Gabon-coupure d’eau potable : la vente illicite d’eau prend de l’ampleur

A cause de l’absence d’eau potable depuis quelques temps dans certaines villes du Gabon, certains commerçants se sont tournés vers le commerce illicite d’eau où,  ils vendent le m3 d’eau à des prix très couteux.

 

Les coupures d’eaux intempestives observées dans les villes de Mouila, Lambaréné et Oyem, sont à l’origine de la vente d’eau qui s’est développé. En effet, ce sont des  commerçants pour la plupart des ouest-africains qui livrent à des prix couteux, des récipients d’eau aux populations en se faisant  d’énormes bénéfices grâce à cette activité. Pour un remplissage d’une cuve de 1000 litres (1m3) d’eau, les populations déboursent la somme de 12000 Fcfa, d’autres achètent à 40.000 Fcfa voire plus. un prix qui est élevé par apport au m3 d’eau vendue  à la SEEG (Société d’Energie et d’eau du Gabon).

Cependant, la qualité de cette eau vendue aux populations reste douteuse. Certains pensent qu’elle provient des puits où d’une pompe publique ou encore des rivières. Le gouvernement par la voix du vice-président Alain-Claude Bilie-By-Nze, au cours d’une réunion mardi dernier avec la direction de la SEEG, a mis un accent sur ce commerce illicite.

Il a été  indiqué que cette eau n’est pas potable et présente des risques de santé pour les consommateurs. Au cours de cette réunion tenu par le vice-ministre, les solutions pour résoudre les problèmes de délestages dans les différentes villes de Mouila, Oyem et Lambarené ont été évoquées.  Rappelons que, la SEEG est la seule entreprises qui jusqu’ici, détient  le monopole sur la distribution et la vente d’eau potable au Gabon.

Gabon : des coupures d’eaux annoncées à Libreville

La société d’énergie et d’eau du Gabon annonce des perturbations,  dans la fourniture d’eau potable dans certains quartiers de Libreville.

 

Les populations de certains quartiers à Libreville, vont subir quelques perturbations dans la distribution d’eau potable. Il s’agit des quartiers  Alibandeng, Angondjè, Bel-Air, Bas et Haut de Gué-Gué, Batterie IV, Camp de Gaulle et Charbonnages.

En effet, la Société d’énergie et d’eau du Gabon a annoncé selon un programme déterminé,  que des perturbations vont se faire entre 9h00 et 12h00, suite aux travaux de maintenance et de sécurisation des ouvrages de production d’eau potable à l’usine de Ntoum 5/6 qui s’effectueront à cet effet.

Dans son communiqué, la SEEG, ne manque pas de remercier sa clientèle pour sa bonne compréhension. Et évoque que, ces travaux vont « visent une meilleure qualité de service », confirme le communiqué.

Gabon : les centrales thermiques ravitaillées en Gasoil

La Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG), a annoncé à travers un communiqué, l’approvisionnement en gasoil dans plusieurs localités au Gabon.

 

Les villes de Lambaréné, Fougamou, Mandji, Ndjolé, Moabi, Bifoun et Tchibanga, observe depuis le 22 septembre 2022, le retour progressif à la normale de l’alimentation en électricité.

En effet, le SEEG explique ce retour en électricité « par la reprise ce jour de l’approvisionnement,  en gasoil dans les centrales thermiques de ces différentes localités ».

Le communiqué souligne également que « La SEEG s’engage à communiquer régulièrement sur l’évolution de la situation et renouvelle ses regrets à la clientèle impactée ».

Gabon-règlementation de la SEEG : Alain-Claude donne plus de précisions

Le ministre de l’Énergie et des Ressources hydrauliques, a rencontré les syndicats de la Société d’électricité et d’eau du Gabon (SEEG), pour mieux détailler la réforme du gouvernement au sujet de la séparation des activités du service public de l’eau et de l’électricité.

 

 

Le 1er septembre 2022, le gouvernement gabonais avait approuvé la séparation des activités du service public de l’eau potable de celle de l’électricité, pour « assurer un meilleur équilibre économique et financier dudit secteur». Mardi 20 septembre 2022, le ministre Alain-Claude Bilie-By-Nze a précisé à cet effet à travers l’interview relayé sur le site Gabon Review que :

 Des projets de loi participants des réformes en cours dans les secteurs eau et électricité ont été récemment validés en Conseil des ministres. Que prévoient-ils ?

