assemblée nationale qui s’oppose aux appels visant le limogeage du Premier ministre Julien Nkoghé Bekalé, manifestés par l’opposition.

« Le soutien d’un groupe parlementaire à une politique générale déterminée par le Président de la République, en concertation avec le premier ministre chef du gouvernement, tous issus du même parti politique, ne déroge pas aux règles démocratiques et ne brouille pas nullement la prérogative exclusive réservée  au Président de la République de mettre fin aux fonctions d’un premier ministre, ou d’un autre membre du gouvernement », a fait savoir le communiqué signé de Miche Phillipe Nzé,  secrétaire national du PDG chargé des arguments et de la riposte.

Pour Miche Phillipe Nzé cadre du parti au pouvoir, même si  Julien Nkoghé Bekalé a obtenu un vote de confiance le 27 décembre 2019 au terme de la présentation de la politique générale du gouvernement à l’assemblée nationale, l’hypothèse d’un éventuel limogeage par le Président Ali Bongo Ondimba ne saurait être écartée.

Gabon : le groupe parlementaire PDG soutien Nkoghe Bekale le chef du gouvernement

Le groupe parlementaire du parti présidentiel à l’Assemblée nationale, veut sauver le Premier ministre Julien Nkoghe Bekale.

Beaucoup des gabonais présagent la formation d’un nouveau gouvernement avec à la clé, l’éviction Julien Nkoghe Bekale. À travers une sortie le week-end dernier, le groupe parlementaire PDG à l’Assemblée nationale a tenté de sauver la peau de ce dernier, en interpellant subtilement le chef de l’Exécutif.

Depuis plusieurs mois, la tête de Julien Nkoghe Bekale est demandée par une bonne partie de l’opinion qui le taxe de «piètre Premier ministre». Bien qu’ayant, lors de sa déclaration de politique générale en décembre dernier, eu le vote de confiance de plus de la moitié des députés le premier ministre  a été rembarré par 16% des députés qui ont vu en lui un Premier ministre affaibli à la tête d’un gouvernement peu efficace.

Malgré l’approbation de ses “camarades”, dans certains milieux on n’a eu de cesse d’évoquer son éviction. En janvier dernier, Jeune Afrique annonçait un remaniement qui devait consacrer le remplacement du Premier ministre Julien Nkoghe Bekale par Denise Mekamne ou Alain-Claude Bilie-By-Nze. Parallèlement sur la toile, certains ont été bien inspirés de composer des gouvernements avec comme point commun l’exclusion de Julien Nkoghe Bekale qui du reste.

Gabon de nouvelles révélations : le PDG d’Ali Bongo continue d’être financé par le contribuable

Les révélations sur une prévision budgétaire de 2 milliards, destinée au siège du Parti démocratique gabonais (PDG) dans le chef-lieu du Haut-Ogooué, mettent en lumière de graves dysfonctionnements administratifs et institutionnels.

L’utilisation de l’argent public fait toujours débat. Si l’opinion publique disserte encore sur la lutte contre la corruption, de nouvelles révélations placent le Parti démocratique gabonais (PDG) dans le box des accusés.

Selon le rapport d’exécution budgétaire dressé par la direction générale du Budget et des finances publiques (DGBFIP), pour le compte du troisième trimestre de l’exercice 2019, 2 milliards de nos francs auraient été réservés au financement du siège de ce parti à Franceville.

Si l’opération Scorpion a mis en exergue des mécanismes d’enrichissement illicite, cette provision pointe quelque chose d’autrement plus grave : les liaisons incestueuses entre l’appareil d’Etat et le parti au pouvoir. Comme si la Conférence nationale de 1990 n’a jamais eu lieu, le PDG continue d’être financé par le contribuable. Comme si on était toujours dans un régime à parti-État, il continue de grever le budget de l’Etat.

Source: gabonreview

Gabon : l’Union nationale exige les explications du premier ministre sur l’affaire 2 milliards de FCFA offerts au PDG à Franceville

Les révélations des réseaux sociaux sur la somme de 2 milliards de francs CFA allouée au financement du siège du Parti démocratique gabonais à Franceville en 2019, suscitent les indignations.

La formation politique l’Union nationale (UN), monte en créneau et exige, des explications au Premier ministre  chef du gouvernement et au secrétaire général du du parti politique d’Ali Bongo Ondimba le PDG sur cette affaire qui, dit-elle, “paraît relever de la concussion”. 