Nous avons un secteur de l’électricité et de l’eau potable qui connait des évolutions avec l’arrivée, sur le marché, de certains acteurs indépendants, notamment dans le domaine de la production de l’électricité et désormais de l’eau. Il était donc utile d’apporter une réglementation du secteur qui prend en compte ces évolutions.  Cette réglementation, nous avons voulu qu’elle soit distincte pour ce qui est de l’eau et de l’électricité. Ce, d’autant plus que, dans la convention de concession signée avec la SEEG, il y a désormais un règlement de service électricité et un règlement de service eau. Il s’agissait donc d’apporter une réglementation plus générale pour organiser ces deux secteurs d’activités importants pour la production, le transport et la distribution de l’eau potable et de l’énergie électrique.

Vous avez reçu les syndicats qui ont manifesté leurs inquiétudes après la validation de ces projets de loi. Qu’en est-il au terme des échanges ?

Je crois que dans le cadre du dialogue prôné par les plus hautes autorités, il est utile d’entendre les syndicats, surtout lorsqu’il y a les inquiétudes liées à une réglementation qui a été adoptée en Conseil des ministres. Nous avons tenu à les recevoir pour leur expliquer le sens de la réglementation, pour leur indiquer qu’ils n’ont rien à craindre. Bien au contraire, il est question de dynamiser plus encore le secteur. La SEEG étant l’actrice principale du secteur, elle est liée par une convention de concession avec l’État gabonais. Cette convention n’est pas remise en cause par la réglementation. C’est une convention qui a été signée pour une durée de 20 ans et la réglementation ne fait que mieux encadrer l’activité. On les a rassurés et il me semble qu’après cet échange, ils auront des éléments pertinents à rapporter à la base. Je tiens encore à indiquer que l’État gabonais n’a pas vocation aujourd’hui à remettre l’existence ou le fonctionnement de la SEEG. Nous sommes là pour que la SEEG travaille mieux et assure le mieux-être des Gabonaises et des Gabonais. Pour cela, on va l’encadrer le plus possible et pour l’aider à développer le secteur.

Les syndicalistes affichent des appréhensions à propos de la séparation des activités d’eau et d’électricité. Qu’en est-il ?

Je rappelle que dans les faits, y compris dans les centrales SEEG, ces deux activités sont menées par des personnes différentes. Les agents sont affectés, les uns à l’énergie et les autres à l’eau potable. Cela veut dire que ce sont des activités qui, même si elles sont menées dans le cadre d’une même entreprise, nécessitent des spécificités. Cette séparation n’est donc que réglementaire. Une séparation dans la manière d’organiser chacune des activités. Mais ce n’est pas une séparation dans l’entreprise SEEG. Leurs craintes étaient d’imaginer que demain, nous allons pouvoir confier l’eau potable à opérateur. Nous n’en sommes pas là. Nous sommes aujourd’hui dans la réglementation des secteurs qui sont aujourd’hui détenus par la SEEG.

Propos recueillis sur le site Gabon Review

Gabon-règlementation de la SEEG : Alain-Claude  prévoit une rencontre avec les syndicats

Le ministre de l’Énergie et des Ressources hydrauliques, Alain-Claude Bilie-By-Nze,  entend s’organiser avec les  syndicats de la Société d’électricité et d’eau du Gabon (SEEG), au cours de cette semaine, afin de lever toute ambiguïté au sujet de la réforme prévue par le gouvernement dans secteur de l’eau et l’électricité.

 

En application des projets de lois portant réglementation des secteurs eau et électricité, le 1er septembre dernier, Alain-Claude Bilie-By-Nze rassure les syndicats de la SEEG qui,  « semblent y voir des motifs d’inquiétude, [mais] il n’en est rien ». A-t-il expliqué. En effet, le ministre entend réorganiser le cadre institutionnel la gouvernance et le règlement des services, le service public, le contrôle, les manquements, les sanctions et le règlement des différends.

Pour le membre du gouvernement, il n’y a pas lieu de s’inquiéter, car cette réforme est « tellement indispensable pour la vitalité du secteur ». À l’en croire, ces projets visent, comme c’est le cas dans la majorité des autres pays, à fixer les conditions générales d’exercice des activités eau et électricité par les différents acteurs du secteur et non autre chose.

Rappelons que le 1er septembre 2022, lors du conseil des ministres, le gouvernement a adopté un projet portant sur la séparation des activités du service public de l’eau potable de celle de l’électricité qui vise à « assurer un meilleur équilibre économique et financier dudit secteur ».

Gabon : la SEEG annonce la fermeture de ses agences  ce jeudi 30 juin 

La Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG), a annoncé pour des raisons administratives la fermeture de toutes ces agences dès jeudi 30 juin 2022 à 11h30. 

 

 

La nouvelle a été publiée par un communiqué de la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG), afin d’informer les populations sur la fermeture de ces agences pour des raisons administratives. La société va procéder à la clôture de ses activités semestrielles.

En effet, le communiqué précise que, Pour la continuité des services durant cette période, les opérations courantes, notamment l’approvisionnement des unités EDAN chez les partenaires agréés (agences agréées, points de vente, MOBILEDAN) et le paiement des factures  seront assurées comme à l’accoutumée.

Pour finir, le communiqué indique que, la réouverture   de ses agences commerciales interviendra le vendredi 01 juillet 2022 à partir de 07h 45mn.

Les délestages d’électricité annoncée par la SEEG commencent ce vendredi27 août à Libreville

Les délestages d’électricité annoncés récemment par la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG) démarrent en principe ce vendredi à Libreville et ses environs jusqu’à mardi prochain.

 

« La société PERENCO réalisera du vendredi 27 au mardi 31 août 2021 une opération réglementaire de maintenance de son réseau gaz, afin de garantir la qualité de la fourniture d’électricité », averti la SEEG.

La SEEG explique que ces ruptures de fourniture d’électricité dans plusieurs quartiers de Libreville et Port-Gentil durant 5 jours sont dues à une rupture de fourniture de gaz par la société Perenco.

« Cette opération de maintenance annuelle intègre un arrêt contractuel de la fourniture de gaz aux usines SEEG de production d’électricité de Libreville et Port-Gentil », explique la SEEG.

La direction générale de la SEEG affirme avoir mis en place un plan prévisionnel de rationnement de l’alimentation en électricité des quartiers du Grand Libreville sans prévenir la durée maximale de la coupure de courant par quartier.

Il sied de signaler que, le communiqué de la SEEG ne précise pas si la ville de Port-Gentil également impactée par l’oléoduc de Perenco connaîtra également les délestages.

Rappelons que, Perenco est la première compagnie pétrolière qui exploite le gaz naturel pour en faire une source d’énergie propre au Gabon.

 

Gabon : la SEEG prévoit des possibles délestages à Libreville, Owendo, Akanda et Ntoum

La Société d’Energie et d’eau du Gabon (SEEG), a annoncé dans un communiqué dont une copie est parvenue à notre rédaction que,  pour des raisons de travaux de maintenance qu’elle a lancée du 20 au 22 août sur « ses ouvrages de Transport d’électricité au poste de Bissegué à Plein-ciel », des délestages pourraient avoir lieu dans le Grand Libreville.

Notons que, « Ces travaux programmés qui visent une meilleure desserte en électricité par l’entretien du Transformateur de puissance Haute Tension 225/90kV pourraient occasionner des perturbations dans la fourniture en électricité du Grand Libreville », a indiqué le communiqué.

La SEEG a de ce fait remercié sa clientèle pour de sa bonne « compréhension pour ces grands travaux qui visent une meilleure qualité de service ».

 

travaux de maintenance

Libreville : plusieurs familles sauvées de la pénurie d’eau grâce à des forages construit par la SEEG

La population da la commune d’Akanda soulagée, la  Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG) a remis en service mercredi  dernier, 3 forages abandonnés au nord de Libreville et construit un nouveau forage à Bellevue 2 dans le 3ème arrondissement.

Une équipe de la SEEG a fait le tour pour remet ces forages aux bénéficiaires. Les 3 forages réhabilités sont situés à Makwengue, à Malibe 1 et au Premier campement dans la commune d’Akanda. Chaque forage a une capacité de production allant de 3000 litres/h à 4000 litres/h.