L’Union nationale exigé, des explications du Premier ministre et du secrétaire général du PDG sur l’enveloppe de 2 milliards de francs CFA affectée au financement du siège du parti d’Ali Bongo à Franceville, en 2019. L’information a été révélée vingt-quatre heures plus tôt par un fac-similé circulant sur les réseaux sociaux.

S’il s’est dit scandalisé par la gravité de l’affaire, alors qu’une opération anticorruption est en cours et que des «mesures d’austérité injustes sont imposées aux populations», Minault Zima Ebayard n’a pas manqué de faire un petit rappel historique.

«Depuis 2010, le PDG est un parti distinct des instances de l’État, l’Union nationale s’étonne d’une telle affectation budgétaire en faveur de ce parti politique en dehors des dispositions prévues par la loi 24/96 relative aux partis politiques».

En attendant d’initier d’autres actions en vue de la manifestation de la vérité, le secrétaire exécutif de l’UN a invité le Premier ministre, le ministre de l’Intérieur, le ministre du Budget ainsi que le secrétaire général du PDG, Eric Dodo Bounguendza, à donner des explications sur «cette transaction financière entre l’État gabonais et le parti PDG qui parait relever de la concussion».

 

Nomination de Noureddin : « silence est révélateur de la forfaiture qui s’est installée, du sommet à la base » (Ali Onanga)

L’ancien collaborateur du Président Ali Bongo Ondimba,  Ali Akbar Onanga Y’Obegué, a insinué que le gouvernement gabonais et le Parti démocratique gabonais (PDG, sont englués dans une forfaiture sans précédent sur le cas de Noureddin Bongo Valentin.

«  Pour moi ce silence est révélateur de la forfaiture qui s’est installée, du sommet à la base, depuis un certain temps, au sein de ces deux instances du pouvoir sensés servir loyalement et fidèlement le Président de la République et le soutenir en tout temps et en toutes circonstances », a dit Ali Akbar Onanga.

Dans un post sur sa page Facebook, l’ancien collaborateur de Ali Bongo  a déploré le manque de soutien  du gouvernement et du PDG concernant la nomination le 5 décembre courant  de Noureddin Bongo Valentin, au prestigieux poste de  Coordinateur général des affaires présidentielles.

L’ancien député limogé du PDG a estimé que, « ce double silence assourdissant du gouvernement qui a préparé et adopté ce texte, et du Parti Démocratique Gabonais (PDG) au pouvoir qui ne dit mot pour soutenir la décision du Distingué Camarade Président de promouvoir à cette haute fonction Mr Nourredine Bongo Valentin, par ailleurs son fils aîné, comme si l’un et l’autre étaient soit gênés aux entournures, soit en accord avec les critiques en cours ».

L’opposition  critique avec véhémence cette promotion. Alexandre Barro Chambrier l’a jugé inacceptable voire une provocation de plus. Jean Ping, chef de l’opposition a dénoncé une volonté de « monarchisation » du pays. D’autres acteurs politiques et la société civile soupçonnent Ali Bongo de vouloir faire de Noureddin le futur président de la République gabonaise.

 

Gabon : Opération Scorpion, Michel Philipe Nzé soutient le chef de l’État dans sa démarche

Alors que l’un de ses députés est cité dans le cadre de l’opération anticorruption, le Parti démocratique gabonais (PDG), dit soutenir l’action d’Ali Bongo visant à assainir l’administration publique et parapublique.

«Le Parti démocratique gabonais (PDG) soutient fermement le Distingué camarade président (DCP) Ali Bongo Ondimba dans cette opération de lutte anticorruption», a déclaré le 10 décembre, Michel Philipe Nzé, secrétaire national chargé des arguments et de la riposte.

Le PDC S’étant illustré par un silence assourdissant depuis le lancement de l’opération scorpion, le parti d’Ali Bongo a enfin décidé de donner de la voix. Alors que l’un de ses députés (Justin Ndoudangoye) est inquiété dans la croisade anticorruption en cours et que l’un de ses membres (Noël Mboumba) est en détention préventive dans le cadre de la même opération, paraphrasant Ali Bongo le chargé des arguments et de la riposte a estimé que les PDGistes ont l’obligation «de pratiquer le devoir d’exemplarité et d’intégrité à tous les échelons».