Pour faciliter l’accès à l’eau, des robinets allant de deux à quatre par endroit ont été installés. Chaque point d’eau alimentera entre 500 et 800 ménages. L’accès à l’eau est règlementé de 07h à 10h en matinée et de 15h à 18h en soirée.

Autrefois ces forages fonctionnaient à l’énergie humaine. Désormais ils fonctionnent avec l’énergie solaire. Une avancée qui satisfait les responsables de ces zones non-alimentées ou mal desservies par le réseau national d’adduction d’eau.

 

 

Gabon : une défaillance électrique à l’origine de délestage dans certains quartiers de Libreville (SEEG)

La Direction de la communication de la Société d’Énergie et d’eau du Gabon (SEEG),  annoncé  ce mardi 9 mars dans un communiqué que la longue coupure d’électricité intervenue dans certains quartiers de Libreville dans la nuit de lundi à mardi découle d’une défaillance électrique.

« Une défaillance électrique a provoqué hier soir à 22h33 le délestage des quartiers PK 5, Cité Mebiame, Cité de la Caisse, Sotéga, Nzeng-Ayong, Sibang et Bambouchine. A l’origine, il s’agit d’un dysfonctionnement lié à l’évolution brusque de la charge sur le réseau électrique qui a engendré la déconnexion d’un conducteur (câble) et provoqué un arc électrique puissant.

Dès la survenance de l’incident, les équipes techniques SEEG ont engagé les opérations pour le rétablissement rapide de la fourniture en électricité dans les quartiers impactés. Le remplacement des équipements a eu pour effet la réalimentation immédiate de tous les clients à 00h22mn.

La SEEG exprime ses regrets à la clientèle impactée par cet incident et la remercie de sa compréhension.

2 milliards de FCFA d’investissements pour la station de pompage d’eau brute de Mandorové

Le directeur général de la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG) s’est rendu sur le site de pompage d’eau brute de Mandorové, à 32 kilomètres de Port-Gentil. Le site va recevoir 2 milliards de francs d’investissement dans le cadre du «Plan d’urgence 2020», destiné à améliorer la qualité de service en eau et électricité dans la capitale économique du Gabon.

Dans le cadre du «Plan d’urgence 2020» de la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG), le directeur général de cette entreprise s’est rendu récemment sur le site de pompage d’eau brute de Mandorové, situé à 32 kilomètres de Port-Gentil. Cette station accueillera en premier les travaux relatifs au «Plan d’urgence 2020», dont l’objectif est d’améliorer la qualité de service en eau et électricité au Gabon, particulièrement à Port-Gentil.

La phase pratique des travaux sur le site de Mandorové comprend deux volets et consistera premièrement à la sécurisation de la production. «Cette sécurisation va consister à remplacer les pompes de 600m3 heure par deux pompes de 1200 m3 par heure. Nous allons doubler le débit de deux pompes sur trois», a expliqué Alain Patrick Kouma. Une bonne nouvelle pour les populations installées dans les zones à fort stress hydraulique.

L’alimentation en électricité sur les installations de Mandorové constitue la deuxième préoccupation de la direction générale. En effet, la station de pompage d’eau brute est parfois confrontée à des troubles au niveau de sa production. Une situation qui serait due aux intempéries à l’origine des perturbations de la ligne électrique qui approvisionne le site.

Pour rectifier le tir, la SEEG envisage de faire installer un groupe électrogène d’une puissance de 2000KW pour pouvoir assurer l’alimentation d’une des grosses pompes de 1200m3  heure. «Nous pourrons ainsi, en cas de soucis sur la ligne, assurer l’alimentation en électricité de ces pompes, et garantir la production d’eau brute à Port-Gentil», a affirmé Alain Patrick Kouma. Le coût total de cet investissement s’élève à 2 milliards de francs CFA.  Le projet a été bien accueilli par les autorités locales, au nombre desquelles, le Maire de la commune, Gabriel Tchango, qui a même offert son soutien à la SEEG.

 

 

SEEG : « ici c’est difficile, on fait des mois sans la moindre goutte d’eau » (Chantal, une habitante d’Akebé-ville)

La Société d’Energie et d’eau du Gabon (SEEG) sous les instructions du gouvernement poursuit son opération de distribution d’eau potable baptisée : « mains propres » pour pallier la carence du précieux liquide dans certains quartiers, surtout sous intégrés de Libreville.