«En tant que cadre du parti, nous devons toujours garder à l’esprit les intérêts du parti, du peuple gabonais et de l’Etat», a-t-il soutenu.

 «Les tendances malsaines et la corruption ont une influence pernicieuse. Lesquelles nous obligent à soutenir le Distingué camarade président dans sa volonté de les résorber avec objectivité courage et détermination», a conclu Michel Philipe Nzé

 

Politique: Alexandre Désiré Tapoyo retourne au CLR

Le partisan politique avait rejoint puis quitté le PDG. Désormais il retourne au CLR qui est d’ailleurs son parti de base.

Un retour en grande pompe pour Désiré Tapoyo. Selon une décision signée récemment par le délégué général du parti, Nicole Assélé, Alexandre Désiré Tapoyo est nommé délégué général adjoint, chargé de l’implantation et de la stratégie électorale du parti. L’intitulé du poste, ainsi que son rang hiérarchique ont été l’objet d’âpres discussions en interne, fait-on savoir du côté du CLR.

Néanmoins, il devient le numéro trois du parti, juste derrière son président fondateur Jean Boniface Assélé, qui occupe les fonctions de président du conseil politique, et le tout récent délégué général du parti, Nicole Assélé.
Des aller et venu au sein du CLR qu’il avait quitté en 2017 avant de rejoindre les rangs du parti au pouvoir le PDG. Il a ensuite quitté ce parti en septembre dernier pour retourner vers le CLR où il obtient directement ce poste.
Du point de vue administratif, Alexandre Désiré Tapoyo était entré au gouvernement comme ministre des Droits humains et toujours membre du CLR, durant le premier mandat d’Ali Bongo Ondimba. Après son limogeage, il se retrouve président du conseil d’administration de la Société gabonaise des transports (SOGATRA) dont il finira par être viré, faute de résultats. Il occupe alors les fonctions de maire adjoint de Libreville après avoir été élu conseil municipal.
Espérons que ce retour vers sa formation politique de base soit plus fructueuse et stable, après autant de mouvement.

Parti Politique: Alexandre Désiré Tapoyo démissionne du PDG

Le camarade aurait évoqué pour raison principal un climat délétère au sein du parti qui met progressivement en péril la paix civile au Gabon.

Connu pour son franc parler, Alexandre Tapoyo a posé sa démission auprès du parti d’Ali Bongo avec une lettre. L’ancien ministre des Gabonais de l’Étranger et Président du conseil d’administration (PCA) de la Société gabonaise des transports (SOGATRA), a dit ne plus être en phase avec les idéaux qu’il défend au sein de ce parti. C’est pourquoi il a écrit que: « des ombres se profilent à l’horizon avec la ferme intention de détruire l’œuvre de construction nationale issue de plusieurs vies et de plusieurs générations».

« Le Gabon que nous avons connu et dont nous sommes fiers, terre de liberté, de justice sociale et de prospérité, est menacé », a-t-il estimé. Alexandre Désiré Tapoyo, après avoir été limogé du CLR, avait intégré le PDG il y’a deux ans.

Pourtant, les rumeurs attribuent d’autres raisons à ce départ: « Il estime qu’il n’a pas été récompensé suite à son ralliement », confirme un de ses proches. Un autre ex-ministre, plus sévère, pointe du doigt son « inconstance » et son « opportunisme ».

Le Parti démocratique gabonais (PDG) célèbre ses 51 ans

Ali Bongo sera le grand absent des festivités commémorant les 51 ans du Parti démocratique gabonais (PDG) ce 12 mars.

Le PDG est en fête. Et pour cause, le parti présidentiel qui n’a jamais perdu la moindre élection organisée dans le pays depuis sa création en 1968, célèbre ses 51 bougies. Pour la première fois depuis plusieurs années, la fête d’anniversaire sera organisée malheureusement en l’absence d’Ali Bongo, son président. Absent du territoire gabonais depuis près de 6 mois avec des retours furtifs de quelques heures.
Pour célébrer les 51 ans du PDG, des festivités seront organisées tout au long de la semaine. Signe des temps, celles-ci ont été voulues plus sobres que par le passé. « A l’heure où l’on demande aux Gabonais de faire des efforts pour redresser le pays, il nous faut nous aussi montrer l’exemple », justifie un cadre du parti.

Ce mardi , le programme des festivités prévoit des messes dans les neuf provinces afin notamment de rendre hommage aux militants disparus.