L’opération lancée en avril dernier vise également à mettre des dispositifs d’appoint   dans ces quartiers de la capitale gabonaise, approvisionnés difficilement en eau pour permettre aux populations de se laver régulièrement les mains, geste préconisé par l’OMS et le gouvernement aux fins d’endiguer la propagation du Covid-19.

Jeudi, les populations du quartier Akébé-ville dans le 3ème arrondissement se sont ruées avec les récipients devant les camions citernes affrétés pour s’approvisionner.

« Ici c’est difficile, on fait des mois sans la moindre goutte d’eau. Quand on a la chance, l’eau coule des robinets par intermittence vers les 3h ou 4h », a déclaré à un reporter de Gabonactu.com, Chantal, une habitante d’Akebé-ville.

Globalement 20 quartiers de Libreville sont concernés par cette opération.  Les camions plateau et citernes spécialement équipés de cubitainers et des accessoires pour le remplissage et la distribution d’eau potable (capacité 20 m3) effectuent des rotations depuis 5 mois dans des zones identifiées comme privées d’eau potable

 

Gabon : voici la démarche à suivre pour bénéficier de la mesure de Gratuité de l’eau et de l’électricité

En application des mesures gouvernementales sur la gratuité des consommations d’eau et d’électricité pour les ménages les plus vulnérables, la Direction générale de la SEEG a publié un communiqué indiquant la démarche à suivre pour bénéficier de cette mesure exceptionnelle.

Le communiqué indique que les principaux bénéficiaires sont les clients qui ont souscrit un abonnement d’électricité au tarif social pour une puissance de 1 à 6 KW et tous les clients particuliers en eau.

Pour ce qui est de l’eau, la SEEG indique que les compteurs seront crédités d’un montant forfaitaire de 15 000 FCFA et 20 000 FCFA pour les compteurs d’électricité basse tension classique et Edan.

Ce dernier, étant un compteur à prépaiement, la Direction de la SEEG invite les abonnés concernés par la mesure d’aller dans le site : http://edan.seeg-gabon.com/seeg ou d’appeler gratuitement le 14 42.

Pour cela, il faudra disposer d’un ordinateur connecté, d’une tablette ou d’un smartphone. Après connexion, il faut saisir le numéro de son compteur pour obtenir un code.

Énergie renouvelable : Une centrale solaire hybride en construction à Ndjolé

À Ndjolé dans la province du Moyen-Ogooué, une centrale solaire hybride est en cours de construction. Première du genre au Gabon, et faisant partie d’un projet portant sur la construction de huit centrales solaires hybrides, elle devrait être inaugurée en mars 2020.

Le Gabon souhaite baisser les émissions de CO2 et se défaire des centrales thermiques encore en activités à l’intérieur du pays. Dans ce cadre, un contrat a été signé avec Ausar Energy, pour la construction de huit centrales solaires dans les provinces du Moyen-Ogooué, l’Ogooué Ivindo et le Woleu-Ntem, notamment les villes de Ndjolé, Minvoul, Ovan, Makokou, Mekambo, Bitam et Medouneu, pour un coût global de 4 milliards de francs CFA.

Sur le site de Ndjolé, dans la province du Moyen-Ogooué, les travaux ont officiellement été lancés le 30 janvier. «Le projet de la centrale solaire hybride de Ndjolé constitue la première application de la technologie fuel save au Gabon. Elle regroupe 1440 panneaux solaires, de technologie polycristalline et de puissance unitaire de 275 WC, installés au millimètre près sur la base d’un plan GPS. Elle repose sur des pieux battus en acier galvanisé, d’une hauteur variant entre 2m et 3,5m», a déclaré Franck Tannery, président d’Ausar Energy.

«La Caisse des dépôts et consignations (CDC) est propriétaire de la centrale, et en assure le financement. Elle a conclu un contrat de location-vente de 15 ans, de la centrale solaire avec la SEEG (Société d’énergie et d’eau du Gabon), qui assurera l’exploitation et la maintenance», a déclaré Edgard Moukoumbi, directeur de l’énergie à la CDC. Selon Franck Tannery, les panneaux photovoltaïques de cette centrale seront reliés à 3 onduleurs de 100kw. L’énergie solaire gérée, sera transportée au poste de transformation via une ligne moyenne tension, et acheminée sur 500m, grâce à 7 poteaux érigés par Ausar Energy au réseau SEEG.

«La communication entre le contrôleur photovoltaïque et les quatre contrôleurs des groupes électrogènes se fait directement au niveau de la centrale thermique. La communication entre les deux centrales, pour permettre une alimentation continue se fait par l’installation d’une fibre optique sur 3,5 km, entre la centrale solaire et la centrale thermique de la SEEG», a-t-il expliqué.

Construite pour durer 25 ans, comme celle des autres villes, l’avantage de la centrale de Ndjolé, a indiqué Franck Tannery «c’est d’arrêter les nuisances sonores créées par la centrale thermique». «Lorsque vous êtes au marché de Ndjolé, vous écoutez le bruit que fait cette centrale, et qui met en mal la quiétude des populations», a-t-il commenté.

Son inauguration est prévue pour fin mars 2020 et «l’objectif premier», a assuré Franck Tannery, «est d’ordre économique». «Il consiste à baisser le coût du kilowattheure. Il faut dire que son prix est beaucoup plus faible, comparativement à celui du KW thermique. Aujourd’hui, tout KW vendu par la SEEG dans les centres isolés comme Ndjolé est une perte considérable. Le coût de production est supérieur au prix de vente. L’idée de cette centrale solaire hybride est de perdre moins d’argent», a-t-il expliqué.

Source: gabonreview

 

 

La SEEG s’explique sur les coupures du 25 décembre à Libreville

La Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG), s’est expliquée sur les perturbations de fourniture en électricité à Libreville le 25 décembre dernier.

Selon Edgard Régis Ondo directeur de communication à la SEEG, les trois coupures d’électricité découlent d’incidents dans les usines de production hydroélectrique de Tchimbélé et Kinguélé.

La célébration de la fête de la Nativité, le 25 décembre, a quelque peu été ternie par trois coupures d’électricité notamment à Libreville. En fin de soirée, la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG) s’est expliquée sur les causes de ces perturbations, dont les deux premières ont duré au moins une demi-heure chacune.

«Ce qu’il s’est passé aujourd’hui, c’est qu’au niveau des usines de production hydroélectrique de Tchimbélé et Kinguélé, nous avons enregistré une perturbation majeure ; notamment un incident sur le TR6, un transformateur de 70 mégawatts qui assure l’évacuation de la production de l’usine de Tchimbélé», a expliqué le directeur de la communication de la SEEG sur Gabon 1re. «La SEEG a mobilisé des équipes qui sont allées en appui technique opérationnel et moyens logistiques, en intervention héliportée depuis Libreville. Elles se sont mises à pied d’œuvre pour remettre en état l’outil stratégique sur le schéma de production. Ça c’était le matin», a expliqué Edgard Régis Ondo Minto’o.

Cette opération a permis de rétablir l’électricité après la première coupure, survenue aux alentours de 8 heures. Malheureusement, deux autres ruptures d’alimentation en électricité sont survenues en début de soirée. En cause, cette fois-ci, un «déclenchement général» des moyens de production au niveau de l’usine Kinguélé. «Nous avons repris les activités de remise de service pour réalimenter progressivement les clients, entre 19h et 20h», a indiqué le responsable de la communication du monopoleur de la production-distribution de l’eau et l’électricité au Gabon.

Faut-il s’attendre à la même situation le jour de l’an ? Sans être rassurante, la SEEG a simplement évoqué l’identification des sites prioritaires et la mise en œuvre des plans d’action qui s’inscrivent sur le court terme. «Avec les autres acteurs du secteur, la SEEG a identifié l’ensemble des sites stratégiques comme les hôpitaux, qui font l’objet d’un plan d’action», a conclu Edgard Régis Ondo Minto’o.

 

Gabon : le bourbier du PK80 provoque une panne d’électricité dans 3 provinces du sud (communiqué)

La Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG), informe  sa clientèle des fortes perturbations actuellement observées dans la desserte en électricité des régions du Moyen-Ogooué, de la Ngounié et de la Nyanga.

Ces perturbations sont consécutives aux difficultés d’acheminement du gasoil par voie terrestre vers les centrales de production d’électricité, avec pour conséquence l’interruption de la fourniture pour une grande partie de la clientèle.

La SEEG est en train d’examiner toutes les alternatives pour assurer la mise à disposition du gasoil dans les régions indiquées. Aussi exprime-t- elle ses regrets à sa clientèle durement affectée par cette situation indépendante de sa volonté.

SEEG: Mouvement de grève suspendu

La grève générale engagée mardi dernier par les employés de la Société d’Eau et d’énergie du Gabon (la SEEG) réunit au sein du syndicat SYNTEE+ a été suspendue hier. Les négociations sont en cours.

Tony Ondo Mba, ministre de l’Eau et de l’Energie, est entré en négociations avec les grévistes de la SEEG. C’est au travers du Syndicat des travailleurs de l’électricité et de l’eau que ceux-ci ont fait parvenir leurs préoccupations au ministre. La grève est donc suspendue en attendant les recommandations du ministre.

Pour rappel, le personnel affilié au SYNTEE+ réclame la régularisation totale par la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) de la situation de ses retraités, l’audit des comptes de la période de réquisition et le paiement de la prime de résultat avec clarification des résultats de l’exercice 2018 en juin 2019.

La SEEG en grève

Depuis ce mardi 2 octobre, des agents de la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG), se sont rassemblés devant le siège social de leur entreprise pour observer la grève générale et  illimitée organisée par le syndicat des travailleurs de l’électricité et de l’eau (SYNTEE+).

La satisfaction totale de leurs revendications ou rien. Le personnel affilié au SYNTEE+ réclame la régularisation totale par la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) de la situation de ses retraités, l’audit des comptes de la période de réquisition et le paiement de la prime de résultat avec clarification des résultats de l’exercice 2018 en juin 2019.

La grève se prolongera dans la mesure où le gouvernement ne réponds pas à ces exigences. Néanmoins, le service minimum continue dans les agences de la SEEG, notamment le service aux usagers.

Pour sa part, Tony Ondo Mba, ministre des Mines, de l’Énergie et des Ressources hydrauliques a souhaité comprendre les motifs de cette grève. A cet effet, il a eu un échange avec le directeur général de la SEEG. Il a recommandé le dialogue avec les partenaires sociaux, en vue d’«un retour rapide à la sérénité», mais surtout de «continuer à privilégier le service aux usagers, les intérêts réels des agents et ceux de la société dans le strict respect par les parties des dispositions légales en vigueur».

La SEEG qui compte deux principaux syndicats est une entreprise publique chargée de fournir l’eau et l’électricité dans l’ensemble du territoire national.

Communiqué de la SEEG: Perturbation de la fourniture d’eau à Libreville

COMMUNIQUE DE PRESSE

Perturbations dans la desserte en eau potable de Libreville et ses environs

Libreville, le 22 septembre 2019- La Société d’Energie et d’Eau du Gabon informe sa clientèle de Libreville et ses environs des perturbations dans l’approvisionnement en eau potable.

Ces perturbations, ressenties par une partie de la clientèle s’expliquent par la conjugaison de deux facteurs qui sont :

  • Un déficit structurel de nos capacités de production entre l’offre et la demande (offre : 230 000 m3/J, demande : 300 000 m3/J, déficit : 70 000 m3/J) ;
  • Un déficit conjoncturel dû à l’étiage, un phénomène climatique naturel qui de manière saisonnière, entraine une diminution de nos capacités de production, la faisant passer de 230 000 m3/J à une moyenne 200 000 m3/J.

Nos équipes techniques spécialisées en eau sont mobilisées au quotidien pour optimiser la desserte dans l’attente du retour quelques peu tardif des pluies.

Par ailleurs, dans le cadre du projet de renforcement CIM GABON 2, des efforts importants sont déployés par la SEEG sous l’impulsion du Ministère des Mines, de l’Energie et des Ressources Hydrauliques pour accélérer la mise en service de cette usine de traitement d’eau potable qui devrait apporter une capacité supplémentaire de 36 000 m3/J à l’horizon de janvier 2020.

La SEEG remercie sa clientèle pour sa bonne compréhension.

La Direction de la Communication & de la Responsabilité Sociétale

Pierre Sockat nouveau PCA de la SEEG

Il a été nommé au cours d’un conseil administration ce vendredi 28 juin 2019

C’est l’une des principales décisions prises lors du conseil d’administration de la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG) tenu ce vendredi 28 juin 2019.  L’ancien PCA de la Compagnie nationale de navigation intérieure et internationale (CNNII), Pierre Sockat a été porté à la tête de la SEEG.

« La SEEG a beaucoup de potentialités. Si, l’État a décidé de reprendre la main sur cette entreprise, c’est sur la base d’une vision claire. Le président de la République Ali Bongo Ondimba a fait de l’eau et de l’électricité un secteur prioritaire. D’autant que son vœu ardent est celui de voir toutes les populations avoir accès à ces fournitures », a-t-il déclaré, ajoutant : « nous sommes sur la bonne voie, nous sommes à pied d’œuvre pour mieux offrir nos prestations sur l’ensemble du territoire national ». A déclaré l’ancien PCA de la Compagnie nationale de navigation intérieure et internationale (CNNII).

Le nouveau PCA n’aura pas de jours de repos. A peine arrivé, il devra gérer la crise au sein de l’entreprise notamment le préavis de grève des employés.

 

 

Bernard Gervais de Souza prend les règnes de la SEEG

Il a été nommé mardi nouveau Directeur général de la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG) au terme de la première réunion du conseil d’administration de cette entreprise publique. Il remplace Pierre Lasseni Duboze, nommé en Conseil des ministres du 15 octobre 2018.

 

La Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG) a désormais un nouveau directeur. Bernard Gervais de Souza a été élu à ce poste  lors du premier conseil d’administration post Veolia de la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG) s’est tenu le 2 avril à Libreville.

«Je suis profondément heureux de la confiance qui m’a été témoignée en me portant à la tête de la Société d’électricité et d’eau du Gabon. C’est une société que je connais bien. Aujourd’hui, je sens bien le poids des responsabilités qui sont les miennes. Donc je me suis engagé auprès du conseil d’administration pour aller au bout de la mission qu’ils m’ont confiée», a déclaré le nouveau directeur général de la SEEG.

Précédemment Directeur général adjoint de ladite société,  il devra donc redoubler d’efforts car il arrive à ces prestigieuses fonctions au moment où Libreville, la principale vitrine du Gabon est soumise à des délestages d’électricité suite à un déficit de l’offre.

 

Libreville : la SEEG perd 10% de sa capacité de production

La Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG), l’a annoncé ce mercredi 13 mars, dans un communiqué des fortes perturbations sur son réseau de fourniture en électricité.

« La SEEG informe son aimable clientèle des perturbations qui pèsent actuellement sur la desserte en électricité de Libreville et ses environs. Ces perturbations font suite à l’indisponibilité de certains moyens de production. Cette situation a pour conséquence la perte de 10% de notre capacité actuelle de production », a annoncé le communiqué.

Aussi, l’unique entreprise ayant le monopole de la production et de la distribution d’eau potable et de l’électricité au Gabon, a décliné son « programme de délestages rotatifs mis en place entre 19 heures et 23 heures ».

Le 1er mars courant, l’Agence de régulation du Secteur de l’Eau potable et de l’Energie électrique (ARSEE) a prévenu dans un rapport mensuel de ses activités, que la fréquence des délestages à Libreville et ses environs pourraient augmenter courant ce mois de mars à cause d’une insuffisance de mégawatts.

Soumis actuellement à de nombreuses perturbations, le réseau électrique de Libreville rencontre des difficultés à satisfaire la puissance maximale demandée par la clientèle, laquelle est plus ou moins égale à 251 mégawatts.

Selon l’organe régulateur de l’eau et de l’électricité en République Gabonaise, l’indisponibilité depuis trois mois de trois turbines à gaz à la centrale thermique SEEG d’Owendo, d’une part et d’autre part, d’un groupe à la centrale d’Alenakiri gérée par la Société de Patrimoine, contraint la SEEG à utiliser au maximum de leur puissance exploitable les groupes du parc hydro électrique de Tchimbelé et de Kinguelé.